Voici des textes pour gens réveillés et curieux très intéressés par les médecines naturelles et leur bien-être. N’hésitez pas à passer outre si vous ne faites pas partie de cette catégorie de personne car ces textes ne sont pas pour vous.
Depuis plus de 40 ans, l’usage de moyens naturels de guérison s’est imposé à moi de façon de plus en plus pertinente, et parfois de façon impertinente, afin de me pousser plus rapidement pour m’obliger à avancer sur cette voie de Lumière. Selon. des milieux proches de l’OMS, nous serions plus de 25 millions en Europe à agir. Serrons les rangs et regroupons-nous. Agissons. Agir, même seul est déjà agir puissamment.
Depuis plus de 15 ans, j’ai compris avec de plus en plus de conscience que nous étions et sommes « dans le mur ». Le nouveau monde, la nouvelle société arrive. J’ai et aurai, comme vous lecteur et lectrice, de fortes chances d’avoir la joie de vivre et connaitre cette nouvelle société éthique et écologique sur tous les plans. Respectueuse de tous les mondes. Refusant le menteurs, les abuseurs, les voleurs, les tricheurs, les escrocs, les dissimulateurs, les manipulateurs etc. En bref, il faut, déjà aujourd’hui, choisir d’évoluer dans tout ce qui est l’AMOUR.
Cette rubrique fera le point sur des moyens de soins, de préventions, de résilience et d’informations destinées à permettre de dissiper le brouillard, souvent épais, installé depuis de très/trop nombreuses décennies par les mauvaises personnes.
La question de savoir si les méthodes de diagnostics de la médecine classique allopathique provoquent de « effets secondaires » et/ou induisent des pathologies me préoccupent depuis longtemps. Des questionnements qui préoccupent aussi les classiques comme il est possible de lire dans cet articles (il en existe d’autres plus scientifiques). De toutes façons, j’ai déjà choisi de proposer, dans tous les cas, la prudence totale car les exemples sont déjà nombreux. Prévenir vaut mieux que guérir comme le dit le proverbe car dans certains cas, il n’est plus possible de guérir.
Certains scanners exposeraient à un risque de cancer plus élevé qu’on ne le pensait
On ne les remet jamais vraiment en cause. Les scanners, ou tomodensitométries, sont devenus des gestes réflexes de la médecine moderne. On les prescrit pour explorer un thorax, confirmer une embolie, surveiller une tumeur potentiellement cancéreuse. Leur efficacité les rend presque intouchables dans la pratique clinique, mais ils exposent aussi les patients à des doses de radiations répétées.
Une étude publiée le 14 avril dans JAMA Internal Medicine par une équipe de l’Université de Californie (San Francisco), vient poser cette question épineuse : et si l’impact des scanners sur le développement de cancers était bien plus important qu’on ne l’avait cru jusqu’ici ?
100 000 diagnostics invisibles
Les chercheurs ont voulu mesurer ce que l’on ne voit jamais sur l’écran : le risque, à long terme, que laisse le faisceau des scanners sur l’organisme des patients. À partir des données collectées en 2023 auprès d’hôpitaux et de centres d’imagerie, ils estiment que 93 millions de scanners ont été réalisés sur environ 61,5 millions de personnes aux États-Unis.
En croisant cette activité avec les doses moyennes de rayonnement et la zone du corps examinée, ils sont arrivés sur cette projection : plus de 100 000 cas de cancer induits par les seuls scanners de cette année-là. Un chiffre qui dépasse de trois à quatre fois les estimations précédentes, selon les auteurs.
Dans un pays où l’on diagnostique environ deux millions de nouveaux cas de cancer chaque année, cela signifierait que les scanners pourraient, à terme, en représenter près de 5 %. Un ordre de grandeur quasiment comparable à celui de l’obésité (7,6 %) ou de la consommation d’alcool (5,4 %).
Le débat sur les marges d’incertitude
Évidemment, cette estimation ne fait pas l’unanimité. Mark Supanich, physicien médical au sein du département de radiologie de l’Université de Rush, s’interroge sur la solidité de ces calculs. « Je pense que les auteurs surestiment le risque de cancers liés au scanner », explique-t-il. En cause, selon lui, un biais méthodologique : une part importante des patients examinés sont déjà atteints de pathologies lourdes, et les inclure dans l’estimation globale gonflerait artificiellement les prévisions.
L’équipe californienne affirme pourtant avoir tenu compte de ce biais, en excluant les examens pratiqués durant la dernière année de vie, période où les pathologies graves sont les plus fréquentes. Une seconde analyse, plus restrictive, a également été menée.
Mais pour Mark Supanich, cette précaution reste insuffisante : selon lui, certains cancers diagnostiqués après ces examens pourraient être liés à des maladies préexistantes. D’autres travaux vont d’ailleurs plus loin en retirant de leurs calculs les scanners effectués jusqu’à cinq ans avant un décès, afin d’éviter toute confusion entre causalité et coïncidence médicale.
Parce qu’il permet de trancher, de localiser, de prévenir parfois, le scanner a échappé ; peut-être trop souvent ; à l’examen de ses effets secondaires, comme si l’urgence du bénéfice immédiat annulait, à elle seule, toute remise en question. Ce que rappellent les auteurs de cette étude, ce n’est pas qu’il faudrait s’en passer, ni même en restreindre l’usage, mais qu’il est temps de réintroduire du discernement là où la routine a fini par anesthésier la réflexion. L’efficacité n’exempte pas de vigilance ; et si certains risques demeurent faibles à l’échelle individuelle, leur accumulation à grande échelle mérite qu’on s’y penche.
Une étude américaine revoit fortement à la hausse le risque de cancer lié aux examens d’imagerie médicale.
Les estimations suggèrent qu’un grand nombre de diagnostics pourrait indirectement être lié à ces expositions.
L’analyse des auteurs ne fait cependant pas l’unanimité et il se pourrait que le risque ait été surévalué.
La cigarette électronique a conquis le marché mondial en se positionnant comme l’alternative moderne et supposée moins dangereuse à la cigarette classique. Dans les faits, c’est vrai : elle n’émet pas de goudrons et les dizaines de substances toxiques liées à la combustion du tabac. Elle a séduit tant les fumeurs désireux de se sevrer que (malheureusement) les adolescents attirés par ses saveurs fruitées et son design un peu tendance.
Plusieurs études ont néanmoins déjà démontré qu’elle pouvait provoquer des effets néfastes sur la santé, notamment sur le système immunitaire et en cas de vapotage passif chez les enfants. Malgré tout, elle garde une image relativement inoffensive ; elle reste bien moins dangereuse que le tabac, même si elle n’est pas complètement innocente, car ses effets au long terme sont moins documentés. Cependant, pour la toute première fois, une nouvelle recherche publiée dans la revue Scientific Reports vient d’associer l’usage de la cigarette électronique avec l’activation de mécanismes cellulaires impliqués dans le développement cancéreux.
Vapotage et inflammation : un terrain fertile pour le cancer
Les chercheurs de l’Université de Rochester (New York, États-Unis) dirigés par Dongmei Li ; à l’origine de cette étude ; ont analysé un type particulier de molécules : les microARN exosomaux. Des fragments d’acide ribonucléique (ARN) agissant comme des messagers dirigeant l’activation ou la mise en veille de certains gènes. Ils jouent un rôle essentiel dans de nombreux processus biologiques : développement cellulaire, différenciation cellulaire ou réponse immunitaire.
L’équipe a ainsi comparé les profils sanguins (ensemble des composants du sang) d’utilisateurs exclusifs de cigarettes électroniques avec ceux de non-vapoteurs. Résultat : plusieurs de ces microARN présents dans le sang des vapoteurs montrent une hyperactivité anormale. Or, ces molécules suractivées interviennent précisément dans des réactions en chaînes biologiques liées au cancer.
« Les microARN exosomaux jouent un rôle dans l’inflammation et les processus pathologiques comme le cancer. Ces petites molécules régulent l’expression génétique et peuvent activer ou désactiver certaines voies métaboliques dans nos cellules. Jusqu’à présent, nous ignorions comment le vapotage pouvait les affecter », explique Li. La cigarette électronique pourrait donc modifier le fonctionnement cellulaire de manière similaire à d’autres cancérigènes connus, même en l’absence de combustion.
Les autres dangers du vapotage
Pour approfondir leur compréhension, les chercheurs sont allés chercher ailleurs que dans le sang. Ils ont exposé des cellules épithéliales des voies respiratoires (cellules qui forment la couche protectrice recouvrant l’intérieur de nos poumons et de nos voies aériennes) à de la vapeur de cigarettes électroniques, puis ont analysé leur comportement.
Pour cela, l’équipe a réalisé ce que l’on pourrait appeler des « tests de guérison cellulaire ». L’expérience est simple à comprendre : ils ont créé une « égratignure » artificielle dans une couche de cellules pulmonaires en culture, puis ont observé combien de temps ces cellules mettent à « refermer la plaie » en se multipliant et en se déplaçant.
Les cellules qui ont été en contact avec les substances du vapotage sont beaucoup plus lentes à réparer cette « égratignure » que les cellules normales. C’est comme si la vapeur des e-cigarettes ralentissait la capacité naturelle de nos poumons à se réparer après une agression.
Les scientifiques ont également examiné l’ADN de ces cellules, notre « mode d’emploi » génétique présent dans chaque cellule. Ils ont découvert que la vapeur des cigarettes électroniques endommage cet ADN en y créant des cassures. C’est particulièrement inquiétant, car l’ADN endommagé peut soit mourir, soit, pire encore, survivre avec des erreurs qui peuvent être les premières étapes vers un cancer.
Ces expériences corroborent donc les premiers résultats des analyses sanguines : la vapeur des cigarettes électroniques modifient profondément le fonctionnement de nos cellules. Elles perturbent à la fois les petites molécules régulatrices dans le sang (les microARN) et la capacité des cellules pulmonaires à maintenir leur ADN intact et à se réparer correctement. Ces changements correspondent exactement aux premiers mécanismes qu’on observe habituellement dans le développement des cancers.
Ces résultats ne représentent que la partie émergée de l’iceberg, selon Li, qui affirme que cette recherche « stimulera de nouvelles études sur les conséquences de l’utilisation de la cigarette électronique sur les microARN exosomaux du plasma et d’autres marqueurs biologiques liés aux risques de cancer, afin d’approfondir notre connaissance de la toxicité du vapotage ».
À mesure que la recherche avance à son sujet, le profil toxicologique de la cigarette électronique s’assombrit, un processus naturel étant donné son jeune âge (2010). Elle reste tout de même une alternative bien plus saine que le tabac inhalé, mais ce n’est pas parce qu’elle est moins nocive, qu’elle ne représente aucun danger. En toxicologie, cette nuance est fondamentale. N’oublions pas qu’elle partage également un point commun avec la cigarette classique : la nicotine, une des substances les plus addictives que l’Homme ait jamais réussi à isoler de la nature. Même si elle n’est pas absorbée de la même manière lorsqu’elle est vaporisée, les risques d’addiction sont aussi présents, bien qu’ils se développent différemment.
