LE BOL D’AIR JAQUIER

Des séances d’oxygénation par le bol d’air Jaquier sont à votre service   sur rendez-vous: jpc@jpchapuis.net

Dans l’air que nous respirons, même en cas de pollution extrême, l’oxygène est constamment disponible et sa concentration est de 21% depuis des millénaires. Si nos cellules manquent d’oxygène, c’est bien notre capacité à l’utiliser qui est en cause. Pollutions, stress, maladies, vieillissement sont autant de conditions qui diminuent l’efficacité de la respiration. Cette situation est particulièrement aiguë dans les villes. Or le manque de capacité d’assimiler l’oxygène altère le fonctionnement de l’organisme. Le Bol d’air Jaquier apporte une solution à la sous-oxygénation cellulaire (hypoxie) qui en découle. Le Bol d’air Jaquier est la seule méthode d’oxygénation naturelle capable d’apporter à la cellule l’oxygène dont elle a besoin, sans hyper oxygénation et sans risque radicalaire (risques d’oxydation de la celllule et de son bagage ADN). Elle s’adresse à toutes personnes, quelle que soit sa condition physiques et son âge, désireuses de préserver ou restaurer son capital santé. Son usage au quotidien représente une hygiène de vie. Le Bol d’air Jaquier optimise l’oxygénation de l’organisme. Il augmente et entretient notre faculté d’assimilation de l’oxygène normalement respiré. Respirer efficacement contribue donc à préserver un bon état de santé.

Pour quoi, pour qui ?

  • pour améliorer la récupération en cas de fatigue chronique et de stress
  • pour préserver ses capacités intellectuelles, physiques et sensorielles
  • pour accompagner la perte de poids
  • pour la préparation et récupération physique et psychique pour les sportifs
  • pour accompagner les adolescents et étudiants au moment des examens

Indications et contre-indications

Il n’existe pas de contre-indications au Bol d’Air Jacquier sauf pour certaines formes d’épilepsie. Même les nourrissons (notamment en cas de bronchite) et les personnes âgées peuvent profiter de la méthode. D’autant plus qu’elle améliore la mémoire et la clarté intellectuelle.

  • Indications cardiaques et circulatoires
  • Indications respiratoires
  • Indications liées à un besoin de libération toxémique
  • sommeil de mauvaise qualité
  • stress de toutes nature
  • maladies chroniques
  • convalescence, sortie d’hôpital
  • fibromyalgie
  • risques infectieux en toutes saisons mais particulièrement en hiver
  • activités sportives amateures ou professionnelles pour la préparation et la récupération
  • changements de saisons
  • allergies
  • pollutions aériennes virales ou microbiennes
  • vieillissement
  • accompagnement de la perte de poids et cure de jeûne
  • accompagnement et optimisation d’autres soins

Comment ça marche ?

Lorsque nous respirons, l’oxygène pénètre au fond des alvéoles pulmonaires. Il se lie à l’hémoglobine de façon instable et forme avec elle l’oxyhémoglobine en faisant l’échange avec le gaz carbonique (CO2) devant obligatoirement être éliminé. L’oxyhémoglobine, transportée par le sang dans tout l’organisme, cède son oxygène aux cellules sous une forme assimilable. Elle se ré-oxygène en revenant aux poumons et le cycle recommence.

Comment faire ?

En cure, chez soi ou chez un praticien. L’utilisation quotidienne du Bol d’air est conseillée pour obtenir un meilleur résultat.

Commencez par quelques minutes par jour, puis augmentez progressivement le rythme et la durée des séances Ces paramètre varient d’une personne à l’autre.

Il est plus efficace de faire plusieurs courtes séances dans une journée plutôt qu’une seule longue.

Il est inutile de prolonger une séance au-delà de 15 minutes.

Le Bol d’air peut également être utilisé en cures intensives de 20 à 30 jours, à domicile ou chez moi.

Le rôle de l’essence de pin maritime

Le professeur René Jacquier avait constaté que depuis l’Antiquité, les lieux de santé se situaient dans des forêts de pins et de sapins. D’observations en expériences, il trouva dans les essences du pin des Landes (Pinus pinaster appelé aussi pin maritime) la réponse à ses questions.

L’essence de résine de pin, riche en alpha et beta pinènes, est composée de molécules aromatiques insaturées qui offrent la possibilité d’une liaison chimique supplémentaire.

Dans l’atmosphère et dans certaines conditions physiques et météorologiques, elles se chargent fortement en oxygène, ce qui les rend très réactives.

C’est à partir de ce phénomène naturel que René Jacquier a imaginé la solution Bol d’air : utiliser l’huile essentielle de résine de pin (térébenthine), pour créer un transporteur d’oxygène. Un oxygène hautement assimilable

Les pinènes de l’huile essentielle, transformés par peroxydation, deviennent des facilitateurs de l’oxygénation cellulaire. D’où le nom de biocatalyseurs que leur donnait René Jacquier.

Le mécanisme est triple

l’oxygène est mieux distribué aux cellules. En effet, l’hémoglobine “capte” plus volontiers les pinènes oxygénés que l’oxygène seul. A quantité équivalente dans l’air inspiré, elle en transporte davantage vers les cellules l’oxygène est plus facilement libéré dans les tissus : transporté par l’intermédiaire des pinènes, il est moins solidement lié à l’hémoglobine.

