Des conseils en avance sur les idées actuelles et conformes aux lois de notre biologie humaine.

Des conseils avisés et efficaces n’étant pas la sempiternelle répétition de concepts alimentaires aujourd’hui obsolètes.

Des conseils basés aussi bien sur les connaissances des Anciens que des Modernes.

Une alimentation simple et conforme à nos besoins de femmes, d’hommes et d’enfants du 3ème millénaire.

Alimentation et cancers

Depuis plusieurs décennies (et peut-être plus) on connait la cause des cancers. Pourtant certains continuent à vous piquer votre fric, par exemple, pour le recherche sur le cancer ou par des thérapies dangereuses et pas très efficaces (les pharmas) et à vous mentir pour continuer à faire croitre leur chiffre d’affaire… Évidemment, les chercheurs, et c’est normal, sont là pour chercher et pas pour trouver. L’Histoire l’a prouvé à plusieurs occasions et de nombreux chercheurs ayant trouvé se sont fait méchamment virer car n’ayant pas fait leur travail… 

Il y a plus de 50 ans que j’ai appris que la première cause des cancers est l’alimentation (90% environ). La seconde cause (environ 10%) est pourvoyeuse des cancers d’origine professionnelle ou environnementale. Plus tard, j’ai appris par un chercheurs peu connu mais faisant partie d’un groupe dont le leader est prix Nobel, que les carences induites par notre hygiène alimentaire de vie sont une des causes de cancers (et pas la moindre). S’y ajoutent les pollutions de pesticides et des nombreuses substances (les « E ») additionnées aux aliments industrialisés. Personne ne sait et ne souhaite savoir ce que provoquent ces kyrielles de molécules (les « E ») non connues de notre biologie. Les chimistes connaissent-ils vraiment leurs métabolismes?  Il en découle une alimentation insuffisante pour couvrir nos besoins puis carencée, « chimiquée », polluée et tuée par la pasteurisation, l’upérisation et le passage aux rayons gamma radioactif. Actuellement, c’est exactement ce que vivent la plupart des humains du monde occidental et plus loin encore. 

Pour rester en bonne santé, c’est-à-dire sans maladies, ni malaises, ni mal-être, nous avons besoin de matière et énergie. Seuls les aliments vivants de variétés végétales anciennes parviennent à nous nourrir correctement. Ils sont fait pour cela. Et cela veut dire que toutes ces variétés modernes de trop beaux fruits et légumes ne tiennent pas du tout leurs promesses. Les aliments vivants existent encore mais il faut aller les chercher dans les pays « pauvres » ou ils existent encore. Là ou les gens vivent de lopin de terre et de trocs divers. Va falloir que nous y revenions car on vivait ainsi il n’y a pas si longtemps. Il va falloir que j’ouvre une page « agriculture »… 

Bonnes réflexions en attendant de savoir si ce texte continuera, plus tard peut-être. Pour patienter, vous pouvez, ou pas, consulter les articles sur la page « Tout savoir sur la santé au naturel« .

© J-P Chapuis – jpc@jpchapuis.net

INTESTIN PERMÉABLE , SIBO ET DÉTERGENTS ET PRODUITS RINÇAGE DE VAISSELLE

La prévalence de nombreuses maladies inflammatoires chroniques liées à l’hyper-perméabilité de la barrière épithéliale intestinale est en forte augmentation, et cela a incité Ogulur et coll. à étudier le rôle de l’utilisation intensive des détergents pour les lave-vaisselles.
Ils se sont penchés à la fois sur les effets des lave-vaisselles professionnels et domestiques ainsi que sur ceux des agents de rinçage quant à la cytotoxicité, la fonction barrière, le transcriptome et l’expression des protéines dans les cellules épithéliales, l’ensemble des ARN issus de la transcription du génome. De façon plus explicite, l’analyse transcriptomique peut caractériser le transcriptome d’un tissu particulier, d’un type cellulaire, ou comparer les transcriptomes dans différentes conditions expérimentales.

Sur le plan technique, les auteurs ont mis en place des « interfaces liquide-liquide entérocytaires » sur des supports perméables. Ils ont ensuite réalisé diverses investigations/mesures portant sur les paramètres suivants : cytotoxicité cellulaire directe, résistance électrique transépithéliale, flux paracellulaire, coloration par immunofluorescence, transcriptome de séquençage d’ARN et une protéomique ciblée.

Effets toxiques du produit de rinçage…qui reste sur les assiettes

La toxicité observée a été attribuée à l’exposition au produit de rinçage de manière dose-dépendante jusqu’à une dilution de 1:20 000 v/v.
Une perturbation de la barrière épithéliale, en particulier par le produit de rinçage, a été constatée dans les cultures d’interface liquide-liquide, les organoïdes et l’intestin sur puce, démontrant une diminution de la résistance électrique transépithéliale, une augmentation du flux paracellulaire et une immunocoloration irrégulière et hétérogène des jonctions serrées des cellules épithéliales intestinales et coliques.

En étudiant séparément les composants individuels du produit de rinçage il est apparu que les éthoxylates d’alcool provoquaient un effet toxique important et endommageaient la barrière digestive. Les données du transcriptome et de la protéomique du séquençage de l’ARN ont révélé une régulation positive de la mort cellulaire, de la signalisation et de la communication, du développement, du métabolisme, de la prolifération et des réponses immunitaires et inflammatoires des cellules épithéliales. Fait intéressant, avec les lave-vaisselles professionnels il a été montré qu’il restait une quantité importante de résidus de détergents après rinçage sur la vaisselle lavée et prête à l’emploi, pouvant aussi endommager la barrière cytotoxique et épithéliale.

Altération de la barrière digestive qui n’est pas sans rappeler celle de la barrière cutanée dans la dermatite atopique

De cet article, très technique pour le clinicien, il faut retenir que, aux concentrations utilisées dans les lave-vaisselles, plusieurs constituants/fonctions de la barrière digestive peuvent être altérés par les produits de rinçage aux concentrations utilisées dans les lave-vaisselles professionnels, y compris l’expression des gènes impliqués dans la survie cellulaire, la barrière épithéliale, la signalisation des cytokines et le métabolisme cellulaire.
Les éthoxylates d’alcool présents dans le produit de rinçage ont été identifiés comme le composant responsable de l’inflammation épithéliale et des dommages causés à la barrière digestive. Ces faits ne sont pas sans rappeler les troubles de la fonction-barrière de la peau, en particulier au cours de la dermatite atopique lésée par de nombreux produits à la mode, comme certaines huiles essentielles.

L’épithélium bronchique également impliqué

Une autre étude de Wang et coll. montre même que ces produits détergents peuvent affecter les jonctions serrées des cellules de l’épithélium bronchique. Il en résulte une forme irrégulière des cellules et une fuite de lactate déshydrogénase après 24 heures d’exposition.