Une étude a révélé que l’usage de la cigarette électronique entraîne des modifications biologiques pouvant favoriser le développement de certaines maladies graves, notamment en altérant l’expression de molécules clés dans le sang.
Des expériences ont montré que la vapeur de ces dispositifs ralentit la capacité des cellules pulmonaires à se réparer et cause des dommages à leur matériel génétique.
Bien que moins nocif que le tabac classique, le vapotage n’est pas sans risque, particulièrement en raison de son impact potentiel sur le fonctionnement cellulaire et de son fort pouvoir addictif.
J’ai toujours considéré le pancréas comme un organe très important malgré le peu de pathologies référencée par la médecine officielle le concernant. Voilà un texte novateur et très important et clairement expliqué. Tout le monde devrait savoir ce qui suit.
HISTORIQUE DE MES DÉCOUVERTES (celles de M. Dogna)
Depuis 1973, je connaissais et préconisais avec succès pour les cancers le Carzodélan en intra musculaire (pour ne pas être détruit par les sucs gastriques). J’avais découvert ce merveilleux remède dans le tome 1 de Tous les espoirs de guérir de Jean Palaiseul, paru en 1970 aux éditions Robert Laffont. Ce produit inconnu des médecins « lambda » qui a sauvé clandestinement de nombreux cancéreux pendant quelques décennies m’a personnellement permis d’effectuer de nombreux « exercices illégaux de la guérison » dont deux dans ma propre famille.
Et puis ce qui devait arriver arriva, en 2003. Le petit laboratoire fabricant a subitement été invectivé par les instances pharmaceutiques pour déposer une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). Cette procédure trop lourde et trop coûteuse pour ce modeste labo, et qui arrivait en outre trop tard vu que la preuve d’innocuité était faite depuis longtemps, avait en fait pour but de bloquer pour 10 ans la fabrication de cet extrait pancréatique de porc bio. C’était donc une mise à mort déguisée du Carzodélan par le monopole médico pharmaceutique. Quand on sait qu’un cancéreux rapporte environ 100 000 € par le protocole chimio (beaucoup beaucoup plus en CH), on comprend que la concurrence n’est pas pas la bienvenue, surtout quand elle est plus efficace… et tant pis pour les malades !
Je ne parlerai pas du CRÉON, autre extrait pancréatique que j’ai découvert plus tard, prétendu équivalent per lingué (voie orale) mais qui ne marchait pas… Normal puisque vendu en pharmacie.
RETOUR SUR LA THÈSE GÉNIALE DU DR. KELLEY
Le docteur Kelley a vécu sa propre initiation à l’âge de 37 ans. Atteint d’un cancer du pancréas en phase terminale avec une atteinte hépatique jugée incurable, et alors qu’il n’en avait plus que pour quelques semaines, il s’en sortit pourtant et vécut jusqu’à l’âge de 79 ans une existence extrêmement remplie.
La naissance de l’embryon : une aventure aux complications inattendues
À la conception, un spermatozoïde ayant pénétré l’ovule devient un œuf fécondé, appelé ZYGOTE. Mais celui-ci ne peut devenir directement embryon car il doit d’abord assurer son alimentation et éviter d’être expulsé en s’accrochant à la paroi utérine. Pour cela, il doit former ce qu’on appelle un TROPHOBLASTE (ce n’est pas un juron du capitaine Haddok), qui va générer d’un côté les cellules souches primaires et d’un autre côté, se multiplier rapidement en produisant ce que la médecine appelle des métastases… comme celles du cancer ! Et ces dites « métastases » vont construire le PLACENTA qui va nourrir l’embryon jusqu’à sa naissance. Vous suivez ?
Trophoblastes donnent Placenta = Métastases
Mais ce placenta (métastase) se développerait indéfiniment si une enzyme ne venait pas bloquer le processus à la 7ième semaine. Cette enzyme, c’est la PANCRÉATINE, sécrétée par le pancréas de la mère. On voit déjà ici se profiler un rapport primordial entre le pancréas et ce qu’on appelle « le cancer ».
Des millions de petites bombes à retardement
Revenons à nos besogneux trophoblastes. Ceux-ci, ayant été congédiés à la 7ième semaine par la pancréatine, vont se mettre à migrer vers les organes génitaux (testicules ou ovaires) du fœtus selon son sexe, en attente de pouvoir perpétuer, un jour, l’espèce pour une prochaine génération. Or, il faut savoir qu’au cours de ce périlleux voyage au travers des cellules ordinaires du fœtus, un tiers d’entre eux, soit environ 3 milliards de trophoblastes, ne parviendront jamais à destination et resteront prisonniers de divers tissus (non génitaux). À savoir aussi que lorsque le bébé sera devenu adulte, ces trois milliards de cellules égarées pourront si elles sont « dérangées », se mettre à fabriquer du faux placenta pour un bébé fictif, le but étant une tentative de survie de l’espèce. Ceci signifie que chacun de nous est doté d’un capital cancer immuable pouvant être amorcé à tout moment, et que nous sommes tous des précancéreux qui s’ignorent. Est-ce grave docteur ? Pas tant que cela, car des milliers d’amorces placentaires (micro cancers) naissent tous les jours dans notre corps, mais elles sont neutralisées au fur et à mesure par la fameuse PANCRÉATINE. Et il y aura un problème seulement si la production de pancréatine s’avère insuffisante pour y faire face, le corps ne pouvant pas alors digérer au fur et à mesure la croissance folle de cette masse placentaire que l’on identifie en tant que « cancer ».
Qu’est-ce qui peut réveiller les trophoblastes égarés ?
Un trop grand apport de protéines mobilisant totalement le pancréas.
Un entoxinement organique dû à une surcharge hépatique permanente.
Une insuffisance de sécrétion d’hormones pancréatiques.
Une déprogrammation par un traumatisme physique ou psychologique.
Un excès d’hormones de croissance femelles dans le sang par laitages, viandes de batteries, poissons d’élevage, bière…
LES PRINCIPALES FONCTIONS DU PANCRÉAS
Assurer le métabolisme des sucres :
En cas de défaut, cela aboutit au diabète.
Produire les enzymes digestives :
Amylase, lipase, protéase, etc.
Digérer ou cannibaliser :
Les déchets du métabolisme cellulaire.
Les déchets intercellulaires ainsi que les cellules mortes ou dysfonctionnelles.
Les cellules latentes pré-placentaires susceptibles de devenir des métastases.
QUE SE PASSE-T-IL QUAND LE PANCRÉAS N’AGIT PLUS ?
Il est clair qu’un dépassement important des capacités du pancréas lui crée un manque de disponibilité pour effectuer son rôle de sentinelle et sécréter la pancréatine nécessaire à l’éradication des amorces continues de « métastases / placenta ».
Autre aspect : parmi les globules blancs, il existe une sorte de leucocytes tueurs nommés les NK (Natural Killers) qui ont pour mission d’injecter dans les amorces métastasiques une substance toxique mortelle : la tumostérone. Mais si ces amorces de placenta ont le temps de se développer suffisamment afin de protéger un embryon de bébé qui n’existe pas, elles s’entourent d’une substance mucoïde impénétrable par les NK. Pour rendre l’accès libre aux NK, il faut dissoudre ce mucus, chose que la pancréatine peut faire… si le pancréas est disponible !
Or, je (= M. Dogna) vous ai présenté récemment le DG + Ultra, produit capable de prendre complètement en charge les déficits pancréatiques, et donc susceptible de rendre de la disponibilité à celui-ci en cas de cancer déclaré. Accompagné de serrapeptase pour le désencombrement des déchets au niveau du foie, et de zinc colloïdal aux fonctions métaboliques tous azimuts, cette association atteint une évaluation du niveau d’efficacité remarquable au test Kinésio. (= le retour à l’alimentation cétonique et à la détox tous azimutés. Voyez mes pages sur « alimentation-nutrition).
NOTA : Ces trois produits naturels ont été largement testés cliniquement depuis des années, donc avérés sans aucun risque, mais ce trio n’a encore fait l’objet d’aucun essai clinique vu la nouveauté de son concept.
INDICATIONS DU TRIO
DG+ Ultra – SERRAPEPTASE – ZINC COLLOÏDAL
Assimilation déficiente
Cancers (adjuvant majeur)
Chirurgie du pancréas : suite
Maladie de Crohn
Pancréas surmené fatigué
POSOLOGIES RESPECTIVES
DG+ ultra : 3 capsules 5 min avant les 3 repas
Serrapeptase : 2 gélules 30 min avant les 3 repas
Zinc colloïdal : 1 bouchon 15 min avant les 3 repas
ATTENTION : SUPPRIMER IMPÉRATIVEMENT
Toutes les viandes d’élevage industriel car elles sont bourrées d’hormones de croissance allant à contre-sens de notre démarche.
Tous les produits laitiers ou tous les produits en contenant pour la même raison. De plus, ils renforcent les protections de mucus des micro-placentas naissants (métastases).
Tout ce qui est sucré car vous nourrissez les « métastases » qui sont avides de sucres pour se développer.
Toutes les pâtisseries et gâteaux secs qui sont pleins de sucre et compliquent le travail du foie.
En dépit de réglementations qui se veulent rassurantes, de multiples impostures contre la santé sont tapies derrière des produits que nous consommons habituellement, et dans les environnements que nous subissons 24 heures sur 24.
Ces impostures sont simplement amorales, cette notion étant occultée par le profit à tout prix des lobbies industriels. Mieux, leur jeu pervers qui consiste à slalomer au-dessus des lois est deux fois gagnant puisqu’après avoir engrangé des bénéfices pharaoniques en nous empoisonnant (légalement), ce sont les mêmes, sous des casquettes différentes, qui rattrapent leurs victimes pour les abonner à une médication à vie contre les dégâts qu’ils ont générés – mais bien sûr sans jamais les guérir…
Avant on créait des médicaments pour soigner des maladies, Maintenant on crée des maladies pour vendre des médicaments.
Texte présenté par Jérôme reçu le 27 novembre 2022 de la Fondation Hippocrate. https://www.hippocrate.net
Primum non nocere
Chers lecteurs,
Il y a quelques semaines, la chaîne Arte a diffusé un documentaire appelé “Des vaccins et des hommes”, réalisé par Anne Georget. (1) Après deux ans d’une communication institutionnelle de masse en faveur des vaccins anti covid 19 et de la vaccination en général, ce travail, tout en nuances, est bienvenu.
