L’Homéopathie

Le Professeur Marc Henry dans son livre « L’Homéopathie, La physique et la chimie des hautes dilutions datant de 2019 souligne l’importance de s’informer sur l’homéopathie. Je cite:« Ceux qui affirment que l’homéopathie n’est pas scientifique, je les invite à prendre le temps de lire la littérature scientifique riche et fertile sur le sujet. Parce que ce n’est pas la science qui manque mais bien l’envie de la lire. »

Alors… lisez ci-dessous.

Petite histoire de l’homéopathie

L’homéopathie est d’une infinie richesse. Thérapeutique bien sûr car au niveau financier, elle est très très économique. Et dans notre société occidentale c’est un gros défaut car, pour la plupart ce qui est cher est mieux et meilleur si ce n’est parfait par comparaison avec ce qui ne coûte pas cher. 

L’homéopathie s’adresse à toutes et tous depuis avant la naissance et ensuite pour la naissance, les bébés, les enfants, les adolescents, les adultes et toutes les personnes plus âgées. En aparté, je souligne que les animaux l’adorent.

L’Inde, le pays le plus peuplé du monde avec plus d’un milliard d’habitants, l’utilise préférentiellement car la plupart de ceux-ci ne peuvent pas se soigner avec des remèdes chimiques. Ces sont donc des centaines de millions de personnes qui se procurent des globules ou des liquides ou des poudres homéopathiques pour se soigner. Et cela depuis plus longtemps que l’on pense.  

L’homéopathie s’utilisent de diverses manières avec divers systèmes de préparation et dilutions des remèdes. La plus connue est bien entendu la méthode dite des centésimales. Elle utilise aussi des règles (des lois) de prescription. Cela implique de ne pas faire n’importe quoi lorsqu’on choisit un ou plusieurs remèdes. Il faudra tenir compte du tempérament, de la constitution, de terrain, des antécédents, des blocages (appelés aussi barrages), du choix de la méthode de dilution. Une CH peut ne pas convenir et il faudra utiliser une Korsakovienne (K) ou une décimale (D) ou encore une millésimale (M). 

L’homéopathie est donc une médecine PERSONNALISÉE. C’est aussi, pour et comparé à la médecine classique qui veut nous faire avaler à toutes et tous les mêmes produits chimiques, un gros défaut qui leur permet de ricaner et de se moquer.

James Tyler Kent (né à Woodhull dans l’État de New York en 1849 – mort à Stevensville dans le Montana en 1916) est un médecin américain, homéopathe et professeur à l’université, à qui le gouvernement américain d’antan avait confié la tâche d’écrire un rapport prouvant l’inefficacité de l’homéopathie. Comme James Tyler Kent était un homme honnête et probe, il s’attela à la tâche avec conscience et compétence. Le résultat fût désastreux pour le gouvernement américain car ses résultats étaient tous en faveur de l’homéopathie. Il est devenu l’une de plus grandes figures de celle-ci après Hahnemann grâce à ses trouvailles concernant les remèdes eux-mêmes et la manière professionnelle de les utiliser. Il a écrit un livre devenu très célèbre, le « Répertoire des remèdes homéopathiques » encore utilisé de nos jours quoique informatisé ce qui en facilite la consultation. 

Christian Friedrich Samuel Hahnemann, né le 10 avril 1755 à Meissen, en Saxe, et mort le 2 juillet 1843 à Paris, est un médecin qui fonda et participa grandement au développement de l’homéopathie, à partir de 1796.

C’est en 1790, à l’occasion d’un travail de traduction de « Lectures de la Matière médicale de William Cullen », un alchimiste célèbre d’antan, qu’il est amené à expérimenter sur lui-même les propriétés du quinquina ((quinquina calisaya = quinquina = remède de fièvre – paludisme). C’est lui qui découvrit aussi le principe de succussion des remèdes afin d’en activer l’action.

 C’est en 1811, à Leipzig, qu’il publie « La Matière médicale pure » et forme ses premiers disciples.