Ces perturbations ont été démontrées à l’aide de diverses techniques y compris la mesure de la résistance électrique transépithéliale (diminuée), le flux paracellulaire (augmenté) et une immunocoloration stratifiée des jonctions serrées (TJ) des cellules bronchiques exposées à un détergent à lessive à des dilutions de 1:25 000 ou à des résidus de rinçage à d’autres dilutions de 1:10.

L’analyse du séquençage de l’ARN a montré que le métabolisme des lipides, la progression de l’apoptose et l’expression des gènes liés à l’atteinte épithéliale étaient régulés à la hausse, tandis que l’expression des gènes liés à l’adhésion cellulaire était régulée à la baisse par un détergent à lessive à des dilutions de 1:50 000 après 24 heures d’exposition sans affecter sensiblement l’accessibilité de la chromatine et méthylation de l’ADN.

Ces résultats viennent s’ajouter à de nombreux autres facteurs environnementaux qui expliquent l’augmentation régulière et considérable de la fréquence des allergies, en particulier digestives et respiratoires, ce qui n’est pas étonnant au vu des communautés d’origine embryologique de ces tissus.

Les détergents utilisés pour les lessives, même à très haute dilution, et les résidus de rinçage présentent des effets toxiques cellulaires significatifs et directement perturbateurs de l’intégrité de la barrière constituées par les jonctions serrées de cellules bronchiques, mais sans affecter l’épigénome et l’expression du gène TJ.

RÉFÉRENCES
Ogulur I, Pat Y, Aydin T, Akdis M, Nadeau K, Akdis CA : Gut epithelial barrier damage caused by dishwasher detergents and rinse aids. J Allergy Clin Immunol., 2023 Feb;151(2):469-484.
doi: 10.1016/j.jaci.2022.10.020.

Wang M, Tan G, Eljaszewicz A, Meng Y, Wawrzyniak P, et al. : Laundry detergents and detergent residue after rinsing directly disrupt tight junction barrier integrity in human bronchial epithelial cells. J Allergy Clin Immunol 2019; 143(5): 1892-1903. doi: 10.1016/j.jaci.2018.11.016.

t.

Vous avez quelque chose contre le « BIO »? Voici un témoignage reçu de mon blog ce lundi 5 février 2024. Ce texte est à faire frémir et suit un certain nombre d’autres mails sur le même sujet… 

« Bonjour à tous,

Et encore merci, merci, merci et gratitude pour cette plateforme d’échanges et d’informations !

Pour ma part, je souhaite témoigner de mon expérience concernant la contamination au polonium.

Depuis plusieurs mois, j’accompagne une jeune fille de 18 ans qui a des diarrhées depuis 2021. Elle prenait au quotidien de l’Imodium !

Mes expertises par kinésio ont révélé que l’origine de la problématique est liée à une surcharge de toxines (certainement les 3 doses vaccinales ont tout fait exploser…). Au fil des séances, j’ai trouvé comme barrage, la molécule de « polonium ». Jusqu’à ce jour, je ne comprenais pas pourquoi cette substance était présente ???

Maintenant je comprend : « …Selon un document datant de 1970, Philip Morris indiquait que l’utilisation d’un solvant pour nettoyer les feuilles de tabac ne réduirait que de 10 à 40 % la quantité de polonium dans les feuilles de tabac. Autant dire que, même en lavant bien ses légumes cultivés en conventionnel, ces derniers contiennent également une quantité non négligeable de cet élément radioactif dangereux… »

Merci pour l’info 👍

Bien à vous »

MS – Doctorat en Microbiologie Moléculaire et Naturopathe à xxxxxx

Remarque : Le tabac est un produit alimentaire puisqu’il s’ingère (en fumée). Les légumes aussi…

 

Vos sachets de thé comportent une grande quantité de restes d’insectes

Publié par wikistrike.com sur 27 Juin 2022, 07:02am

Catégories : #Ecologie – conso – biodiversité – énergie

Vos sachets de thé comportent une grande quantité de restes d’insectes

Les insectes laissent diverses traces ou des morceaux d’eux-mêmes contenant des signatures ADN sur leur passage. En analysant quelques sachets de thé que l’on peut trouver dans le commerce, des chercheurs ont découvert qu’ils contenaient des traces de plusieurs milliers d’invertébrés.

 

UNE GRANDE DIVERSITÉ D’INSECTES DÉTECTÉE

Des restes d’insectes ont été retrouvés dans des sachets de thé, selon une étude publiée dans la revue Biology Letters. Cette recherche a été menée par une équipe de chercheurs de l’université de Trèves, en Allemagne. Ces derniers se sont procuré des sachets de thé obtenus dans des commerces pour effectuer des analyses. Ils ont ainsi pu identifier la présence de 3 264 invertébrés représentant environ 1 200 espèces dans 40 échantillons de thé et d’herbes séchées.

Des mouches, des papillons, des acariens et des cafards se trouvaient parmi les invertébrés observés dans les échantillons. « Ce qui m’a vraiment surpris, c’est la grande diversité que nous avons détectée », a déclaré Henrik Krehenwinkel, généticien écologique de l’université de Trèves, soulignant que l’équipe de chercheurs a trouvé des traces de 400 insectes différents dans un seul sachet de thé.

Comment expliquer la présence d’autant de traces d’invertébrés dans un seul sachet de thé ? Les chercheurs indiquent que cela est sans doute dû au processus de séchage des herbes. L’ADN de toutes les parties du champ ou des feuilles, y compris les insectes et œufs, serait conservé et mélangé lors de leur broyage.

 

UN OUTIL POUR SURVEILLER LES ARTHROPODESPour les scientifiques, ces recherches ont permis de développer un nouvel outil pour surveiller les arthropodes et leurs interactions avec les plantes, pour détecter les ravageurs agricoles et pour déterminer l’origine du matériel végétal importé. Les chercheurs de l’université de Trèves l’utiliseraient pour comprendre l’évolution des insectes en étudiant les collections végétales conservées dans les musées.

« Les collections végétales dans les musées pourraient-elles réellement être utiles pour comprendre comment les communautés d’insectes ont changé ? Lorsque les études sur le déclin des insectes ont été publiées pour la première fois, beaucoup de gens se sont plaints du fait qu’il n’y avait pas de véritables données à long terme », ont indiqué les auteurs de l’étude.

Vous n’allez plus regarder vos sachets de thé de la même façon. Pour rappel, certains sachets de thé libèrent des milliards de microplastiques une fois infusés.