Anne Georget s’est donnée la peine d’interroger des sommités du monde scientifique. Ce sont des immunologues, des virologues, des chercheurs reconnus, dont l’éclairage permet de comprendre que les mécanismes de la vie et de l’immunité sont complexes. Ce constat devrait avoir une incidence sur les politiques de santé puisque, vacciner, comme le rappelle ce film, n’est pas un acte anodin. (1)
La deuxième partie du XXe siècle a donné lieu à de nombreuses campagnes de vaccination massive. Au moins trois générations ont été marquées par la vaccination systématique. Ce documentaire permet de faire le point sur les données accumulées, sur quelques idées reçues, ainsi que sur les grandes questions qui restent en suspens.
Les études de Peter Aaby et les effets non spécifiques des vaccins
Peter Aaby est un scientifique danois renommé. Il est internationalement reconnu pour le sérieux de ses études. Ses données sont considérées comme fiables. C’est aussi un homme intègre dont la méthodologie est claire et transparente. Peter Aaby est une perle rare. (2)
En 1978 Peter Aaby a établi le Bandim Health project, un programme de santé et de suivi démographique des populations en Guinée-Bissau. 200 000 personnes sont ainsi suivies depuis plus de 40 ans. Les scientifiques recueillent des données sur les effets de la vaccination, de la vitamine A ainsi que sur certaines maladies comme la malaria et la tuberculose. (3)
Les études ont commencé à être publiées en 1981. En tout, 9 études ont été menées sur le vaccin DTP. Dès la première publication, il est apparu que le DTP avait des effets négatifs sur la survie des enfants. Les six études qui ont suivi ont confirmé ces données. Peter Aaby était tellement surpris par ces résultats qu’il les a fait réanalysés par une autre équipe scientifique, directement déléguée par l’OMS. Les résultats ont été validés. (4)
Les enfants avaient entre trois et cinq mois. En moyenne la mortalité infantile était deux fois supérieure chez les bébés vaccinés par rapport aux bébés non vaccinés. Les filles étaient plus touchées que les garçons par cette surmortalité. Ce n’est pas tout. Les enfants vaccinés étaient directement liés au projet Bandim : ils étaient bien nourris et accompagnés. Les enfants non vaccinés habitaient dans des zones plus reculées dans des familles pauvres et isolées. Ils étaient moins bien nourris et ne disposaient pas des services médicaux dont bénéficiait le groupe des vaccinés. (5,6)
Vous noterez que malgré ces résultats, connus, dès la première étude, les campagnes de vaccination ont continué. Les études se sont succédé. À chaque fois, des bébés et plus particulièrement des petites filles ont perdu la vie à cause d’une vaccination inadaptée.
On a appelé ces résultats les effets non spécifiques des vaccins. Peter Aaby a été félicité pour sa découverte. Généralement, lorsqu’il est cité, d’autres effets non spécifiques des vaccins, plus positifs, sont mentionnés. Par exemple, la vaccination contre la rougeole est associée à une baisse de la mortalité de 50% chez les nourrissons. Pourtant, la rougeole ne représente pas 50% de la mortalité infantile. Dans ce cas donc, les bénéfices sont plus grands que les inconvénients.
Ces résultats positifs contrebalancent peut-être les études négatives sur le DTP. Elles n’ôtent cependant pas l’idée que ces populations de Guinée-Bissau ressemblent étrangement à des cobayes grâce auxquels la science avance. Quel que soit le lieu où une étude se déroule, et même s’il existe d’autres études bénéfiques, est-il acceptable de reproduire des études ayant montré une mortalité infantile de 80% supérieure chez le groupe prenant le traitement par rapport au groupe contrôle, qui ne reçoit pas le traitement ?
Que valent les contrôles effectués sur les vaccins ?
Dans le documentaire d’Arte, l’un des neurologues français les plus réputés est interviewé. Il s’agit du Pr Romain Gherardi, chercheur à l’INSERM et chef du service d’Histologie-Embryologie de l’hôpital Henri Mondor (Créteil), centre de référence des maladies neuromusculaires.
Il a identifié une maladie rare : la myofasciite à macrophages. Il s’agit de lésions musculaires qui provoquent des douleurs aux muscles et aux articulations ainsi que de la fatigue et parfois de la fièvre. Les patients souffrent en permanence de symptômes qui rappellent la grippe. Le Pr Gherardi a émis l’hypothèse que ces lésions musculaires pouvaient être provoquées par l’aluminium chez des patients dont le corps ne serait pas capable d’évacuer le métal toxique. Cet aluminium viendrait des vaccins.
Le Pr Gherardi rappelle d’emblée qu’il est favorable à la vaccination. Il précise que c’est le cas de toute son équipe. Pour autant, il n’est pas à l’aise avec la manière dont les vaccins sont mis sur le marché. Il ne comprend pas qu’il n’existe pas pour les vaccins le même degré d’exigence scientifique en termes de contrôles et de tests que pour les médicaments.
Par exemple, les vaccins ne sont pas soumis à autant d’études précliniques que les médicaments. Aucune étude n’est faite non plus pour savoir s’ils peuvent avoir un effet cancérigène ou mutagène. On ne sait pas s’ils ont un effet sur la fertilité. Pour les médicaments, tous ces risques sont testés sur des petits animaux de laboratoire ou sur des tissus cellulaires. Au niveau des vaccins, ces tests n’existent pas.
Enfin et, c’est peut-être le plus grave, les vaccins ne sont jamais testés contre des placébos. En temps normal, lorsqu’un produit de santé est mis sur le marché, il doit être testé contre une substance neutre ou placebo. Les scientifiques qui mènent l’essai clinique forment alors deux groupes, l’un prend le traitement, l’autre reçoit le placebo. Si à la fin de l’étude, le “groupe contrôle” ayant reçu le placebo se porte mieux que le groupe qui a pris le traitement, c’est que ce dernier n’est pas adapté. Il ne peut pas être autorisé sur le marché. Les vaccins, eux, ne sont jamais testés contre placebo. On compare toujours des populations vaccinées avec des populations vaccinées.
Pourtant, il existe deux raisons objectives justifiant que les vaccins soient soumis à des contrôles plus exigeants que les médicaments. D’abord, ils sont utilisés sur des personnes en bonne santé qui n’ont donc pas d’intérêt particulier à prendre un risque manifeste pour leur santé, ce qu’un patient atteint d’une maladie grave accepte plus facilement ; ensuite parce qu’un vaccin est irréversible alors que la prise d’un médicament inefficace ou toxique peut être arrêtée à tout moment. Avec les vaccins, il n’y a pas de retour en arrière possible.
C’est aussi pour cela que les études de Peter Aaby sont si importantes. L’une des rares fois où l’on a comparé des populations non vaccinées et des populations vaccinées, le taux de mortalité chez ces dernières s’est révélé deux fois plus élevé. La conclusion du Pr Gherardi est limpide : “C’est scientifiquement intenable”.
L’histoire et l’évolution des maladies aux XXe et XXI siècles
Le documentaire d’Anne Georget permet par ailleurs de s’arrêter sur l’histoire récente des maladies. En effet, dans les pays occidentaux, l’espérance de vie a beaucoup augmenté durant la première partie du XXe siècle. En France, elle est passée de 45 ans en 1900 à 68 ans pour les femmes en 1950 et 63 ans pour les hommes. En 2022, l’espérance de vie en France est de 86 ans pour les femmes et de 80 ans pour les hommes. (7,8)
Cela est dû en partie au recul d’un certain nombre de maladies infectieuses. Il existe deux manières de regarder l’évolution de ces maladies : soit on s’intéresse à l’incidence, soit on prend en compte le taux de mortalité. Au regard des courbes officielles, il est certain que l’incidence a baissé depuis l’introduction de la vaccination. En revanche, rien n’a changé au niveau de la mortalité, et pour cause : elle était déjà très faible lorsque la vaccination a été introduite.
Conclusion : si la mortalité a baissé au XXe siècle, ce n’est pas grâce à la vaccination. L’assainissement des lieux de vie, l’hygiène et une meilleure alimentation sont des facteurs bien plus crédibles du recul de la mortalité.
Par exemple, aux Etats-Unis le vaccin actif contre la rougeole est introduit en 1968 alors que la maladie a déjà quasiment disparu. En France, il est introduit en 1983 alors que la rougeole ne fait plus de morts. En effet, la rougeole a causé plus de 2500 morts en 1925, plus de 400 en 1940, et une trentaine depuis les années 70. L’arrivée du vaccin, une décennie plus tard, n’à quasiment pas eu d’effet sur la mortalité qui était déjà très faible. Elle a surtout un effet sur l’incidence de la maladie.
Dans le cas de la variole, il apparaît, d’après le rapport de l’OMS de l’époque, que les mises en quarantaine des personnes touchées, associées à la vaccination ciblée de leurs proches, ont permis d’éradiquer la maladie.
Par ailleurs, la vaccination a eu sur les patients des effets inattendus. Ainsi, la rougeole qui était exclusivement infantile avant que la vaccination ne soit introduite est devenue une maladie d’adulte chez certains patients.
Certains scientifiques avancent même une autre hypothèse un peu inquiétante : la vaccination massive et répétée pourrait avoir un effet sur d’autres maladies comme les maladies auto-immunes ou certains cancers.
En faisant, le choix d’une vaccination systématique et massive nous avons donc probablement diminué l’incidence des maladies infectieuses. Toutefois, dans le même temps les scléroses en plaques, les maladies de crohn, les allergies et autres troubles auto-immuns ont augmenté, ainsi que le montre le schéma suivant, tiré du film :
La responsabilité des vaccins dans cette évolution n’est pas nécessairement directe et n’a pas été prouvée officiellement. Mais leur influence sur le système immunitaire ou sur le microbiote, de génération en génération pourrait jouer un rôle néfaste même s’il est difficile à évaluer. À terme, si cette hypothèse était vérifiée, elle pourrait remettre en cause le principe de la multi-vaccination.
Les microbes ne sont plus nos ennemis
Les études qui s’enchaînent sur le microbiote et son génome ont permis aux scientifiques de comprendre que Homo sapiens avait besoin des virus et des bactéries pour vivre. C’est ce qu’explique Mark Davis, directeur de l’Institut d’Immunologie de Stanford, interviewé dans le documentaire. Il précise que lorsque l’on pense aux bactéries, on s’imagine nécessairement quelque chose de mauvais, de dangereux. Mais les chercheurs ont désormais compris que ces microorganismes pouvaient aussi être bénéfiques pour le corps humain. Ils sont même indispensables ! La vie ne peut pas se déployer sans les virus ou les bactéries.
Mark Davis remet en cause la notion de guerre entre le soi et le non soi, entre ce qui est à l’intérieur du corps et ce qui est exogène. En réalité, le corps humain est en interaction permanente avec les micro-organismes, notamment ceux présents dans l’intestin ou sur la peau. Une partie de ces microbes participent aux fonctions physiologiques les plus fondamentales de la vie.