Il commence à mettre en pratique ses principes d’homéopathie à partir de 1796 mais c’est en 1820, attaqué par ses confrères et par les pharmaciens, qu’il trouve asile un an plus tard à Köthen, où le duc Henri d’Anhalt-Köthen lui offre le titre de médecin privé de la cour ducale assorti du droit de fabriquer lui-même ses médicaments. Il y restera 14 ans. 

Hahnemann a gardé toutes ses observations dans ses livres de cas, les journaux de malades et ses ouvrages : +La Matière médicale pure », le « Traité des maladies chroniques, leur nature spéciale et leur traitement homéopathique »

À l’époque, en 1831, une épidémie de choléra envahit l’Europe et la Russie. ses travaux lui permettent de publier 3 textes sur le traitement du choléra.

Ne rencontrant pas le succès espéré auprès de ses confrères, Hahnemann déménage à Leipzig, ville universitaire, où il entreprend de donner des cours, après avoir passé une thèse en 1811, pour accéder au statut de lecteur : c’est effectivement à Leipzig que seront formés ses premiers disciples, tels que Stapf, Gross, Moritz et Wilhem Müller. C’est aussi en 1811 qu’il publie « La Matière médicale pure ». D’autres le seront après son déménagement à Paris en 1835 où il meurt en 1843 dans sa 89ème année. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise.

Il existe de nombreux dossiers médicaux de la période de Paris qui n’ont été que partiellement évalués et pourraient offrir des surprises.

Semion Nikolaïevitch Korsakov (1788-1853) qui n’était pas médecin mais fonctionnaire engagé volontaire à Saint-Pétersbourg en 1812-1813 officiait sur les champs de bataille. L’homéopathie était répandue et pratiquée en Russie. Comme la fourniture de flacons était impossible ou presque, il avait besoin de pouvoir soigner un maximum de gens en un minimum de temps et en utilisant le moins de flacons possibles. Il est connu comme l’inventeur de son système de dynamisation n’utilisant qu’un seul flacon unique. Après la guerre, il reprend le travail dans la vie civile en tant que statisticien au Ministère de l’Intérieur et  s’intéresse alors à la médecine. Jusqu’en 1829, il pratique la médecine traditionnelle en tant que professionnel de santé. Néanmoins, après avoir été soigné homéopathiquement par un de ses parents pour des rhumatismes, il s’oriente vers l’homéopathie. Après cette découverte, il considère que c’est son devoir d’aider à la diffusion de l’homéopathie dans le grand public « par la parole mais aussi par l’action ». Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur sa spécialité.

Plus récemment, d’autres noms se sont illustrés. En Europe, je citerais, Voisin et Broussalian pour la France, Schmidt et Elmiger pour la Suisse. 

Texte personnel et crédit photos et partiellement du texte: Wikipedia.org

COMMENT CELA MARCHE

Crédit: Texte de JP Chapuis ©

L’EAU ET L’HOMÉOPATHIE

Tout d’abord, voici quelques pensées de chercheurs :

« Le médicament homéopathique est un micro-générateur de champs magnétiques. » Donc de fréquences. 

« Lorsqu’une fréquence propre du remède correspond à une fréquence « amortie » du patient, un phénomène de résonnance entre en jeu et une réactivation de cette fréquence a lieu. Cette conception d’avant-garde fait actuellement son chemin dans certains centres de recherche en biophysique. Extrait de « Bericht an Bonn » par F.-A. Popp, Ed. UGM (RFA) »

« Selon des recherches récentes effectuées en Grande-Bretagne par Smith, Choy et Monro, en Allemagne par Popp et Frolich, le patient, comme tout être vivant, produit des champs d’ondes électromagnétiques émanant de groupes de cellules ou d’organes ».

« La moindre de vos cellules émet sa séquence propre. Elle vous est spécifique. » (J. Benveniste) »

L’eau du corps est donc porteuse de milliers d’informations spécifiques et générales, actuelles et ancestrales. 

Le remède homéo homéopathique est donc un ensemble de champs d’ondes électromagnétiques capables de contrecarrer les champs d’ondes électromagnétiques émanant de groupes de cellules ou d’organes perturbés.