Source 

Quelle alimentation conseiller pour favoriser un microbiote équilibré ?

pour télécharger ce texte: Conseils alimentaires

Comme je l’ai déjà souvent expliqué, une alimentation déséquilibrée a un impact délétère sur le microbiote. Il est donc essentiel de choisir une alimentation saine et variée, pour bénéficier d’une santé optimale.

Voici quelques conseils alimentaires pour préserver le microbiote, durablement et naturellement, grâce à l’étude de publications et à mon expérience de naturopathe.

Différence entre le régime occidental et le régime méditerranéen

Le régime occidental (riche en protéines animales, en mauvaises graisses, et pauvre en fibres), est associé à une diminution de la diversité d’un microbiote intestinal, notamment en Bifidobacterium et en Lactobacillus.

Il favorise l’apparition de nombreuses pathologies, comme les troubles cardio-vasculaires, les maladies inflammatoires ou la plupart des cancers.

C’est une alimentation de pathogenèse.

Le régime méditerranéen est riche en aliments d’origine végétale, apporte des acides gras mono et polyinsaturés, des polyphénols et limite la consommation de protéines animales et des sucres.

Il favorise à l’inverse une augmentation en Bifidobacterium et en Lactobacillus.

Il est donc bénéfique autant pour la santé en général que pour la ligne.

C’est une alimentation de salutogenèse.

 

Les types d’aliments favorables / défavorables à l’équilibre du microbiote

Aliments conseillés :

Fruits, légumes frais crus

Céréales complètes anciennes

Pain complet au levain

Oléagineux (amandes, noix, etc.)

Légumineuses

Aliments fermentés (kéfir, miso, kombucha, choix de légumes, tofu, tamari/shoyu, etc…)

Aliments riches en polyphénols (tous les aliments colorés)

Thé vert

Poisson/viande maigre en quantité modérée

Épices si vous les supportez

Yoghourt non pasteurisé

Aliments déconseillés :

Produits transformés/industrialisés

Tous les aliments pasteurisés ou thermisés

Tous les aliments cuits par micro-ondes (plaques et fours à inductions)

Sucres raffinés

Pâtisseries et viennoiseries de toutes sortes

Pains à la levure

Aliments frits de toutes sortes

Viande rouge de toutes les sortes

Tous les aliments que votre système immunitaire intestinal ne sait pas digérer

Épices particulièrement le poivre

Blé industriel de culture intensive

Lait et yoghourts pasteurisés

Pour la santé du microbiote, la fermentation facilite le travail des bactéries et leur prolifération, c’est pourquoi je recommande vivement les aliments fermentés et crus. La fermentation favorise l’assimilation des nutriments grâce à la production d’enzymes, car celles-ci sont à l’origine d’une pré-digestion des aliments et rend les fibres végétales moins irritantes pour le côlon. Les aliments crus contiennent toutes les enzymes qui permettent de les digérer.

Voici quelques idées pour composer des menus, composés d’aliments et de mélanges bénéfiques pour l’équilibre du microbiote

Je vous invite à partager ces idées avec vos proches, en expliquant le rôle majeur du microbiote sur la santé et l’impact de l’alimentation. Si vous souhaitez manger des fruits de saison, mangez-les AVANT le repas ou à la place d’un repas ou en collation. Vous pouvez les accompagner de quelques oléagineux ou d’une protéine.

Au déjeuner

Kéfir ou kombucha

1 tasse de thé vert ou de tisane

1 tranche de pain complet au levain avec de la purée de noix ou de noisettes ou du pâté végétal, de la levure alimentaire ou de l’avocat avec un peu de sel

Pas de fruits frais le matin sauf durant les chaleurs de l’été.

Pas de sucres. Seulement des aliments salés

Au dîner

Salade mêlée de légumes de saison complétées d’herbes aromatiques de votre choix

Céréales : quinoa ou sarrasin ou petit épeautre (aussi en pâtes) ou boulgour

Légumes : Tous ceux que vous aimez et digérez

Poisson (1 à 2 fois par semaine) : Sardines ou maquereaux ou harengs, ou viande maigre (1 à 2 fois par semaine) ou tofu

Au souper

Soupes ou potages de légumes, soupe de miso ou salade verte de saison

Pommes de terre, patate douce ou légumineuses (lentilles, pois)

Tarte de légume préparée maison avec de la pâte à tarte maison

Oléagineux ou biscuit maison pour le dessert

Évitez les protéines animales au repas du soir. La supplémentation par un apport de bactéries lactiques avec des préparations commerciales de prébiotiques peut aider la digestion.

Méfiez-vous des bananes et des oranges très souvent mal digérées. Ne mangez que des fruits de saison mûrs.

Bon appétit.

 

Nous vivons dans une société d’abondance. Personne (en principe) ne meurt de faim mais beaucoup meurent de trop manger. Manger est une activité indispensable à la vie. Mais que devons-nous manger? Beaucoup de personnes se posent cette question et avalent, en essayant de ne plus y penser, les aliments incolores, inodores et insipides que l’industrie alimentaire propose et impose par sa publicité. Il est évident que notre organisme et fait pour fonctionner avec un « carburant » complètement adapté à notre physiologie humaine. Il est indéniable que cette alimentation industrielle ne peut que nous faire « tomber en panne » plus ou moins rapidement. Oui, mais comment faire. Quelle est la vérité parmi toutes celles que l’on nous propose? Je vous suggère de tracer quelques grandes lignes ordonnatrices qui vous permettront de chercher VOTRE équilibre alimentaire. Celui qui vous gardera un ventre plat, une taille de guêpe, la forme pour pratiquer votre sport, des intestins calmes, un taux de cholestérol modeste, une glycémie sans histoire, la disparition des infections de toutes localisations, une santé physique et psychologique à toute épreuve…

Arriver à ce résultat n’est pas aussi impossible que vous l’imaginez. Et cela est plus économique que vous pensez.45 ans d’expériences personnelles me permettent de vous l’affirmer.

Les règles de l’alimentation saine ne sont pas si contraignantes et évitent le mal-être permanent, les intolérances alimentaires ainsi que les troubles digestifs chroniques.

Il est indéniable que « Nous sommes ce que nous mangeons ». Même si cela vous est difficile à comprendre, il n’y a pas d’amélioration thérapeutique réelle, donc non artificielle, sans remise en question, parfois radicale, de l’alimentation.

« Que ton aliment soit ta seule médecine » a dit Hippocrate.

« Primum non nocere » (premièrement ne pas nuire) disait aussi Hippocrate.

« Tollem causam » disait Hippocrate. Cherche la cause, la cause de la cause, la cause de la cause de la cause répétait-il.

Évidemment, à l’inverse, un médicament n’est jamais un aliment comme certains essaient de nous le faire croire. 