Pour lui, rentrer dans le monde microbien, c’est faire face à la complexité mais aussi aux paradoxes de la vie. Il donne l’exemple du cytomégalovirus (CMV), un virus de la famille de l’herpès. Ce dernier peut tuer des personnes immunodéprimées mais peut, au contraire, renforcer le système immunitaire chez des personnes en bonne santé. On en revient à la fameuse phrase, attribuée à Antoine Béchamp : “le microbe n’est rien, le terrain est tout.”
Pour compléter son propos, Mark Davis cite une étude portant sur 16 paires de jumeaux. À chaque fois, l’un avait le CMV et l’autre pas. Conclusion : ceux qui étaient porteurs du CMV faisaient beaucoup plus d’anticorps contre la grippe ! Ils étaient mieux protégés. Dans ce cas, le CMV n’est pas un pathogène mais un symbiote. Sa présence est bénéfique, il travaille avec son hôte pour le bien de l’écosystème global. Or, le CMV est présent dans le monde entier chez de très nombreuses personnes. Il leur rend de nombreux services. Mais c’est aussi un tueur. Le scientifique, de conclure : “c’est choquant”.
Vers une vaccination intelligente et personnalisée ?
Chaque être humain est différent. Et chacun a une histoire virale et bactérienne qui lui est propre. Aucun patient ne devrait être vacciné sans que cette part de lui-même ne soit analysée. Ainsi, dans le documentaire le Dr Michel de Lorgeril rappelle que le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) présente un risque chez les femmes déjà infectées par le virus. Ces dernières voient leur risque de déclencher un cancer du col de l’utérus augmenter de 40% ! La vaccination anti-HPV n’a donc de sens que chez les femmes qui ne sont pas infectées par le virus.
Une autre étude, non mentionnée dans le film, mais qui aurait pu l’être, a montré de manière irréfutable que chaque individu réagit très différemment à la vaccination. Ces travaux ont été menés à l’hôpital privé Nord parisien à Sarcelles en 2014 et publiés en 2015. Ils étaient subventionnés par la région Ile de France. (9) Ces travaux s’appuient sur le dosage ou la mesure des anticorps.
Les salariés de l’hôpital ont accepté qu’on leur fasse une prise de sang pour mesurer leurs anticorps vaccinaux. L’étude portait sur les quatre vaccins obligatoires à l’hôpital à l’époque : tétanos, polio, hépatite A, hépatite B. L’expérience a été menée le même jour sur 144 personnes. Cela permettrait de faire le point sur l’état vaccinal des soignants.
Le premier résultat était attendu : la majorité des soignants avaient les anticorps nécessaires pour lutter contre les quatre maladies visées par les vaccins. Cela donnait : Hépatite À 63%, Hépatite B 78%, tétanos 93% et poliomyélite 63%. En revanche, pour ces 4 vaccins, une moyenne de 10% des personnes n’avaient pas d’anticorps. Pourtant, tous avaient été vaccinés. Ainsi, ce n’est pas parce qu’une vaccination est obligatoire pour tous, que l’immunité est présente chez tout le monde. Par ailleurs, une personne qui dispose déjà des anticorps contre une maladie ne devrait pas se faire vacciner. Pour elle, le risque de contracter la maladie, voire de la transmettre est limité.
Ce phénomène s’explique notamment par le fait que chaque personne dispose d’une identité immunitaire appelée système HLA. L’immunité est déterminée en partie par la génétique et vous naissez au monde avec une capacité unique pour vous défendre contre les maladies. Vous partagez une partie de vos caractéristiques immunitaires avec certains membres de votre famille. Ainsi, il existe en Afrique de l’ouest des groupes de populations immunisés naturellement contre la malaria. Cette identité immunitaire vous a été transmise par vous parents et, à votre tour, vous la transmettez à vos enfants. Mais dans ce jeu héréditaire, les menaces que vous avez rencontrées dans votre vie sont prises en compte. L’immunité transmise évolue. Ce n’est pas un système figé.
Le documentaire d’Anne Georget offre un éclairage nouveau et inattendu sur la vaccination. Il explore des hypothèses souvent restées marginales. Le fait qu’un média national, reconnu pour son sérieux, propose un son de cloche différent sur le sujet des vaccins est très encourageant. Ce travail marque t’il le début d’une parole plus libre sur la vaccination ? L’avenir le dira.
Il reste encore bien du travail à faire, d’autres documentaires à réaliser et de livres à proposer.
À ce sujet, je tiens à vous signaler la sortie récente du dernier ouvrage de Xavier Bazin, intitulé “Antivax Toi-même !” publié chez Trédaniel et préfacé par le Dr Michel de Lorgeril. C’est une lecture qui viendra compléter votre connaissance du sujet en plus du documentaire d’Arte.
En tout cas, il est important que ces idées, à contre-courant aujourd’hui, circulent.
Affaire à suivre !
Références:
(1) Des vaccins et des hommes : https://www.arte.tv/fr/videos/091092-000-A/des-vaccins-et-des-hommes/
Remèdes chimiques. En prendre ou ne pas en prendre?
Voici quelques considérations supplémentaires et très importantes sur l’usage des médicaments allopathiques (donc chimiques). Tous de dangerosité prouvée scientifiquement. Privilégiez les remèdes plutôt que les médicaments (car ils ne remédient à rien, ou presque…).
Source: Michel Dogna <newsletter@micheldogna.fr>, le 2025-06-12 05:00
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DES MÉDICAMENTS CAUSANT LA DÉMENCE et au moins des troubles de la mémoire
Voici une liste à toujours garder vers soi, pour surveiller les prescriptions de votre médecin. Il faut toujours garder en tête la citation en guise de déontologie du code de la santé qui déclare :
La médecine est tenue des moyens et non des résultats.
Tout médecin est donc couvert à partir du moment où il applique le protocole en cours…
LES STATINES contre les problèmes cardiovasculaires : 7 millions de patients en France prescrits à vie… (avec une protection statistiquement nulle).
Les statines, comme la simvastatine (Ator Torva…) réduisent le cholestérol mais leur utilisation prolongée peut causer des troubles de la mémoire et de la confusion mentale. Certaines études montrent un risque accru.
Des effets secondaires peuvent affecter la qualité de vie : douleurs musculaires, rhabdomyolyse (syndrome clinique comportant une dégradation du tissu musculaire squelettique) et problèmes digestifs.
L’OMÉPRAZOLE largement prescrit pour les brûlures d’estomac.
Il appartient à la classe des inhibiteurs de la pompe à proton (IPP) et inclut également le lansoprazole, le pantoprazole et l’ésoméprazole. Ces médicaments réduisent la production d’acide gastrique mais leur utilisation prolongée a été associée à des risques graves pour la santé du cerveau.
L’oméprazole est souvent utilisé sans ordonnance, mais il est crucial de consulter un médecin avant de commencer un traitement prolongé. Le traitement par IPP doit généralement être limité à des périodes de 2 semaines à 3 mois selon les besoins et les ajustements diététiques nécessaires.
LES ANTICHOLINERGIQUES pour le Parkinson et les troubles urinaires.
Ils agissent en bloquant l’acétylcholine, un neurotransmetteur clé pour la mémoire et l’apprentissage. Des études montrent qu’ils augmentent le risque de démence.
Les anticholinergiques courants liés au déclin cognitif incluent la méclizine, la scopolamine, la bipéridène, l’oxybutynine et la diphénhydramine.
En revanche, d’autres comme la glycopyrronium et le tiotropium n’ont pas montré ces effets. Les patients et les médecins doivent peser soigneusement les risques et les avantages de ces médicaments.
LES CORTICOSTÉROÏDES pour traiter diverses inflammations et maladies auto-immunes.
Une utilisation prolongée, en particulier par voie orale, peut causer des effets secondaires graves tels que la désorientation, l’anxiété et la dépression. Une étude britannique a révélé que les personnes prenant des corticostéroïdes à long terme avaient un risque plus élevé de développer une démence.
Les glucocorticoïdes comme la prednisone affectent les fonctions cérébrales en modifiant les niveaux de cortisol (une hormone du stress). Même les corticostéroïdes inhalés comme la fluticasone peuvent avoir des effets négatifs s’ils sont utilisés à forte dose ou sur une longue période.
Il est essentiel que les professionnels de la santé surveillent étroitement leur utilisation et envisagent des traitements alternatifs.
LES BENZODIAZÉPINES telles que l’alprazolam et le diazépam (lysanxia, lexomil…) pour traiter l’insomnie et l’anxiété.
Bien qu’efficaces à court terme, leur utilisation prolongée peut doubler le risque de maladie d’Alzheimer et causer des lésions cérébrales permanentes.
Une étude a montré que 40% des personnes utilisant ces médicaments ont ressenti divers symptômes neurologiques comme des difficultés de concentration. Ils sont également associés à des risques de dépendance physique et émotionnelle, rendant leur arrêt difficile pour beaucoup de patients.
Les médecins devraient considérer des traitements non pharmacologiques comme la thérapie comportementale pour traiter l’anxiété et l’insomnie.
LES AMPHÉTAMINES pour traiter le trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH).
Bien qu’elles améliorent temporairement la concentration, une consommation prolongée peut entraîner des pertes de mémoire et d’autres dommages cognitifs durables. Elles créent une dépendance physique et émotionnelle et peuvent causer des problèmes graves tels que des arythmies cardiaques.
Il est crucial que les professionnels de santé surveillent attentivement leur prescription. Des approches non pharmacologiques comme la thérapie comportementale devraient également être envisagées.
LES ANTIHISTAMINIQUES DE PREMIÈRE GÉNÉRATION comme la diphénhydramine, pour traiter les allergies.
Ils peuvent causer des troubles cognitifs en raison de leur action anticholinergique. Une étude récente a montré que leur utilisation prolongée est associée à un risque accru de démence.
Des alternatives moins nocives comme la cétirizine sont préférables pour traiter les allergies sur le long terme. Il est important de consulter un médecin avant de prendre ces médicaments pendant une longue période.
LES ANTIDÉPRESSEURS TRICYCLIQUES pour traiter le burn-out
Les antidépresseurs tricycliques, comme l’amitriptyline, augmentent la disponibilité de plusieurs neurotransmetteurs mais ont également des effets anticholinergiques. Cela les rend associés à un risque plus élevé de démence et de troubles cognitifs, notamment chez les personnes âgées.
Aujourd’hui, des alternatives plus sûres comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) sont disponibles et offrent un meilleur profil de sécurité.
Remèdes naturels. En prendre ou ne pas en prendre?
Voici quelques considérations sur l’usage des remèdes naturels et/ou des médicaments allopathiques (donc chimiques).