Ses actions seront donc autant physique que psychiques. 

L’EAU SE SOUVIENT et L’EAU A DE LA MÉMOIRE

 

Comment cela marche

Crédit: Texte de JP Chapuis ©

PRÉAMBULE

Tout d’abord. Élaborer un remède homéopathique ne peut pas se faire « n’importe comment » et par des personnes n’ayant pas de connaissances précises de la galénique homéopathique. 

Un environnement sain. Pas de musiques ou de bruits indésirables. Un/e opérateur en bonne santé physique et psychique (sans soucis particuliers polluant ses pensées par exemple) capable de se concentrer sur ce qu’il/elle fait. Capable de déférence, de gratitude et de respect profond pour le remède élaboré et les personnes qui en bénéficieront. Utilisé à bon escient et au bon moment, le résultat sera exceptionnel. 

Le travail, proprement dit est simple et à la portée de toutes et tous. Il n’est nul besoin de laboratoires sophistiqués pour élaborer des dilutions de qualité, fiables, efficaces, et sécurisés.

Il faut comprendre que c’est l’eau qui va mémoriser l’information et la rendre lors de la prise du remède. De l’eau impure ne peut qu’être inutilisable. Seule de l’eau parfaitement pure et neutre pourra être la bonne (cf texte sur l’eau). L’eau, porteuse des énergies créatrices, Le remède homéopathique est donc un ensemble de champs d’ondes électromagnétiques capables de contrecarrer les champs d’ondes électromagnétiques émanant de groupes de cellules ou d’organes perturbés. Ses actions seront donc autant physique que psychiques. 

LE MATÉRIEL

Du matériel propre (flacons, mesures, pipettes, gants de laboratoire, etc.), de l’eau vraiment pure, de l’eau additionnée ou non d’alcool consommable (ATTENTION pas n’importe quoi. Les alcools distillés sont à proscrire), des granules neutres, des globules neutres sur sucre ou xylit.

LES MÉTHODES DE DILUTIONS

Il existe plusieurs systèmes de dilution:

  • Décimale
  • Centésimale
  • Korsakovienne ( non expliqué dans ce texte)
  • Millésimale (non expliqué dans ce texte)

La façon de procéder pour les décimales et centésimales est identique sauf que la dilution se fera au dixième ou au centième. Voici un schéma:

 

 

 

 

C’est lui qui découvrit aussi le principe de succussion des remèdes afin d’en activer l’action.

Basse dilution = 1 à 5 CH ou 30 à 200 K
Moyenne dilution = 7 à 9 CH ou M (1’000) à VM (5’000) K
Haute dilution 12 à 30 CH ou XM (10’000) à CM (100’000) K et plus
(VM et CM sont des chiffres romains)

 

 

MÉTHODES DE PRESCRIPTION – POSOLOGIES

La posologie du médicament homéopathique dépend :
• De la réactivité et de la sensibilité du patient
• De la nature et de la forme de la maladie
• De l’activité du remède dans ses différentes dynamisations
• Des possibilités éventuelles d’effets secondaires et/ou de réactions
• De l’expérience du thérapeute … et du patient

DANS LES MALADIES AIGUES

• DYNAMISATION BASSE si la coïncidence des symptômes ne recouvre que partiellement la pathogénésie du remède
• DYNAMISATION MOYENNE si la coïncidence des symptômes recouvre nettement la pathogénésie du remède
• DYNAMISATION HAUTE sont en principe contre-indiquée
• DURÉE D’ADMINISTATION : courte. Cesser dès amélioration importante

DANS LES MALADIES CHRONIQUES

• DYNAMISATION BASSE si la coïncidence des symptômes ne recouvre que partiellement la pathogénésie du remède
◦ DYNAMISATION MOYENNE si la coïncidence des symptômes recouvre nettement la pathogénésie du remède
• DYNAMISATION HAUTE à utiliser de cas en cas sur des symptômes psychiques et/ou après échec des plus basses dilutions
• DURÉE D’ADMINISTATION : de courte à longue jusqu’à l’amélioration nette des symptômes