Ensuite, il y a tous les remèdes naturels existants et, heureusement, la liste est longue

Pou terminer un peu d’humour intelligent avec René Bickel, conférencier, illustrateur, auteur et dessinateur BD engagé, utilise l’humour pour promouvoir l’écologie et la santé. Ses ouvrages ludiques et pédagogiques dénoncent la société moderne et prônent la vitalité. Il est aussi conférencier et défenseur des méthodes naturelles de santé. À voir sur https://www.bickel.fr/

Les courses selon Bickel

© J-P Chapuis – jpc@jpchapuis.net

 

Alimentation & Nutrithérapie

Alimentation (1ère partie)

Mais que doit-on manger pour rester en forme physique, psychique et mentale ? Telle est la question que beaucoup se posent. Voici quelques réponses.

N’hésitez pas à manger des aliments crus le plus souvent possible. Fruits et légumes sont parfaits. Choisissez toujours des végétaux bio. En effet, il est sont préférables car plus riches d’environ 30 % en minéraux, vitamines et micronutriments essentiels. Veillez à ne pas les peler afin de bénéficier d’un maximum d’éléments nutritifs. Consommez vos fruits et légumes frais à maturité et le plus rapidement possible car au contact de l’air, ils perdent leurs vitamines. Ne les laissez pas plusieurs jours au frigidaire ou à l’air libre. L’idéal étant de les cuisiner le jour. Les congeler n’est pas une solution idéale. Les conserver selon les anciennes méthode et totalement satisfaisant (sel marin, huiles, séchage, lactofermentation).

Attention aux fibres crues car elles sont plus irritantes sur la muqueuse intestinale ce qui peut provoquer des maux de ventre.

Attention aux aliments que vous ne savez pas digérer. Ils ne vous apportent rien du tout de positif mais que des ennuis… digestifs et autres.

Variez le plus possible votre alimentation selon le rythme des saisons. Il est inutile de manger des asperges en novembre et des tomates en décembre… C’est dans la variété que vous trouverez toutes les vitamines et minéraux dont vous avez besoin et que vous éviterez la lassitude mais surtout la fatigue digestive.

Les viandes ou les poissons crus seront évités car sources de contaminations parasitaires (vers intestinaux ou d’autres organes) ou bactériennes.

Ne buvez pas en mangeant car cela trouble votre processus digestifs.

Ne grignotez jamais entre les repas. Même un bonbon. Essayez de calmer une pulsion, de remplir un petit creux, un vide, par un autre moyen. La détente, la respiration consciente par exemple.

Cuisinez avec conscience des aliments achetés avec conscience et ne provenant pas de l’industrie alimentaire mais d’un producteur local lui aussi conscient de ce qu’il vous propose d’acheter. Et cuisez le moins possible afin de faire la part très belle aux aliments crus. Tout aliment pasteurisé, thermisé, thyndalisé, chauffé, cuit à la cocotte-minute devrait être banni de la table.

Modifier ses habitudes pour faire le plein d’énergie demande un peu d’efforts et de temps, je le sais, mais le bénéfice retiré est tellement important que, rétroactivement, il apparaît que cet effort et ressenti comme bien peu de choses..

La chaleur est l’ennemi à combattre si vous voulez avoir une alimentation qui comble vos besoins.

Une fois sur le feu, les aliments perdent leur eau mais aussi leurs vitamines et leurs minéraux. Plus la cuisson est longue et la température élevée, plus les aliments se « dévitalisent ». La cuisson des aliments, et particulièrement celle des légumes, demande de la douceur sinon vous ne consommez que des fibres et des aliments « morts ».

À partir de 40 °C : les enzymes présentes dans les aliments sont en partie détruites

À partir de 60 °C : la vitamine C se fait la malle

À partir de 90 °C : une partie des vitamines B et E sont détruites

À partir de 100 °C : les sels minéraux se dégradent et deviennent moins assimilables par l’organisme

À partir de 110 °C : dites bye, bye aux vitamines A et D

À partir de 120 °C : c’est la disparition des vitamines B et E les plus résistantes

Les bonnes – et les mauvaises – manières de cuire ses aliments :

La cuisson à la vapeur douce n’excède pas les 90-95 °C. . C’est une très bonne méthode. Dans un autocuiseur classique, la température s’élève en moyenne jusqu’à 140°!

La cuisson à l’étouffée dans un plat dédié

La cuisson au wok. La cuisson doit être très rapide à feu vif (une minute maximum). Les légumes doivent rester croquants.

Cuisson lente en papillote avec papier sulfurisé et jamais du papier d’aluminium ou des sachets plastiques. Le fait que les aliments cuisent dans leur jus limite la déperdition des vitamines et minéraux.

La cuisson à l’eau devrait être évité car les vitamines et sels minéraux migrent dans l’eau de cuisson. Cette eau peut être utilisée pour un bouillon, un fond de sauce, une soupe.

les cuissons à four très chaud, les fritures, le barbecue, et… le micro-ondes devraient être bannis

Nutrithérapie

Les vitamines et les minéraux sont indispensables pour notre santé et nous ne devrions pas avoir à nous supplémenter. Malheureusement, étant donné que les aliments modernes sont carencés dans des proportions allant de 20 à 80 % selon les micronutriments considérés, il n’est plus/pas possible de ne pas se supplémenter régulièrement et en permanence.

Je suis malheureux d’avoir été obligé d’écrire la phrase qui précède car notre alimentation devrait être notre source principale et suffisante en matière de micronutriments. Les phénomènes de carence ou de déséquilibres qui sont monnaie courante car nous nous nourrissons bien souvent avec des aliments vidés de toute substance nutritive.

Les médecins – les naturopathes aussi – font état de déséquilibres alimentaires chez un pourcentage important de leurs patients. Les effets sur la santé sont : la prise de poids pouvant mener à l’obésité, le diabète, le cholestérol, et l’hypertension. Mais aussi les troubles psychiques (dépressions, fatigues, ras-le-bol, etc.) et des symptômes très variés portant des étiquettes très diverses en relation avec des douleurs de toutes sortes ou des maladies auto-immunes voire rares.

Une étude de l’institut MediQual Research pour SEB1 auprès des médecins généralistes fait ce constat :Quatre grandes enquêtes alimentaires et études épidémiologiques se sont penchées sur les apports nutritionnels des Français en vitamines et minéraux et sur les conséquences des déséquilibres alimentaires. Ces études étaient les suivantes : l’étude Esvitaf2, l’étude de Bourgogne3, l’enquête du Val-de-Marne4 et l’étude Su.Vi.Max5.