REMEDES NATURELS Les humains sont apparus sur la planète Terre il y a 500 millions d’années. Voire plus. Ils se soignaient avec l’alimentation brute et naturelle, les plantes médicinales, les bains, l’argile, l’air et le soleil comme tous les autres animaux. Il y a 12’000 ans une femme, parait-il, a eu l’idée de semer des graines de plantes alimentaires. Il s’ensuivit une augmentation de la productivité. L’agriculture était née et elle est restée primitive durant ces 12’000 ans n’utilisant que les ressources de la nature pour se développer. D’autres événements et conséquences s’ensuivirent mais c’est une autre histoire. Des milliers d’année plus tard, arrivèrent les médecins indous puis chinois, les médecine et pharmaciens arabes et grecs principalement. Ceux -ci ont répandu l’usage de la médecine humorale c’est-à-dire les concepts de drainage des émonctoires et des humeurs appelés aujourd’hui la lymphe associé à l’équilibrage des tempéraments. Ces concepts se retrouvent, dans l’homéopathie par exemple. Notre organisme a appris durant ces centaines de milliers d’années à vivre, métaboliser tous ces éléments naturels. Il est en parfait harmonie avec nos cellules et nos ADN cellulaires et mitochondriaux.
« Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas et ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ». Hermès Trismégiste
Toutes ces thérapies sont protectrices et dynamisantes de notre vitalité. Elles protègent et ressourcent notre système immunitaire en lui permettant de nous laisser vieillir en bonne santé en donnant de la « Vie à nos années » plutôt que des années à la vie nous permettant de nous en aller en toute quiétude « repus de jours », comme certains l’ont écrit, et en parfaite santé.
REMEDES CHIMIQUES Pour la petite histoire, apprenez que l’histoire de la médecine allopathique commence il y a environ 12’000 ans.
Il y un peu plus de 130 ans, nous somme entre 1850 et 1900, la chimie remplace lentement les alchimistes. L’aspirine était née grâce à la découverte de l’acide salicyliques dans le Saule et la Spirée (alias Reine-des-Prés/Bois). Il fallut attendre après 1918, pour que des médecins se rendent compte que certains soldats gazés voyant certains de leurs problèmes disparaitrent. Des essais d’administration du gaz ypérites chez certains malades eurent lieu à titre thérapeutique mais comme tous les « cobayes » périrent, l’usage « médicinal » de ce gaz fût abandonné. Mais pas l’idée. Ainsi naquit la chimiothérapie et l’usage de l’Aspirine se répandit suivi de tous les « anti » que vous connaissez (jamais de « pro »). Toutes ces thérapies sont destructrices et épuisantes de notre vitalité. Certaines de ces thérapies n’ont une efficacité estimée qu’à 30% (…pas besoin de compter les 70%, ce sont de mauvais cas pas fiables…). Elles anesthésient notre conscience, polluent notre lymphe alias nos humeurs et entravent notre système immunitaire, l’empêchant de nous permettre de vieillir en bonne santé. Une des conséquences est de nous enlever des années à la vie en nous apportant l’illusion de l’amélioration de la qualité de notre vie. La misère psychologique, les douleurs morales et physiques sont au rendez-vous. Qu’à cela ne tienne. Les opioïdes chimiques, les antidépresseurs, AINS et antibiotiques feront l’affaire pour persister dans l’erreur et multiplier les prescriptions (Errare humanum est, perseverare diabolicum, tiré des sermons de saint Augustin). Aujourd’hui, on sait que l’espérance de vie décline et que les hôpitaux et centres d’accueil pour personnes âgées sont complets. Mais n’est-ce pas le but de l’opération?
Merci de m’avoir lu. Il reste beaucoup à écrire et à apprendre pour décider et faire les bons choix. JP Chapuis
De plus en plus de personnes de tous âges renoncent ou souhaitent renoncer à manger de la viande (dites: rouges, blanches ou poissons). Voici un opercule qui complètera vos connaissances et vous rassurera entièrement sur le bien-fondé de cette recherche et pratique alimentaire.
VÉGÉTARIEN FACILE Pourquoi manger sans tuer Végétarien facile Voici un petit guide qui répond à toutes les questions sur le végétarisme et qui donne des recettes de base simples et savoureuses.
Il suffirait de renoncer à la viande pour éradiquer sans délai la faim dans le monde tout en préservant l’environnement et notre santé. Non seulement notre régime carnivore affame la planète, mais il nous tue aussi par la recrudescence des maladies de « trop nourris » : accidents cardiovasculaires, diabète, obésité…
Devenir végétarien est donc un acte civique. C’est aussi un acte moral vis-à-vis des animaux. Les conditions atroces d’élevage en batterie et la pollution chimique de la viande (vaccins, antiobiotiques…) devraient à elles seules couper l’appétit.
On sait aujourd’hui que les légumineuses sont bien plus riches en protéines que n’importe quelle viande, que la cuisine végétarienne est facile et savoureuse, qu’elle est parfaitement équilibrée.
Il y a en Europe 25 millions de végétariens qui se portent mieux que les autres, et qui ont 10 fois moins de cancers.
Ce petit livret présente des recettes de base simples et équilibrées qui vous régaleront tout en préservant votre santé.
Vous voulez être à la mode ? Soyez végétarien ! Les animaux vous remercient !
Les débuts de la médecine classique scientifique européenne étaient basés sur la pathologie humorale. Les maladies étaient comprises comme des désordres du milieu humoral. Les chinois les apprécient ainsi que les techniques ayurvédiques.
Hippocrate de Cos a été le premier représentant de la médecine humorale. Le fondement théorique de ce concept thérapeutique enseignait que les perturbations des 4 liquides fondamentaux (sang, sécrétions muqueuses, bile jaune et bile noire) correspondaient aux 4 tempéraments. La conséquence de ces connaissances fondamentales implique la relation entre l’intérieur de l’organisme et la surface cutanée. La relation entre le concept de « nettoyage » par l’acheminement des substances dommageables en direction de la peau dans le soulagement des maladies en fût une autre conséquence (cf loi de Hering).
Dans toutes les cultures anciennes, on retrouve cette idée et ce savoir de dérivation des déchets vers l’extérieur de l’organisme. Le plus réputé des médecins de thérapie humorale est Paracelsus von Hohenheim qui a été qualifié de « médecin humoral » (Humoralaerzte).
Le plus connu des thérapeutes de médecine humorale en Allemagne fût B. Aschner. Ses techniques sont :
Les ventouses sèches ou par saignement
Sangsues (fichier « hirudothérapie.ppt»)
Saignées
Technique de Baunscheidt
Emplâtres de cantharide
« Mini et mikrofontanelle »
Fondements de la thérapie humorale
L’accumulation des toxines de différentes sortes perturbe la dynamique des fonctions organiques ce qui entraîne inflammations, production et rétention de toxines endogènes, des désordres mécaniques, des blessures (Verletzung) internes, l’apparition de champs perturbateurs, désordres du tractus digestif, non résistance aux stress, apparition de désordres auto-immuns, perturbations glandulaires, etc.
On retrouve ces idées dans l’homotoxicologie de Reckeweg.
Effets physiologiques des thérapies humorales :
Amélioration des échanges au sein du tissu conjonctif. Lutte contre les stases sanguines et lymphatiques. Améliore la micro-circulation. Élimine les dépôts toxiniques
Fortifie le système immunitaire. La thérapie humorale a une action locale cutanée et générale ubiquitaire de stimulation immunitaire
Évacuation de douleurs et de médiateurs inflammatoires. Douleurs locales et médiateurs inflammatoires sont directement éliminés par le phénomène d’hyperhémie. Thérapie efficace et ciblée de la douleur
Action sur et par les points et zones réflexes. Stimulation mécanique des points réflexes s’adressant à l’entier du segment concerné et à l’organe-cible
Diverses méthodes dérivatives
Bains de siège
Lavement, lavages coloniques et cure « Xantis® » et yogiques (prokschalana)
Bains partiels (mains, pieds)
Emmaillotements (dos, abdomen en hôpital pour faire repartir l’intestin après une opération)
Emplâtres et cataplasmes : lulur (= ayurvéda. Poudre de riz et curcuma avec de l’eau et de la papaye), « Décongestine® », choux, oignons, argile, blanc d’œuf, Fango (terre argileuse de Battaglia en Italie et paraffine), farine de lin, farine de moutarde, etc.
Dans les rues de Stockholm, Helsinki ou Copenhague, le mercure des thermomètres reste une grande partie de l’année en dessous de zéro, et les hivers sont rigoureux. Néanmoins, il n’est pas rare de voir des nourrissons exposés à l’air libre, même lorsque les températures sont négatives, sagement installés dans leurs poussettes.
Une pratique bien étrange à travers nos yeux d’Occidentaux ; pourtant les Scandinaves ne sont pas fous et encore moins maltraitants envers leurs petits, loin de là. Les familles nordiques qui perpétuent une tradition plusieurs fois centenaire : la sieste en extérieur, même par grand froid. Son petit nom ? La sieste nordique.
Le froid et la tradition
L’origine de cette coutume remonte à une époque très lointaine où les habitations nordiques offraient un environnement intérieur peu propice à la santé des nourrissons. « C’est une pratique qui remonte à loin quand les maisons traditionnelles étaient en tourbe et mal aérées, que la cuisine se faisait à l’intérieur à feu couvert », explique Petur, un Islandais de 38 ans. Des maisons sombres et saturées de polluants divers et de fumée due à la combustion des cheminées.
Un cadre peu favorable à la santé des tout-petits, qu’on préférait placer à l’extérieur pour ne pas les exposer aux émanations de ces logements rustiques. Bien que l’utilisation de matériaux de construction plus modernes se soit répandue, la tourbe est restée un matériau utilisé dans certaines régions, en particulier en Islande, jusqu’au début du XXᵉ siècle.
La pratique de la sieste nordique s’est même institutionnalisée en Suède et en Finlande au début des années 1940, et elle continue de nos jours. Un moyen de combattre le taux élevé de mortalité infantile et d’améliorer la qualité de vie des nourrissons. Frederik Gernigon, Franco-Danois de 30 ans vivant à Copenhague, confirme l’ancrage profond de cette habitude : « Il s’agit d’une idée qu’on ne discute même plus. Cela allait de soi pour nos parents quand nous étions enfants, et rien n’a changé ».
Bien sûr, les enfants sont suffisamment protégés du froid par une panoplie très complète de vêtements, leur conférant une protection suffisante pour que leur système immunitaire ne soit pas mis à trop rude épreuve.
Cette intuition populaire a reçu une validation scientifique en avril 2011, lorsque Marjo Tourula, un chercheur finlandais de l’Université d’Oulu (Finlande) a publié une étude sur le sujet. Ses travaux ont établi que la température extérieure idéale pour la sieste des bambins se situerait autour de -5° C, à condition que l’enfant soit correctement emmailloté. C’est-à-dire qu’il soit enveloppé de manière appropriée dans une couverture ou un linge, afin de le maintenir au chaud et de lui procurer une sensation de sécurité.