 

Basse dilution = 1 à 5 CH ou 30 à 200 K
Moyenne dilution = 7 à 9 CH ou M (1’000) à VM (5’000) K
Haute dilution 12 à 30 CH ou XM (10’000) à CM (100’000) K et plus

 

LES INDISPENSABLES

A

A

LA TROUSSE D’URGENCE 1
En principe en basses dilutions (sauf pour, par exemple, ignatia, remède psychique)

ANTIFÉBRILES, ANTICHALEURS
• Aconit apparition subite
• Belladona température installée
• Ferrum phosphoricum fièvre, tremblements, période d’état
• Gelsemium avec tremblements
• Bryonia aggravée par le mouvement
TRAUMATISMES
• Arnica muscles, système circulatoire
• Ledum piqûres, morsures
• Hypericum nerfs
• Ruta graveolens ligaments et os
• Symphytum trame osseuse
• Staphysagria piqûres
• Bellis perennis hématome, coups
• Sarcolactic acid douleurs après efforts
• Conium seins et organes génitaux
• Natrum sulfuricum commotions
HÉMORRAGIES
• China externe
• Arsenicum album interne
• Lachesis sang noir
• Carbo vegetabilis sang noir
• Phosphorus phénomènes brûlants
ANTIINFECTIEUX
• Vipera redi lymphangite, menace d’infection (jambe levée)
• Pyrogenium action “antibiotique”, fièvre avec transpiration ne soulageant pas
• Hepar sulfuricum suppuration !!! 5CH accélère et 15CH freine
• Silicea cicatrices, suppuration
ANTIDOULEURS
• Chamomilla dents
• Colocynthis au ventre, crampoïde, amélioré penché en avant
• Cuprum metallicum état convulsif
• Magnesia phosphoricum antinévralgique, sciatique crurale, aggravé par pression et
chaleur
◦ Berberis vulgaris colique néphrétique, algie en ceinture aggravées au mouvement
et debout, améliorées la tête en bas
◦ Cantharis cystite
◦ Staphysagria cystite post-coïtale
INTOXICATIONS
• Nux vomica
• Arsenicum album alimentaire, piqûre septique
• Opium anesthésie
DIARRHÉS
• Podophyllum en fin de nuit ou tôt le matin
• Veratrum album colique crampoïde avec malaises, sueurs froides
• China après les repas avec ballonements

LA TROUSSE D’URGENCE 2
En principe en basses dilutions.

• Aceticum acidum spécifique des morsures de chat
• Agaricus spasmes musculaires, tics
• Allium cepa rhumes, coryza, écoulements
• Aloe vera diarrhées
• Argentum nitricum peurs d’anticipation, envie furieuse d’uriner
• Bellis perennis fatigue musculaire, traumatisme du sein et utérus,
• !!! Peut empêcher de dormir
• Bryonia alba épanchemnt pleural, synovite
• Calendula en TM compresses
• Capsicum otites, aggavée en avalant
• Carbo végétabilis états deséspérés
• Causticum début de paralysie
• Cocculus maux de voiture
• Croton tiglium prurit surtout génital, aggravé par le toucher
• Drosera toux par grands accès
• Gelsemium trac
• Hepar sulfuricum infections avec suppuration
• Ignatia chocs psychiques !!! 15 ou 30CH
• Ipéca nausées, toux spasmodiques
• Lycopodium indigestion, ballonements
• Natrum muriaticum repas copieux
• Pulsatilla écoulements doux
• Rhus toxicodendron “ce qui brûle”, amélioré au mouvement
• Terebenthina cystite
• Vipera redi lymphangite

 

 

Homéo à Homoios = semblable
pathie à pathos = “en accord avec”

 

Méthode thérapeutique utilisant l’application du principe des semblables et de la loi d’inversion d’effet pour soulager les maux

 

 

 

Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout“

 

en construction

 

 

Béchamp ou Pasteur ? une interrogation bien actuelle !