Ce qu’on en retient, c’est qu’une grande partie de la population se trouve en deçà des recommandations6, particulièrement pour les vitamines B1, B2, B6, C, D, E, mais aussi pour le magnésium, le fer et le zinc…

Selon les études (les chiffres varient un peu mais je vous donne une moyenne) les déficits avérés concernent :

la vitamine B1 (un peu moins de 20 % des hommes et plus de 20 % des femmes) (près de la moitié des femmes entre 18 et 29 ans !)

la vitamine B2 (4 à 31 % des femmes et 8 à 22 % des hommes)

la vitamine B6 (15 % des hommes, 20 % des femmes, 16 % de la population a des signes de carence)

la vitamine D (74 % des hommes et 78 % des femmes présentent des signes de déficit ou d’insuffisance, surtout l’hiver)

la vitamine E (13 à 22 % des hommes entre 30 et 49 ans et 10 à 22 % des femmes de 18 à 49 ans ont des signes de déficit modéré)

le fer (le déficit en fer touche 29 % des enfants de moins de 2 ans, 14 % des 2-6 ans, 15 % des adolescents et 10 % des femmes en âge de procréer. Pour l’étude Su.Vi.Max 23 % des femmes ont des réserves en fer insuffisantes)

le zinc (entre 5 % et 8 % des volontaires présentent des signes de déficit)

© J-P Chapuis – jpc@jpchapuis.net

Grâce au truand donald rumsfeld, cela fait longtemps que les usa essaient d’avoir notre peau.

Voici un texte qui ne fera pas la une du vingt heures. Heureusement, pour nous désintoxiquer nous pouvons utiliser l’homéopathie et la biorésonance.

Source : Dr L. H. – 12.10.22

ASPARTAME

« Autorisé en 1988 en France, il est codé E 951 dans la classification européenne des additifs alimentaires.
Le sucre favorise l’obésité. L’obésité favorise le diabète. Tout ceci est à l’origine d’un état inflammatoire chronique qui favorise les pathologies articulaires, cardio-vasculaires, neurologique et neurocognitives.

En 1980, sur 196 animaux soumis à l’aspartame, 96 sont morts de tumeur cérébrale. En 2004, on démontre que l’ingestion d’aspartame peut provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau. Ces taux excessifs entrainent une baisse du niveau de sérotonine, d’où la dépression, mais aussi la sclérose en plaques, les crises d’épilepsie, les tumeurs du cerveau.

Plus de 2’621 effets secondaires (œdèmes, céphalées, …) sont rapportés à la suite de 7’000 plaintes de consommateurs en 1994 aux États-Unis.

L’aspartame est composé de phénylalanine (50 %), d’acide aspartique (40 %) et d’ester de méthyle (10 %) qui se transforme rapidement en alcool méthylique après ingestion. Suite à leur dégradation métabolique, ces molécules se transforment en plusieurs sous-produits neurotoxiques (dont le formaldéhyde ou aldéhyde formique) qui entraînent la mort des terminaisons synaptiques par sur-stimulation, un peu comme le fait la cocaïne, et induisent une grave dépendance avec phénomène de sevrage intense pour les grands consommateurs d’aspartame qui tentent d’arrêter d’en consommer.

Lorsque les aliments contenant de l’aspartame sont exposés à une température supérieure à 30 °C (durant l’entreposage, le transport ou lors de la cuisson), ce poison déploie tous ses effets toxiques, car il libère du méthanol : brulures de la langue…

A cause du pouvoir sucrant artificiel et parce qu’il n’apporte pas de calories, l’aspartame entraine une hypoglycémie, puis une dépendance. Cela entraine de l’obésité, une sécrétion d’insuline puis une résistance à l’insuline d’où besoin maladif de sucres. Ceci provoque une prise de poids. Ces troubles du comportement sont dues à des modifications de concentrations de dopamine et de catécholamines (noradrénaline, adrénaline).
Des scientifiques danois, auprès de plus de 59.000 femmes, ont mis en exergue les dangers liés à la consommation de sodas non gazeux sucrés aux édulcorants et de sodas gazeux non sucrés comportant des édulcorants. Elle montre que les femmes ayant « abusé » de sodas non gazeux sucrés aux édulcorants avaient 29% de risque supplémentaire d’accoucher d’un bébé prématuré, contre 27% de risque supplémentaire chez les femmes ayant consommé un soda gazéifié non sucré une fois par jour.

Outre des malformations congénitales chez les enfants nés de mère en ayant beaucoup consommé pendant la grossesse, les enfants peuvent présenter des problèmes d’allergies, d’urticaire, de tumeurs au cerveau. Il aggrave le diabète et entraine des complications métaboliques, neurologiques, oculaires.

Les données de 103’388 personnes de la cohorte NutriNet-Santé ont été étudiées pendant neuf ans sur le plan consommation d’édulcorants. Leur consommation d’édulcorants est associée à une élévation du risque de pathologies cardio-vasculaire (RR = 1,17) ; avec aspartam RR=1,17 pour les maladies cérébro-vasculaires ; pathologie coronarienne avec acesulfame RR= 1,40 et pathologie coronarienne avec sucralose RR= 1,31. Dr Thouvier M (INSERM Sorbonne Paris nord 8 septembre 2022et BMJ 8 septembre 2022).

Dans Egora N) 337, 12-18 septembre 2022, p.24
Rapport Bressler, in New England Journal of Medicine, 18 mai 2000.
http://www.dorway.com/possible.html
Dr R. Blaylock a écrit un livre intitulé « Excito-Toxines : Le goût qui tue » (Health Press 001-800-643-2665)
Dr H. J. Roberts, diabétique, spécialiste et expert mondial de l’empoisonnement par l’aspartame, a, lui aussi écrit un livre : « Défense contre la maladie d’Alzheimer » (001-800-814-9800). Il y raconte comment l’intoxication à l’aspartame aggrave la maladie d’Alzheimer.

50 autres références scientifiques peuvent vous être fournies.

https://https://www.dailymotion.com/video/x3ebfp

Les insectes

Danger de manger des insectes

Serions-nous déjà des insectivores qui s’ignorent ?

Source : Michel Dogna <newsletter@micheldogna.fr> du 22.9,2022

Si une nouvelle odeur un peu bizarre émane de certains produits diététiques tels que des barres repas, biscuits, etc., c’est que certaines entreprises d’alimentation industrielles ont déjà commencé à ajouter discrètement de la “farine” de grillons et d’autres ingrédients à base d’insectes dans des produits étiquetés “durables” et “nutritifs”. Donc soyez prudents dans vos achats, même bio.

Attention, quand ces gens-là veulent de vous que vous mangiez des insectes, il y a forcément quelque chose de pas très nette qui se cache derrière. Et c’est exactement ce qui se passe quand on apprend que la carapace des insectes contient de la CHITINE, réputée toxique pour les mammifères et qui de plus serait un réceptacle idéal de beaucoup de maladies.