Selon Tourula, les bénéfices de cette pratique seraient multiples : renforcement des défenses immunitaires, réduction des risques de toux, de rhumes et d’infections, mais aussi une amélioration notable de la qualité du sommeil. L’emmaillotage, qui réduit la mobilité du bébé, « augmente la durée du sommeil et peut aider les enfants à se rendormir seuls, sans l’intervention des parents », précise le chercheur.
Les bébés pourraient trouver le sommeil plus facilement dans un environnement avec des bruits de fond, une idée plutôt contraire à celle que l’on se fait en Occident, où le silence règne souvent au moment de l’endormissement. Nathalie Schittekatte, coach en sommeil pour enfants, avance son explication : « Le silence complet est étrange pour un bébé : dans le ventre de sa mère, il y avait beaucoup de bruit. Les sons extérieurs sont aussi assez doux et répétitifs. Peut-être que cela contribue à un meilleur sommeil ».
Outre ces considérations biologiques, cette tradition nordique véhicule également une philosophie de vie, comme le souligne Tore Keller, journaliste danois correspondant à Paris : « De génération en génération, on se dit que cette façon de faire permet à nos enfants d’être armés contre les rudesses de l’hiver et, symboliquement, contre celles de la vie » En somme, elle incarnerait une forme d’éducation très précoce à la résilience. Plusieurs crèches françaises ont d’ailleurs adopté cette pratique, le personnel ayant remarqué que les bébés s’accommodent à leur petite sieste à l’extérieur.
En résumé:
Les pays scandinaves font dormir leurs nourrissons dehors, même en hiver, une pratique héritée d’un temps où l’air intérieur était insalubre.
Des recherches ont montré que cette habitude renforce le système immunitaire des bébés, améliore leur sommeil et réduit les infections.
Certaines crèches en France testent cette méthode, constatant que les tout-petits s’y adaptent facilement et dorment mieux.
LA MÉTHODE GUIILLAND Les Bains dérivatifs pour rester en forme en régulant la température. La diminution de la température interne grâce à la Poche froide, pour se maintenir en forme naturellement sont les 4 éléments de la Méthode France Guillain . Une compétence archaïque retrouvée qui, en utilisant la fraîcheur, assure le déplacement et l’expulsion des graisses blanches et la mobilisation des graisses brunes. Cette technique date de très longtemps.
Kühne L.
Loi de l’unité morbide de Kuhne (1835-1901) et Broussais (1722-1838). « La maladie est une et humorale et ses expressions ne diffèrent qu’en intensité selon les réactions générales et locales ».
QU’EST-CE ? Le Bain Dérivatif n’est pas une médecine exotique. C’est une compétence archaïque, exactement comme l’allaitement maternel. Il sert à remplacer les effets de la marche, nu dans un pays chaud, ce qui était la condition première de l’être humain. Les animaux le pratiquent couramment sans se poser de questions sur les saisons, le yin ou le yang. Cette technique qui ne coûte absolument rien est extrêmement efficace pour notre bien-être.
COMMENT CELA FONCTIONNE Le Bain Dérivatif est une technique qui consiste à rafraîchir les deux plis inguinaux et le périnée dans le but de faire vibrer, rendre motiles les intestins et l’ensemble des fasciae. On peut le faire avec un gant de toilette et de l’eau, ou bien, par gain de temps et commodité, il peut être remplacé par l’utilisation de poches 36.6°. En effet, ce qui nous manque le plus est la fraîcheur au périnée. Cela fonctionne même sur les personnes qui ne peuvent absolument pas marcher.
Cette fraîcheur entraine la motilité du fascia et de l’intestin provocant l’expulsion des selles, mais aussi le déplacement, le cheminement dans tout le corps des graisses issues de la digestion.
Les effets du Bain Dérivatif sont très nombreux. Il fait partir en premier lieu les mauvaises graisses, épaisses, qui se trouvent directement sous la peau (dites graisses blanches). Mais il aide aussi les personnes trop maigres à nourrir correctement les muscles, à densifier les os. Il contribue sans conteste à la régénérescence de l’organisme.
LE RÔLE DE LA CIRCULATION DES GRAISSES BRUNES Pourquoi est-il important de faire circuler les graisses brunes?
Les graisses fluides, dites brunes, sont indispensables pour la protection contre la chaleur et le froid, l’énergie, les réserves, la fonction hormonale, le transport des cellules souches adultes capables de réparer tous nos tissus. Ces graisses ont aussi deux fonctions de nettoyage.
Les graisses épaisses au contraire (jaunes et blanches floconneuses) sont des graisses de mauvaise qualité dues à des aliments dénaturés et à une mauvaise mastication. On les trouve essentiellement chez les animaux d’élevage et les humains ayant une mauvaise hygiène de vie. Elles doivent être expulsées par les graisses fluides.
Durant cent ans, selon ce que décrivait Louis Kuhne, le Bain Dérivatif a été strictement observé comme une technique de nettoyage interne du corps. Actuellement nous découvrons d’autres fonctions du Bain Dérivatif car nous commençons à comprendre comment se déplacent nos graisses, à quoi elles servent, comment les faire circuler. Cette circulation continue des graisses permet l’évacuation des surplus par la digestion, mais elle permet aussi aux graisses fluides de chasser les graisses épaisses qui déforment la silhouette, et de remplir leurs nombreuses fonctions, qui sont en sommeil lorsque le fascia ne travaille pas.
HISTORIQUE Outre les livres de Louis Kuhne, le Bain Dérivatif est connu depuis des milliers d’années en Chine, il est pratiqué depuis toujours en Nouvelle-Guinée, nous en trouvons des traces dans le Coran et la Torah (ablutions plusieurs fois par jour), et il est pratiqué en France par des centaines de milliers de personnes. Monsieur Henri-Charles Geffroy de La Vie Claire et Monsieur Raymond Dextreit le tenaient en haute estime. Il est recommandé par de nombreux hygiénistes et de plus en plus conseillé par des médecins. Le Docteur Plisnier, auteur de La santé Libre, aux éditions Ambre 2001, y consacre trois pages.
Il y a encore beaucoup à dire sur le Bain Dérivatif. Vous trouverez des informations complémentaires dans Le bain dérivatif ou D-CoolinWay, Éditions du Rocher, mais aussi Les Bains Dérivatifs, Éditions Jouvence.
LE CHARBON VÉGÉTAL Source: mail du 25.7.24 de Michel Dogna
REMARQUES PRÉLIMINAIRES Le charbon ayant la capacité de capter vos sels minéraux, il ne faut en faire qu’un usage ponctuel. En principe, sauf cas impératif, ne pas dépasser 3 jours même avec la myrtille.
Concernant la myrtille, vous pouvez ne pas utiliser les gélules de myrtille mais de la teinture-mère alias extrait hydroalcoolique en utilisant celle faite avec les feuilles ou le mélanges des feuilles et des fruits..
Toutes les indications ci-dessous sont valables mais ne faites pas comme les chercheurs cités dans le texte qui suit.
RAPPELS HISTORIQUES Depuis des années, nous connaissions déjà de réputation le charbon végétal dit « activé » pour sa capacité exceptionnelle d’adsorption des poisons et de désintoxication intestinale. Ce remède de secours millénaire très simple, que tout le monde devrait avoir chez soi fut, je le rappelle, largement promotionné par Danièle Starenkyj dans son ouvrage best-seller Mon petit Docteur.
Il s’est passé du temps depuis que le chimiste Bertrand, en 1813, a avalé en public de l’oxyde d’arsenic pouvant tuer 150 hommes, sans aucune séquelle; de même le pharmacien Touéry, en 1831, a ingurgité devant l’académie française 10 fois la dose mortelle de strychnine sans aucun trouble conséquent. Tous les deux avaient préalablement pris de la poudre de charbon activé ! Et ce n’est qu’en 1984 que le journal JAMA a sorti de derrière les fagots ce merveilleux mangeur universel de poisons (la médecine rechigne toujours à dévoiler des remèdes non rentables).
Depuis, il y a eu plus de 500 articles médicaux (hélas uniquement en anglais !) qui ont offert plus de 10 000 références scientifiques sur l’utilisation du charbon activé. On apprend ainsi qu’on peut l’utiliser efficacement pour désintoxiquer des analgésiques, des fébrifuges, des antidépresseurs tricycliques, des glucosides cardio-toniques, des solvants organiques, de la plupart des médicaments à effets iatrogènes et divers produits chimiques toxiques. Le charbon activé est même efficace contre le mercure, le plomb, les insecticides, les herbicides, les hormones, certaines substances radioactives, etc. (la liste est longue) !
Mais le sujet du jour est moins ambitieux puisque son objet est de proposer un moyen efficace et transportable sur soi en tous lieux pour régler les petits problèmes désagréables de notre tube digestif au quotidien.
POURQUOI L’ASSOCIATION CHARBON-MYRTILLE ? Une combinaison astucieuse et pratique à toujours avoir avec soi. Surtout si vous voyagez. Le charbon activé déshydrate l’intestin, sa mission mécanique de base étant entre autres de combattre les diarrhées infectieuses (ex : tourista), d’où son effet constipant avec des selles dures. La myrtille vient compenser cet inconvénient. En effet :
En renforçant les actions du charbon, elle permet de réduire les quantités posologiques en jeu et par conséquent son effet constipant
Elle a un effet astringent sur le système parasympathique intestinal qui favorise son péristaltisme et donc le transit
Elle apporte des effets complémentaires tels qu’anti-inflammatoires et anti radicaux libres, utiles pour la restauration et le confort intestinal
PRÉCISIONS SUR LE CHARBON SUPERACTIVÉ Il est élaboré à partir de coques de noix de coco, d’abord chauffées entre 600 et 900°C. Cette opération est suivie d’une seconde chauffe en présence d’air, de vapeur d’eau et de gaz oxydants, afin de créer l’extrême porosité du charbon. Enfin, il est broyé en une poudre ultra-fine. Celle-ci, bourrée de micropores, fonctionne comme une véritable éponge. La capacité d’adsorption de ce charbon super activé est d’environ 1000 m²/gramme. Cette poudre ultra-fine de qualité pharmaceutique présente un indice de phénazone (capacité d’adsorption) supérieur à 40 % (ce pourcentage est normalement entre 20 et 40 %).
FONCTIONNEMENT DANS L’INTESTIN Les toxines alimentaires introduites dans l’intestin grêle sont captées par le charbon suractivé avant que le corps tente de les décomposer. C’est ainsi que les gaz et les acides sont neutralisés, et adieu les ballonnements, flatulences, reflux, coliques, gaz malodorants et paresse digestive après les repas.