Par Bernard.Burlet Le 3 mai 2020

L’épidémie de Coronavirus nous prouve combien il est important d’avoir une bonne santé. Les statistiques françaises et mondiales montrent que l’épidémie a beaucoup plus touché les personnes âgées mais aussi toutes les personnes fragilisées par une santé déficiente. Nous allons persister dans les semaines qui viennent sur cette notion de terrain qui nous est chère depuis de nombreuses années.

A la fin du dix neuvième siècle, la médecine allait faire un choix décisif entre deux grandes figures du moment Béchamp ou Pasteur.

Pasteur a longtemps été chahuté par le monde médical car lui-même n’était pas médecin mais chimiste. Les idées pasteuriennes triomphèrent surtout et avant tout parce que cet homme était un fantastique homme des médias et qu’il sut en jouer pour faire triompher ses idées. Au travers de nos écrits, il ne nous appartient pas de soulever les nombreuses zones d’ombre qui se cachent derrière le mythe de Pasteur, mais de montrer que cet homme de génie a totalement occulté celui de savants extraordinaires comme Antoine Béchamp, Claude Bernard, René Quinton qui lui étaient contemporains.

Les thérapies liées au « milieu intérieur » furent occultées au profit de celles du « milieu extérieur.

Avec Pasteur les maladies venaient de micro organismes externes, les thérapies à base de sulfamides, d’antibiotiques, de sérum et vaccins devaient triompher. Celles qui consistaient à renforcer et générer la résistance étaient alors rejetées.

Béchamp ou Pasteur ?

Béchamp et Pasteur qui étaient contemporains, s’opposèrent farouchement pour défendre leurs théories bactériennes devant les milieux scientifiques de l’époque.

Pasteur défendait la théorie selon laquelle toute maladie infectieuse était causée par des micro-organismes invariables dans leur forme et qui se développaient à l’extérieur de l’organisme, le milieu intérieur de tous les organismes vivants étant stérile.

Béchamp voyait à la maladie une origine interne, et affirmait que toute matière organique est sujette à des modifications naturelles dues à des processus normaux de fermentation. Ces processus provoquent, dans des conditions pathologiques, le développement des mycrozomas et aboutissent à la formation de bactéries ayant des propriétés de putréfaction et de fermentation.

En fait, Pasteur n’était ni médecin ni physiologiste mais chimiste. Beaucoup de docteurs en médecine d’aujourd’hui qui se revendiquent de lui ont oublié qu’en son temps, leurs confrères de l’époque le combattirent avec beaucoup de hargne.

Pasteur ne pouvait pas comprendre l’importance du milieu et de la bonne santé d’un organisme comme élément essentiel de résistance à la maladie.

Indifférent à l’ambition personnelle, Antoine Béchamp était modeste et confiant, sincère et enthousiaste, pénétré de l’idée du devoir, de la recherche et de la vérité et de la nécessité de la dire. Il négligera toujours toute publicité, et ne fera aucun effort pour rechercher des relations influentes.

Pasteur lui, était un homme médiatique, arriviste et sans scrupule, génie de la publicité et des relations publiques.

En 1900, Béchamp s’était un jour indigné en ces termes : “Je suis le précurseur de Pasteur comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie”…

Pourtant, sur son lit de mort, Pasteur aurait reconnu la pertinence des travaux de son rival en énonçant cette phrase célèbre : “Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout“.

Roland Reymondier

Conseiller en produits de nutrition

Thérapies anticovid. Que faire?

L’homéopathie est capable de s’adapter à toutes sortes de situations présentes et futures concernant les virus, bactéries et autres parasites. Cette thérapie ondulatoire est aussi valable pour la prévention et le nettoyage régulier des protéines spyke qui nous contaminent en permanence.

L’homéopathie est très efficace sur les infections virales aiguës et chroniques puisque ils sont des, eux aussi, des ondes.

il va sans-dire que l’homéopathie ciblée spécifiquement vous permet de guérir rapidement vos covid long ou court sans effets secondaires.