Les Rockefeller, Ford, Gates Foundation et d’autres ont déjà beaucoup investi dans ce type d’industrie et aussi dans des distributeurs en ligne comme Picnic. Donc lisez bien les étiquettes !

Insectes : une nourriture pour les esclaves

Savez-vous que la restauration rapide est déjà partiellement produite à partir d’insectes tels que les grillons ou les vers de farine. Aux Pays-Bas, en Belgique et en Allemane, les burgers aux insectes (vers de farine) se vendent comme des petits pains !

Après avoir laissé passer quelques décennies pour oublier l’aventure de la vache folle suite à l’introduction de farines de poisson dans les aliments pour bétail (maladie de Kreutzfeld-Jacob, qui en outre a été transmise à de nombreux éleveurs en dépit de la barrière des espèces), les apprentis sorciers obnubilés par la rentabilité maximale reviennent sur leur idée fixe appliquée cette fois au genre humain : les farines animales. Alors que l’incinération des morts est devenue à la mode, il y a tout lieu de craindre un glissement des réglementations permettant bientôt la mise en œuvre d’un comprimé magique « Soleil Vert » (réf. du film fiction du même nom).

Pour tenter une décontamination je propose :

Selon la source COGIITO de Philippe Jandrok

      • Le fromage Cheddar Cheese Puffs de Actually Foods est étiqueté comme étant riche en protéines sur la base qu’il est “enrichit par des grillons en tant que super aliment.
      • La Savory Meal Bar d’Exo Protein est un autre produit alimentaire qui contient de la farine de grillons comme source de protéines, et son concurrent Snowpiercer propose également une barre protéinée à base de grillons, commercialisée comme un « produit alimentaire sain ».
      • Enfin, Entomo Farms, la société mère de Actually Foods, propose toute une gamme de produits à base de grillons, comme de la poudre de protéines de grillons et même des grillons entiers grillés, en version normale ou biologique au choix.

LA CAUSE DES CANCERS

La nouvelle est incroyable sur https://www.profession-gendarme.com/la-nouvelle-est-incroyable/

10 août 2022 | Catégorie: Actualités, Tribune
Les remarques entre parenthèses et en italique sont de moi.

Article qui contient des précisions sur un sujet que les gens qui s’intéressent à leur santé connaissent dans les grandes lignes. Plus quelques vérités évidentes pour lesquelles le lien n’est pas toujours fait comme par exemple :

« Tout indique que l’industrie pharmaceutique et l’industrie alimentaire sont une seule et même entité et qu’il existe une conspiration dans laquelle l’une aide l’autre à faire des profits. »

La nouvelle est incroyable : la cause première du cancer a été officiellement découverte il y a plusieurs décennies (1923) par un scientifique lauréat du prix Nobel en 1931.

Très peu de personnes dans le monde le savent, car ce fait est caché par les industries pharmaceutique et alimentaire.

En 1931, le scientifique allemand Otto Heinrich Warburg a reçu le prix Nobel pour sa découverte de la cause première du cancer.

C’est vrai. Il a découvert la cause première du cancer et a obtenu le prix Nobel.

Otto a découvert que le cancer est le résultat d’un pouvoir anti-physiologique et d’un mode de vie anti-physiologique.

Pourquoi ? Parce qu’avec un style nutritionnel anti-physiologique (alimentation basée sur des aliments acidifiants) et la sédentarité, le corps crée un environnement acide (dans le cas de la sédentarité, en raison d’une mauvaise oxygénation cellulaire).

L’acidose cellulaire entraîne l’expulsion de l’oxygène. Le manque d’oxygène dans les cellules crée un environnement acide.

Il a déclaré : « Le manque d’oxygène et l’acidité sont les deux faces d’une même pièce : si une personne a l’un, elle a aussi l’autre ».

Autrement dit, si une personne a un excès d’acidité, elle aura automatiquement un manque d’oxygène dans son système. S’il y a un manque d’oxygène, vous aurez de l’acidité dans votre corps.

Il a également déclaré : « Les substances acides repoussent l’oxygène, contrairement aux substances alcalines qui l’attirent ».

Autrement dit, un environnement acide est un environnement sans oxygène.

Il a déclaré : « Priver une cellule de 35 % de son oxygène pendant 48 heures peut la transformer en cancer ».

Toutes les cellules normales ont un besoin absolu d’oxygène, mais les cellules cancéreuses peuvent vivre sans oxygène. (Une règle sans exception).

« Les tissus cancéreux sont acides, alors que les tissus sains sont alcalins. »

Dans son ouvrage intitulé « Le métabolisme des tumeurs », Otto a montré que toutes les formes de cancer sont caractérisées par deux conditions fondamentales : l’acidose (acide) sanguine et l’hypoxie (manque d’oxygène).

Il a découvert que les cellules cancéreuses sont anaérobies (elles ne respirent pas d’oxygène) et ne peuvent pas survivre en présence de niveaux élevés d’oxygène.

Les cellules cancéreuses ne peuvent survivre que grâce au glucose et dans un environnement sans oxygène. (En naturopathie on professe que les sucres, et pas que, sont la nourriture des cellules cancéreuses)

Par conséquent, le cancer n’est rien d’autre qu’un mécanisme de défense (La détox: le grand médicament que la nature met à notre disposition pour nous auto-guérir) dont disposent certaines cellules de l’organisme pour survivre dans un environnement acide et sans oxygène.

EN RÉSUMÉ :

Les cellules saines vivent dans un environnement oxygéné et alcalin qui permet un fonctionnement normal. Les cellules cancéreuses vivent dans un environnement acide et pauvre en oxygène.

IMPORTANT :

Une fois le processus de digestion terminé, les aliments, en fonction de la qualité des protéines, des glucides, des graisses, des vitamines et des minéraux, fournissent et génèrent une condition d’acidité ou d’alcalinité dans le corps. En d’autres termes … tout dépend uniquement de ce que vous mangez.

Le résultat acidifiant ou alcalinisant est mesuré à l’aide d’une échelle appelée PH, dont les valeurs vont de 0 à 14 ; une valeur de 7 correspond à un pH neutre.

Il est important de savoir comment les aliments acides et alcalins affectent la santé, car les cellules… doivent avoir un pH légèrement alcalin (légèrement supérieur à 7) pour fonctionner correctement.

Chez une personne en bonne santé, le pH du sang se situe entre 7,4 et 7,45.

Si le pH sanguin d’une personne est inférieur à 7, elle tombe dans le coma.