PRÉCISIONS SUR LA MYRTILLE Elle est antiseptique par ses composants phénoliques Elle permet de calmer les vomissements par son action sur le mucus de la paroi gastrique Elle permet de lutter contre les diarrhées infectieuses grâce aux tanins qu’elle contient Elle est anti-inflammatoire (comme cité plus haut) Elle est anti radicaux libres, protégeant le vieillissement des muqueuses digestives Elle possède des propriétés régulatrices et limitatrices des fermentations intestinales au niveau du côlon Elle évite la mauvaise haleine Elle neutralise les éructations Elle résout les aigreurs d’estomac Elle empêche l’aérophagie Elle est antidiarrhéique
INDICATIONS DU CHARBON MYRTILLE Aérophagie Aigreurs d’estomac Aliments suspects (additifs industriels) Ballonnements après repas Coliques intestinales Constipation atone Crampes intestinales Diarrhée réactionnelle Digestion : tous problèmes courants Digestions laborieuses Douleurs colitiques Éructations Fermentations intestinales Flatulences Gaz odorants ou pas Haleine fétide Inflammations intestinales Reflux gastriques
(Toutes ces indications sont valables si vous n’utilisez que les gélules de charbon)
CONSIDÉRATIONS SUR LES INTOLÉRANCES Je voudrais ici présenter certains désagréments digestifs sous un autre jour. Il ne faut pas confondre une réaction judicieuse de votre corps face à un aliment malsain occasionnel, et une complication digestive systématique pour un aliment ou un plat donné. Il est clair que dans ce dernier cas, c’est votre corps qui n’en veut pas. Ce n’est pas un caprice mais une sagesse instinctive que les animaux possèdent d’ailleurs mieux que nous.
Votre corps fait toujours de son mieux pour sauver votre santé. Soit il demande à être aidé dans sa digestion, soit il rejette carrément un aliment qui ne lui convient pas. Pourquoi ? On ne sait pas, mais le corps sait et a toujours raison ! On appelle cela une intolérance.
Concrètement, voici un exemple : des personnes me disent « j’adore le chocolat, mais je suis toujours patraque après. Que pourrais-je prendre pour ne plus être patraque ? » Le meilleur remède : Arrêter le chocolat… par respect de votre corps.
Personnellement, à l’âge de 50 ans, le lait de vache, le lactose et surtout la crème fraîche et le beurre m’ont subitement déclenché des réactions cardiaques violentes, je ne sais pas pourquoi. Depuis, je ne consomme que de la cuisine au lait ou à la crème d’amande, de coco ou d’avoine, et tout va bien.
Cependant, si tout ce que vous mangez vous crée des ennuis digestifs, cela signifie qu’il y a un défaut dans votre organisme et il est nécessaire de l’aider : le charbon myrtille vous offre une bonne solution.
PRÉSENTATION – POSOLOGIE Boites de 120 gélules de poudre fine faciles à utiliser (ne noircissant pas la bouche et les dents).
À prendre aux 3 repas : 1, 2 ou 3 gélules en fonction de l’importance du problème
Concernant les informations concernant les vaccins, le vaxxin et les médicametns chimiques reportez-vous à la page Vaccins, et médicaments. chimiques
Cette rubrique Cette vidéo a été supprimée, car elle ne respectait pas le règlement de la communauté YouTube. C’est pourquoi je vous en donne le texte. ALIS est l’une des associations françaises contre les vaccinations de masse. Ce texte a déjà plus de 12 ans mais garde toute son actualité.
VIOLENCE VACCINALE
Françoise Joët (ALIS- France)
[Inspiré par un article de Mike ADAMS, www.naturalnews.com, 20 février 2010]
[…] Ceux qui ne se sont jamais interrogés sur les vaccins ne réalisent pas à quel point la vaccination obligatoire est un acte de brutalité, de violence, d’irrespect. Ils trouvent que ceux qui critiquent les vaccinations tiennent des « propos outranciers », comme si la vaccination, qui très souvent fait hurler les bébés, était une gentille caresse ! Les vaccinations sont une forme de violence chimique envers les enfants. Les introduire de force dans le corps de jeunes innocents, est un acte de violence médicale » écrit Mike Adams.
Il n’y a rien qui transforme aussi rapidement un « médecin ordinaire » en un « médecin fou furieux » que le mot VACCINATION. Tout indique qu’il s’agit d’une personne raisonnable quand vous évoquez toutes sortes de sujets, jusqu’au moment où vous abordez la question des vaccinations. Immédiatement la transformation s’opère. Si vous avez le malheur de l’interroger sur le danger des vaccins, alors là, il devient irrationnel et jette par la fenêtre tout son bon sens, en proie à une rage, une émotion et une folie antiscientifique. L’absence de preuves rigoureuses de l’efficacité et de l’innocuité des vaccins n’importe pas pour lui. « Les vaccins n’ont pas besoin de science, ils marchent, tout le monde le sait! »
Ce bon médecin qui avait un bon diagnostic, qui suivait bien toute votre famille, devient féroce dès qu’il entend le mot vaccination.
Pourquoi cette réaction épidermique aussi violente ? C’est l’effet Jekyll & Hyde. Difficile d’expliquer un tel dédoublement de la personnalité sans voir dans le mot vaccin une charge magique, un pouvoir supra humain. Comment en est-on arrivés à conférer une telle puissance à une supercherie ? Au fil du temps, les hommes seraient-ils devenus si bêtes pour se laisser leurrer de la sorte ? Indignez-vous, conseille-t-on aujourd’hui…
Non, les vaccins ne sont pas efficaces
Lorsque des épidémies surviennent chez des gens vaccinés, c’est une preuve de leur échec : dans la logique pasteurienne, seuls les individus non vaccinés devaient attraper la maladie. Le vaccin contre la grippe envoie plus de seniors au cimetière que la maladie elle-même. En outre, comme les vaccins introduisent dans le corps un germe « atténué », ils perturbent la réponse immunitaire normale, qui devient elle-même « atténuée », et créent une faiblesse systémique qui rend les gens vulnérables aux futures infections. En d’autres termes, les vaccins obligent le système immunitaire à être de plus en plus passif face aux infections. « Affirmer que les vaccins sont efficaces et sûrs, c’est là le plus grand mensonge de la médecine moderne », s’indigne Mike ADAMS.
Les vaccins rendent le contrôle des populations plus facile
Plus on reçoit de vaccins, plus on devient manipulable. Les vaccins provoquent des atteintes répétées au niveau du système nerveux ce qui progressivement diminue les fonctions cognitives : les gens ont de plus en plus de mal à penser par eux-mêmes, bien qu’il soit possible de rectifier en partie la situation grâce à des nettoyages du terrain et à une bonne alimentation. Les vaccins participent, en première ligne, au processus d’empoisonnement des êtres vivants que les sociétés modernes ont mis en place depuis des décennies. Plus les gens tomberont malades, ou penseront qu’ils vont tomber malades, plus il y aura d’argent à faire pour une poignée d’individus.
Si vous commencez à poser des questions de bon sens sur les vaccins, immédiatement vous serez visés et culpabilisés. On s’acharnera pour vous faire plier. Les vaccinations sont des armes au service du bioterrorisme. Toute l’attention est détournée vers des bandits internationaux dont on n’a jamais vu le vrai visage et qui focalisent l’attention du bon peuple, maintenu dans la peur.
Pendant ce temps, les vaccinations de masse font leur travail de sape, souvent imperceptible, invisible en un premier temps, car elles ne tuent pas directement et semblent même vous aider à passer à côté des maladies. C’est là qu’est l’illusion et la tromperie car, sans bruit, elles perturbent notre système immunitaire et compromettent notre faculté de nous maintenir en bonne santé. C’est sur le long terme que les dégâts sont visibles, et, quand nos défenses auront été annihilées, il sera alors trop tard.
Les vaccins compromettent notre capacité à restaurer notre santé lorsque nous subissons une baisse d’énergie. Notre taux vibratoire décline et notre corps devient permissif à toutes sortes de détériorations. Ne croyez pas que cela soit fortuit, les autorités qui dictent leur loi savent très bien à quoi mènent les vaccinations de masse. Affaiblir les peuples, c’est conserver le pouvoir sur eux. Les vaccins sont des armes au service des puissants, pour contrôler les populations ; des armes pour garder les fortunes dans les coffres-forts ; des armes pour maintenir au pouvoir des bandits dépravés qui se rient de nous voir trembler ; des armes pour mettre à genoux les plus pauvres, afin que les riches se gobergent.
Si les vaccins étaient incontestablement bons, sûrs, inoffensifs, efficaces et bénéfiques pour l’humanité, ils seraient acceptés sans conteste. Ce n’est pas le cas. Alors demandons-nous pourquoi ses promoteurs ont-ils besoin des les imposer par la Loi, par la force, par la violence, usant de l’intimidation, de la culpabilisation et de sanctions ? Pourquoi utilisent-ils la dissimulation et le mensonge, empêchant tout questionnement, toute discussion sur le sujet ? Pourquoi s’évertuent-ils à nier leurs effets secondaires, bafouant le droit des victimes à la réparation ? Tous ces éléments rendent les vaccins suspects et donnent aux citoyens le droit de les contester, le droit de les refuser. Plus que jamais une clause de conscience s’impose.
Indignez-vous… et réclamez le droit fondamental de disposer librement de votre corps, le droit fondamental de refuser toute atteinte à votre intégrité physique, le droit fondamental d’être libre et responsable de votre santé.
« Jusqu’à mon dernier souffle, je ne parviendrai jamais à comprendre comment des gens s’obstinent à défendre leur droit de se faire injecter à eux-mêmes et à leurs enfants des poisons, des virus et des produits chimiques appelés « vaccins » sous prétexte que cette mixture est sans danger et leur assurera la santé.» Dr Sherri TENPENNY
Je vous propose cette réflexion car les problèmes d’occlusion peuvent avoir de lourdes conséquences pas seulement visibles mais cachées dans notre psychisme et notre vie quotidienne. Potentiellement, nous sommes toutes et tous concernés. Le problème actuel est de trouver un spécialiste conscient et compétent. Les deux qualités vont obligatoirement ensemble.
Dents et occlusion dentaire. Et si ça venait des dents…
Bien peu de dentistes accordent de l’importance à l’occlusion de la mâchoire. J’ai vu des patients dépenser des sommes folles pour un résultat plus que discutable. Et si certains en souffrent tant (le fameux S.A.D.A.M. par exemple), comment expliquer ceux qui n’ont rien, malgré une occlusion catastrophique ? Je me suis donc penché sur ce problème.
Il s’avère qu’au-delà de l’occlusion, ce sont les dents en elles-mêmes qui peuvent être source de problèmes bien plus graves : tendinites à distance (du tendon d’Achille par exemple), lombalgie chronique, sciatiques rebelles, malabsorption intestinale qui vous pourrit la vie, troubles cognitifs, etc.