Le nettoyage correct et efficace es effets secondaires légers ou importants provoqués par les vaxxins à ARN doit se faire accompagné d’homéopathie spécifique à rechercher selon le terrain et la symptomatologie. La prise des dilutions homéopathiques ordinaires comme proposé dans le commerce est très insuffisante.

Seule quelques consultations régulières personnalisées pourront vous aider. La médecine classique ne peut rien pour corriger votre terrain. Les médicaments chimiques peuvent gommer (provisoirement?) vos symptômes mais en aucuns cas corriger votre état général. Au contraire, ils vont l’aggraver.

Me contacter.

Béchamp ou Pasteur ? une interrogation bien actuelle !

Par Bernard.Burlet Le 3 mai 2020

L’épidémie de Coronavirus nous prouve combien il est important d’avoir une bonne santé. Les statistiques françaises et mondiales montrent que l’épidémie a beaucoup plus touché les personnes âgées mais aussi toutes les personnes fragilisées par une santé déficiente. Nous allons persister dans les semaines qui viennent sur cette notion de terrain qui nous est chère depuis de nombreuses années.

A la fin du dix neuvième siècle, la médecine allait faire un choix décisif entre deux grandes figures du moment Béchamp ou Pasteur.

Pasteur a longtemps été chahuté par le monde médical car lui-même n’était pas médecin mais chimiste. Les idées pasteuriennes triomphèrent surtout et avant tout parce que cet homme était un fantastique homme des médias et qu’il sut en jouer pour faire triompher ses idées. Au travers de nos écrits, il ne nous appartient pas de soulever les nombreuses zones d’ombre qui se cachent derrière le mythe de Pasteur, mais de montrer que cet homme de génie a totalement occulté celui de savants extraordinaires comme Antoine Béchamp, Claude Bernard, René Quinton qui lui étaient contemporains.

Les thérapies liées au « milieu intérieur » furent occultées au profit de celles du « milieu extérieur.

Avec Pasteur les maladies venaient de micro organismes externes, les thérapies à base de sulfamides, d’antibiotiques, de sérum et vaccins devaient triompher. Celles qui consistaient à renforcer et générer la résistance étaient alors rejetées.

Béchamp ou Pasteur ?

Béchamp et Pasteur qui étaient contemporains, s’opposèrent farouchement pour défendre leurs théories bactériennes devant les milieux scientifiques de l’époque.

Pasteur défendait la théorie selon laquelle toute maladie infectieuse était causée par des micro-organismes invariables dans leur forme et qui se développaient à l’extérieur de l’organisme, le milieu intérieur de tous les organismes vivants étant stérile.

Béchamp voyait à la maladie une origine interne, et affirmait que toute matière organique est sujette à des modifications naturelles dues à des processus normaux de fermentation. Ces processus provoquent, dans des conditions pathologiques, le développement des mycrozomas et aboutissent à la formation de bactéries ayant des propriétés de putréfaction et de fermentation.

En fait, Pasteur n’était ni médecin ni physiologiste mais chimiste. Beaucoup de docteurs en médecine d’aujourd’hui qui se revendiquent de lui ont oublié qu’en son temps, leurs confrères de l’époque le combattirent avec beaucoup de hargne.

Pasteur ne pouvait pas comprendre l’importance du milieu et de la bonne santé d’un organisme comme élément essentiel de résistance à la maladie.

Indifférent à l’ambition personnelle, Antoine Béchamp était modeste et confiant, sincère et enthousiaste, pénétré de l’idée du devoir, de la recherche et de la vérité et de la nécessité de la dire. Il négligera toujours toute publicité, et ne fera aucun effort pour rechercher des relations influentes.

Pasteur lui, était un homme médiatique, arriviste et sans scrupule, génie de la publicité et des relations publiques.

En 1900, Béchamp s’était un jour indigné en ces termes : “Je suis le précurseur de Pasteur comme le volé est le précurseur de la fortune du voleur heureux et insolent qui le nargue et le calomnie”…

Pourtant, sur son lit de mort, Pasteur aurait reconnu la pertinence des travaux de son rival en énonçant cette phrase célèbre : “Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout“.

Roland Reymondier

Conseiller en produits de nutrition