(En naturopathie, on utilise la mesure du pH urinaire, moyen simple, rapide et économique pour vérifier son acidose ou alcalose)

TOUTE PERSONNE SOUHAITANT CONTESTER CE QUI EST COPIÉ-COLLÉ DANS CETTE LÉGENDE PEUT ENVOYER SES RÉFLEXIONS, NOTES ET RÉCRIMINATIONS AUX SOURCES DONT L’ARTICLE EST TIRÉ. MERCI. (ou me contacter)

SOURCES :
http://www.ecplanet.com/node/3619
http://www.pmbeautyline.wordpress.com

(Les remarques entre parenthèses sont de moi). sources identiques au texte « Acidose- Alcalose et cancers »).

LES ALIMENTS QUI ACIDIFIENT L’ORGANISME :

* Le sucre raffiné et tous ses sous-produits. (C’est le pire de tous : il ne contient pas de protéines, pas de graisses, pas de vitamines ni de minéraux, juste des glucides raffinés qui écrasent le pancréas). Son pH est de 2,1 (très acide).

* Viande. (Tous les types)

* Produits animaux (lait et fromage, fromage blanc, yaourt, etc.)

* Sel raffiné.

* Farine raffinée et tous ses dérivés. (Pâtes, gâteaux, biscuits, etc.)

* Pain. (La plupart contiennent des graisses saturées, de la margarine, du sel, du sucre et des conservateurs). (et de la levure)

* Margarine.

* Caféine. (Café, thé noir, chocolat).

* Alcool.

* Tabac. (Cigarettes).

* Antibiotiques et médecine en général.

* Tout aliment cuit. (la cuisson élimine l’oxygène en augmentant l’acidité des aliments).

* Tous les aliments transformés et en conserve contenant des conservateurs, des colorants, des arômes, des stabilisateurs, etc.

Le sang s’autorégule en permanence pour ne pas tomber en acidose métabolique, assurer son bon fonctionnement et optimiser le métabolisme cellulaire. Le corps a besoin d’obtenir des bases minérales alimentaires pour neutraliser l’acidité du sang dans le métabolisme, mais tous les aliments déjà mentionnés (pour la plupart raffinés) acidifient le sang et ramollissent le corps.

Nous devons tenir compte du fait qu’avec le mode de vie moderne, ces aliments sont consommés au moins 3 fois par jour, 365 jours par an et que tous ces aliments sont anti-physiologiques.

LES ALIMENTS ALCALINISANTS :

* Tous les légumes crus. (Certains sont acides au goût, mais à l’intérieur du corps, une réaction alcalinisante se produit. D’autres sont quelque peu acides, mais ils fournissent la base nécessaire à un bon équilibre). Les légumes crus produisent de l’oxygène, les légumes cuits non.

* Fruits, même chose. Par exemple, le citron a un pH d’environ 2,2, mais dans le corps, il a un effet très alcalin. (Probablement le plus puissant de tous – ne vous laissez pas tromper par le goût aigre). Les fruits produisent suffisamment d’oxygène.

* Certaines graines, comme les amandes, sont très alcalines.

* Les céréales complètes : la seule céréale alcalinisante est le millet. Tous les autres sont légèrement acides, cependant, comme le régime idéal nécessite un pourcentage d’acidité, il est bon d’en consommer certains. Toutes les céréales doivent être consommées cuites.

*Le miel est très alcalinisant. (Le vrai, pas celui qui est additionné de saccharose, glucose ou autres sucres)

* Chlorophylle : les plantes sont très alcalines. (En particulier l’aloe vera, également connu sous le nom d’aloès).

* L’eau est importante pour la production d’oxygène. (Évidemment mais pas n’importe quelle eau). Le Dr Feydoon Batmanghelidj déclare que: « La déshydratation chronique est la principale contrainte pour l’organisme et la racine de la plupart des maladies dégénératives. »

* L’exercice physique oxygène l’ensemble du corps. « Un mode de vie sédentaire use le corps. »

L’idéal est d’avoir un régime alimentaire composé d’environ 60 % de produits alcalins plutôt qu’acides et, bien sûr, d’éviter les produits les plus acides, comme les boissons gazeuses, le sucre raffiné et les édulcorants.

N’abusez pas du sel et évitez-le autant que possible.

Pour les personnes malades, l’idéal est que l’alimentation soit alcaline à environ 80%, en éliminant tous les produits les plus nocifs.

Si vous avez un cancer, le conseil est d’alcaliniser le plus possible. »

Le Dr George W. Crile, de Cleveland, l’un des chirurgiens les plus respectés au monde, déclare ouvertement : « Toutes les morts dites naturelles ne sont rien d’autre que le point final d’une saturation en acide dans le corps. »

Comme indiqué précédemment, il est tout à fait impossible qu’un cancer apparaisse chez une personne qui débarrasse son corps de ses acides par un régime alcalin, qui augmente sa consommation d’eau pure et qui évite les aliments acidifiants.

En général, le cancer n’est ni contracté ni hérité. Ce dont on hérite, ce sont les habitudes alimentaires, environnementales et le mode de vie. Cela peut produire un cancer. (Tout-à-fait d’accord, je le dit depuis des décennies)

Mencken a écrit : « La lutte de la vie est contre la rétention d’acide. « Le vieillissement, le manque d’énergie, le stress, les maux de tête, les maladies cardiaques, les allergies, l’eczéma, l’urticaire, l’asthme, les calculs rénaux, l’athérosclérose, entre autres, ne sont que l’accumulation d’acides. »

Dr. Theodore A. Baroody a écrit dans son livre « Alkaline or Die » :
« En réalité, peu importe le nom de ces innombrables maladies, ce qui compte, c’est qu’elles ont toutes la même origine : beaucoup de déchets acides dans le corps ».

Le Dr Robert O. Young a déclaré :
« L’acidification excessive de l’organisme est la cause de toutes les maladies dégénératives. Si l’équilibre est perturbé et que l’organisme commence à produire et à stocker plus d’acidité et de déchets toxiques qu’il n’est capable d’en éliminer, la maladie s’installe. »

ET LA CHIMIOTHÉRAPIE ?

La chimiothérapie acidifie l’organisme à tel point qu’elle puise dans les réserves alcalines du corps pour neutraliser l’acidité, sacrifiant ainsi les bases minérales (calcium, magnésium et potassium) stockées dans les os, les dents, les articulations, les ongles et les cheveux.

C’est pourquoi on observe de telles altérations chez les personnes recevant ce traitement et, entre autres, une perte de cheveux. L’absence de cheveux ne signifie rien pour le corps, mais un pH acide signifierait la mort.

Rien de tout cela n’est décrit ou raconté parce que, selon toute vraisemblance, l’industrie du cancer (lire : l’industrie pharmaceutique) et la chimiothérapie sont parmi les entreprises les plus rentables qui existent… On parle d’une entreprise de plusieurs millions de dollars et les propriétaires de ces industries ne veulent pas que cela soit publié.