Les dents étant des origines et sources puissantes d’énergies, la liste des troubles entrainés par des soins dentaires « hasardeux » est longue. Les dents, indirectement, affaiblissent ou renforcent l’organisme. Elles peuvent l’épuiser à petit feu et être responsables de maladies qui s’éternisent, sans que jamais on ne les incrimine.
Merci à Xavier Bazin pour ce texte et ces lien reçus le 11.10.2021. xavier.bazin@sante-corps-esprit.email.
« Gratitude : Voir le bon côté des choses, et remercier
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Je vous le dis franchement : j’ai été assailli d’idées noires, ces derniers mois :
Tant de morts auraient pu être évitées par des traitements simples et peu coûteux.
Tant de souffrances inutiles, causées par les confinements, restrictions et discriminations sanitaires.
Tant d’irrationalité et d’absurdités acceptées docilement (comme masquer des enfants de 6 ans !).
Tant de signes, aussi, d’une « pente totalitaire » angoissante (censure des idées dissidentes, obligation d’injection de produits expérimentaux, négationnisme des effets indésirables, etc.).
J’ai beau être doté d’un tempérament joyeux et optimiste, cela fait beaucoup à avaler !
Heureusement, il n’y a pas que du négatif.
Derrière chaque nuage noir, il y a une « silver lining », disent les Américains – un écrin argenté :
Cet écrin lumineux représente l’espoir, la lumière au milieu des ténèbres.
Oui, il y a du LUMINEUX dans cette période sensible
Le Dr Louis Fouché et son épouse ont écrit un texte magnifique à ce sujet.
Je vous livre les premières phrases et vous invite à le lire en intégralité, à la fin de ce message :
« Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en « crise sanitaire mondiale », en « pandémie globale ».
Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques.
Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude.
Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui, nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.
Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse.
Et après l’apocalypse vient un autre monde.
Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore. »
Le texte complet (ci-dessous) est poétique, rempli d’espérance et de foi dans l’avenir de l’humanité.
De mon côté, voici ce que je relève comme sujets d’espoir.
Le plus important, à mon avis, c’est que beaucoup de gens ne verront plus jamais la médecine comme avant :
Des millions de Français ont découvert la face noire de la médecine moderne
Avant la pandémie – et à part vous, mes chers lecteurs – qui savait qu’il y avait un problème fondamental avec notre système médical ?
Combien de Français croyaient leur médecin aveuglément… et plus encore les « pontes » qui passaient à la télé ?
Combien avaient conscience que l’industrie pharmaceutique influençait massivement les recommandations de nos autorités sanitaires… et les prescriptions médicales qui en découlent ?
Combien pouvaient s’imaginer que des remèdes naturels simples, comme un spray nasal, de la vitamine D, du zinc ou une tisane d’artemisia annua pouvaient avoir une grande efficacité face à un dangereux virus ?
Merci à la pandémie d’avoir ouvert les yeux de beaucoup de Français.
Et merci au Pr Raoult d’avoir joué un rôle fondamental à ce sujet.
Il n’y a pas besoin d’être d’accord sur tout avec le Pr Raoult pour comprendre à quel point sa voix aura été magistrale – et à quel point il doit être remercié.
Sa vidéo la plus populaire, « Reprise épidémique chez les personnes vaccinées »[1], a été vue plus de 3 millions de fois sur YouTube.
Une autre vidéo, « Effet des vaccins & Corruption », a été vue plus de 2 millions de fois !
C’est colossal !
Et cela fait au moins 3 millions de personnes qui savent maintenant qu’on ne peut pas croire nos autorités sanitaires et nos médias aveuglément.
Un exemple entre mille : saviez-vous que le remdésivir – ce médicament inefficace et toxique à 2 000 euros promu par le laboratoire Gilead depuis le début de la pandémie – bénéficie toujours, au moment où je vous parle, d’une autorisation de mise sur le marché de l’Union européenne (temporaire mais renouvelée récemment)… et est toujours régulièrement prescrit dans les hôpitaux américains ! Voilà la réalité des recommandations « officielles » !
Désormais, au moins 3 millions de personnes vont se poser des questions sur notre système médical !
Personnellement, cela fait des années que je dénonce ce que le Pr Even a appelé la « corruption et crédulité en médecine ».
A chaque scandale sanitaire, comme celui du Levothyrox, j’ai rappelé que ce n’était que la face émergée d’un iceberg de corruptions et de mauvaises pratiques.
Et je suis sûr qu’au prochain scandale, beaucoup plus de gens comprendront qu’il n’est pas lié à la « faute à pas de chance », mais à un système fondamentalement dévoyé.
Bref, beaucoup de gens ont ouvert les yeux sur la médecine actuelle…
….ainsi que sur son « arme absolue », le vaccin.
Le « dieu vaccin » va tomber de son piédestal
Les scandales médicamenteux (Mediator, Depakine, Levothyrox, etc.) ont échaudé beaucoup de Français, au fil des années…
…mais le « dieu vaccin », lui, a continué de jouir d’une réputation presque immaculée.
Toutefois, avec ces vaccins Covid expérimentaux, je pense que l’esprit critique va revenir.
Après nous avoir vanté des vaccins efficaces à 95 %, il est devenu évident que ce n’était pas la « baguette magique » attendue – il suffit de voir ce qui se passe en Israël.
Quant à la toxicité de ces nouveaux vaccins, elle est manifeste, avec 100 fois plus de décès et d’effets indésirables graves que le vaccin contre la grippe.
Après tant de mensonges sur l’efficacité et la sécurité de ces vaccins Covid, je suis sûr que certains se poseront la question :
Est-ce qu’on ne nous aurait pas menti, aussi, sur les autres vaccins ?
Sont-ils aussi sûrs et efficaces qu’on ne nous le dit ?
Ces dernières années, je vous ai écrit des lettres nuancées et critiques sur un certain nombre de vaccins. Si le sujet vous intéresse, je vous invite à les relire, car elles prennent une nouvelle résonance aujourd’hui :
Sur l’aluminium contenu dans beaucoup de vaccins, ici et ici ;
Sur les vaccins très controversés contre l’hépatite B (ici) et le rotavirus (ici) ;
Sur le vaccin contre la rougeole, ici, ici, ici et ici – le contraste avec celui contre la varicelle ici et les points communs avec le vaccin contre la coqueluche ici ;
Sur le vaccin contre la grippe saisonnière, ici, ici, ici et ici ;
Et en bonus, un exemple frappant de la façon désinvolte dont les vaccins sont autorisés, au mépris du principe de précaution, ici.
Ces lettres font écho au travail remarquable du Dr de Lorgeril, qui a réalisé une collection de livres excellents sur chacun des principaux vaccins, en décrivant la réalité au-delà des mythes.
Après cette crise, je suis sûr que beaucoup de gens seront prêts à évaluer chaque vaccin, individuellement, avec esprit critique – plutôt que d’accepter la « vaccination » comme toujours bonne et efficace.
Pour cela aussi, merci la pandémie.
Et peut-être sera-ce l’avènement d’une révolte justifiée contre les 11 vaccins obligatoires imposés aux pauvres nourrissons, qui n’en ont pas besoin d’autant, et qui ont encore moins besoin de l’aluminium toxique qu’ils contiennent ?
Plus globalement, c’est la SANTÉ qui va sortir vainqueur de ces débats :
S’informer et prendre sa santé en main, par soi-même, est devenu une ÉVIDENCE !
Dans cette épidémie, certaines personnes sont mortes pour avoir suivi les conseils de leur « médecin doliprane » – ces médecins qui ont respecté sans se poser de question la recommandation officielle de ne pas soigner.
À l’inverse, beaucoup de gens ont évité une hospitalisation, ou même la mort, parce qu’ils ont choisi les bons gestes de prévention : vitamine D, zinc, etc… et parce qu’ils se sont traités eux-mêmes avec des produits non « validés » mais certainement utiles : huiles essentielles, propolis, argile, curcumine, quercétine etc.
On ne peut pas faire démonstration plus claire de l’intérêt de prendre en main sa santé !
D’un côté, certains sont morts d’avoir suivi les recommandations sanitaires et les déclarations de leurs médecins.
De l’autre, beaucoup ont été sauvés, ou du moins soulagés, par les protocoles naturels qu’ils connaissaient où qu’ils ont suivi auprès des bonnes sources, sur Internet.
Et ce qui vaut pour la Covid vaut pour la plupart des maladies !
Y compris le cancer, la maladie théoriquement la plus « réservée à la médecine » !
Sans remettre en cause les traitements anti-cancéreux officiels, il devrait être évident pour tout le monde que beaucoup de traitements complémentaires peuvent faire une différence énorme pour la survie !
Dans son ouvrage de référence, Cancer, être acteur de son traitement, le Dr Ménat décrit l’intérêt de nombreuses molécules, comme le desmodium, la propolis, la vitamine D, les probiotiques, les omega-3, etc.
Je suis sûr que beaucoup de gens seront désormais plus ouverts à l’idée que ces traitements de soutien ont une réelle efficacité.
Car beaucoup savent, maintenant, pourquoi leur oncologue ne leur en parle pas : c’est parce qu’ils ne rapportent rien à personne, ou presque – comme la chloroquine et l’ivermectine contre la Covid !
D’ailleurs, peut-être que dans une prochaine édition, le Dr Ménat inclura l’ivermectine, qui, selon certains travaux scientifiques, pourrait être aussi un anti-cancéreux très prometteur[2][3] !
Mais désormais, vous le savez : si l’efficacité de l’ivermectine contre le cancer était confirmée, il est certain que cette molécule à 5 euros ne serait jamais acceptée par le système actuel (les chimios à 10 000 euros par mois représentent un pactole trop attractif).
Rappelez-vous les propos décisifs du Pr Raoult, dès les premiers mois de la crise :
« Tout notre modèle scientifique et économique est basé sur le développement de nouvelles molécules. C’est une affaire financière et culturelle : l’idée qu’on va répondre à chaque fois avec une molécule extrêmement chère. » (BFM TV)
« Si vous dites maintenant, alors qu’on dépense des centaines et des centaines de millions pour trouver des nouvelles molécules, qu’il suffit de recycler des molécules anciennes qui sont génériquées et qui ne coûtent rien, vous sciez toute une branche de la science qui s’est développée depuis 20 ans et donc vous avez les plus grandes difficultés à trouver des gens qui regardent cela avec un œil favorable ». (i24 News)
Beaucoup de gens ont compris cela, maintenant, après avoir vu ce qui s’est passé avec la Covid.
Alors merci à la pandémie, pour cela.
Et comme promis, je vous laisse avec le texte du Dr Fouché, encore plus beau en vidéo (et en musique !) :
Ou par écrit, sur le site de ReinfoCovid : https://reinfocovid.fr/editoriaux/toute-lequipe-de-reinfocovid/