  • l’oxygène est délivré sous une forme naissante, hautement assimilable par la cellule.
  • l’organisme est simplement et naturellement mieux oxygéné grâce à cette oxygénation équilibrée
  • la respiration cellulaire s’effectue sans risque de stress oxydatif lié au déficit ou à l’excès d’oxygène
  • la fonction mitochondriale s’améliore : accroissement de la production d’énergie, renforcement des défenses anti radicalaires et amélioration de  la biodisponibilité de l’oxygène

Cette approche n’a rien à voir avec une oxygénation quantitative qui consiste à inhaler plus d’oxygène qu’il n’y en a naturellement dans l’air. Elle est naturelle, sans danger et sans accoutumance.

À quoi sert l’oxygène ?

L’oxygène est au cœur des processus vitaux. Le premier rôle de l’oxygène est de donner de l’énergie à l’organisme. Tout se passe au niveau des cellules, dans de petits organites, appelés mitochondries, qui sont de véritables centrales énergétiques. Avec l’oxygène, elles transforment les nutriments issus de la digestion en énergie directement utilisable par la cellule (ATP). En présence d’oxygène, une molécule de glucose peut donner 36 unités d’énergie (ATP) mais sans oxygène, elle n’en produira que 2…

L’oxygène intervient aussi dans la lutte contre les agents pathogènes et dans le contrôle des radicaux libres, molécules très réactives dont l’excès est nocif pour l’organisme (destruction des structures cellulaires).

Comment l’oxygène arrive-t-il jusqu’aux cellules ?

L’air qui nous entoure contient environ 21 % d’oxygène. Lorsque nous inspirons, il pénètre jusqu’aux alvéoles pulmonaires dont les parois sont tapissées de capillaires sanguins. Là, l’oxygène passe dans le sang qui irrigue toutes les cellules du corps. Inversement, le sang relâche dans les poumons le gaz carbonique dont il est chargé.

Quel est le rôle de l’hémoglobine ?

Dans le sang, l’essentiel de l’oxygène se fixe sur l’hémoglobine des globules rouges, qui lui sert de transporteur. Puis l’hémoglobine libère l’oxygène qui pénètre dans les cellules. En échange, elle capte le gaz carbonique, déchet de la respiration cellulaire, et le rapporte jusqu’aux poumons où il est éliminé dans l’air expiré.

La sous-oxygénation, c’est quoi ?

L’organisme se trouve en sous-oxygénation (ou hypoxie) quand on observe un déficit d’oxygène disponible dans les tissus. Même s’il est en quantité suffisante dans l’air, l’organisme ne l’assimile plus correctement. C’est ce qui se passe dans de nombreuses situations :

  • Pollution atmosphérique et tabagisme. Les polluants tapissent les voies respiratoires et freinent les échanges gazeux. Certains, comme le monoxyde de carbone (CO), prennent la place de l’oxygène sur l’hémoglobine
  • Maladie. De nombreuses pathologies sont source d’hypoxie, notamment les maladies respiratoires et circulatoires
  • Stress
  • Exercice physique intense
  • Âge plus ou moins avancé
  • Altitude

De plus, l’hémoglobine ne cède l’oxygène aux cellules que sous certaines conditions de température, d’acidité ou de taux de gaz carbonique dans l’air : il suffit qu’il dépasse 0,06 % pour entraîner une hypoxie. Or, c’est presque toujours le cas en ville où ce taux oscille entre 0,09 et 0,14 %.

Quels sont les dangers de la sous-oxygénation ?

Ils sont multiples. En voici quelques-unes :

  • Altération du métabolisme. Le déficit d’oxygène provoque un ralentissement de la production d’énergie dans la cellule. Résultat : les réactions biochimiques d’assimilation des nutriments sont incomplètes, les déchets s’accumulent et intoxiquent progressivement l’organisme.
  • Excès de radicaux libres. La mitochondrie ne fonctionne plus correctement : elle fabrique des radicaux libres en plus grande quantité (stress oxydant). L’hypoxie entraîne en outre une dégradation des systèmes de défense antiradicalaire, soit un double stress pour la cellule.
  • Impact sur le système nerveux. Le cerveau et le système nerveux central sont les plus gros consommateurs d’oxygène et donc les premiers touchés. D’où le déclenchement de signaux d’alarme : fatigue chronique, nervosité, défaillance de la mémoire.

L’hypoxie conduit-elle à la maladie ?

Tout dépend de l’intensité de l’hypoxie et de sa durée. Lorsqu’elle perdure, la plupart des fonctions corporelles sont perturbées et la maladie s’installe. La perte de vitalité ouvre la voie à l’apparition de pathologies telles que troubles cardiaques et circulatoires, hépatites chroniques, athérosclérose, voire de maladies plus graves comme le cancer et autres pathologies dégénératives.

Et l’excès d’oxygène ?

Si on augmente la quantité d’oxygène inspiré, cela conduit dans la durée à une hyper-oxygénation (ou hyperoxie). A long terme, elle aussi a des effets délétères sur la santé, notamment via la formation excessive de radicaux libres, à l’origine de dommages cellulaires et d’inflammations. L’administration d’oxygène pur est réservée à des usages médicaux spécifiques.

Des séances d’oxygénation par le bol d’air Jaquier sont à votre service   sur rendez-vous: jpc@jpchapuis.net