Tout indique que l’industrie pharmaceutique et l’industrie alimentaire sont une seule et même entité et qu’il existe une conspiration dans laquelle l’une aide l’autre à faire des profits.

Plus les gens sont malades, plus les profits de l’industrie pharmaceutique sont élevés. Et pour avoir beaucoup de malades, il faut beaucoup de malbouffe, autant que l’industrie alimentaire en produit.

Combien d’entre nous ont entendu la nouvelle d’une personne atteinte d’un cancer et quelqu’un a dit : « … Cela aurait pu arriver à n’importe qui… ».

Non, ça ne peut pas !

« Que la nourriture soit ton médicament, le médicament ta nourriture. »
(Hippocrate, le père de la médecine)

En 2010, quelque 80 ans après les études de Warburg, en partant précisément de la considération que l’acidité est une caractéristique fondamentale du micro-environnement tumoral, toutes les études sur lesquelles se concentre l’International Society for Proton Dynamics in Cancer (ISPDC) ont été présentées à l’Istituto Superiore di Sanità, lors du premier symposium international. L’objectif de cette recherche est de cibler exclusivement la cible moléculaire à l’origine de la tumeur, « afin d’éviter les effets secondaires fréquents des thérapies traditionnelles utilisant des inhibiteurs de la pompe à protons pour inhiber la croissance de la masse tumorale », comme l’explique Stefano Fais, du département pharmaceutique de l’Istituto Superiore di Sanità.

Les conditions favorables à la croissance des tumeurs sont dues à une accumulation initiale d’acide lactique due au métabolisme tumoral et à la sélection ultérieure de cellules qui, pour faire face à l’augmentation de l’acidité, provoquent un hyperfonctionnement des pompes cellulaires qui éliminent les protons hors de la cellule.

En Italie, les deux premiers essais cliniques ont été réalisés pour les mélanomes à l’Istituto dei Tumori de Milan et à l’Université de Sienne, et pour les ostéosarcomes au Gruppo Italiano dei Sarcomi, à Bologne.

La même approche a été utilisée par des chercheurs de l’université Fudan de Shanghai pour lutter contre le cancer du sein.

En Floride, le professeur Robert Gatenby, du département d’oncologie intégrée du Cancer Center of Tampa, a utilisé du bicarbonate administré par voie orale pour ses recherches.

Là encore, le professeur Kusuzaki, du département d’oncologie de l’université Edobashi de Tokyo, a utilisé l’acridine orange pour combattre les sarcomes ; cette molécule a la capacité de se concentrer dans les organelles acides de la cellule et, à la suite d’une impulsion lumineuse (rayons X), se transforme en un composé hautement toxique pour les tissus tumoraux, sans toutefois présenter de signes de toxicité pour les tissus sains environnants.

Toutes les thérapies choisies pour ces études sont basées sur l’utilisation de médicaments qui utilisent l’acidité de la tumeur comme cible, soit en inhibant les mécanismes qui la provoquent – c’est-à-dire les inhibiteurs de la pompe à protons – soit en la tamponnant simplement – en utilisant du bicarbonate – ou en changeant son état lorsque concentré dans les tumeurs – avec de l’orange acridine -.

Par conséquent, la théorie du vieux professeur Otto Henrich Warburg semble maintenant trouver une nouvelle confirmation, même si ce n’est évidemment pas qu’il en avait besoin, mais il était certainement nécessaire que ces connaissances soient portées à la connaissance du public. Ce n’est que de cette manière que chacun peut prendre des décisions pour sa propre santé, en sachant qu’elle est déterminée par ce qu’il mange.

Une personne en bonne santé a un pH sanguin compris entre 7,4 et 7,45. Si ces valeurs sont inférieures à 7, on tombe dans le coma. Pour maintenir un pH élevé et protéger ainsi sa santé, il est essentiel d’éviter tous les aliments acidifiants : en tête de liste, le sucre raffiné, dépourvu de vitamines et de minéraux, et riche uniquement en glucides raffinés qui mettent le pancréas à rude épreuve ; puis la viande et tous les produits laitiers ; également la farine et ses dérivés, ainsi que toutes les conserves, la margarine, le café, le thé noir et l’alcool. Il faut garder à l’esprit que tout aliment cuit augmente l’acidité tout en éliminant l’oxygène. Et puis, bien sûr, il ne faut pas oublier que tous les médicaments, des antibiotiques à la chimiothérapie, sont aussi acidifiants !

Les seuls aliments alcalins sont les légumes et certains fruits. Par conséquent, pour rester en bonne santé, il faut consommer quotidiennement de grandes quantités de légumes de différentes variétés, crus bien sûr. Plus nous parviendrons à équilibrer positivement les aliments alcalins et acidifiants, moins nous aurons à craindre de contracter des maladies dégénératives.

TOUTE PERSONNE SOUHAITANT CONTESTER CE QUI EST COPIÉ-COLLÉ DANS CETTE LÉGENDE PEUT ENVOYER SES RÉFLEXIONS, NOTES ET RÉCRIMINATIONS AUX SOURCES DONT L’ARTICLE EST TIRÉ. MERCI.

SOURCES :
http://www.ecplanet.com/node/3619
http://www.pmbeautyline.wordpress.com

LES ALIMENTS ALCALINISANTS :

* Tous les légumes crus. (Certains sont acides au goût, mais à l’intérieur du corps, une réaction alcalinisante se produit. D’autres sont quelque peu acides, mais ils fournissent la base nécessaire à un bon équilibre). Les légumes crus produisent de l’oxygène, les légumes cuits non.

* Fruits, même chose. Par exemple, le citron a un pH d’environ 2,2, mais dans le corps, il a un effet très alcalin. (Probablement le plus puissant de tous – ne vous laissez pas tromper par le goût aigre). Les fruits produisent suffisamment d’oxygène.

* Certaines graines, comme les amandes, sont très alcalines.

* Les céréales complètes : la seule céréale alcalinisante est le millet. Tous les autres sont légèrement acides, cependant, comme le régime idéal nécessite un pourcentage d’acidité, il est bon d’en consommer certains. Toutes les céréales doivent être consommées cuites.

*Le miel est très alcalinisant. (Le vrai, pas celui qui est additionné de saccharose, glucose ou autres sucres)

* Chlorophylle : les plantes sont très alcalines. (En particulier l’aloe vera, également connu sous le nom d’aloès).

* L’eau est importante pour la production d’oxygène. (Évidemment mais pas n’importe quelle eau). Le Dr Feydoon Batmanghelidj déclare que: « La déshydratation chronique est la principale contrainte pour l’organisme et la racine de la plupart des maladies dégénératives. »

* L’exercice physique oxygène l’ensemble du corps. « Un mode de vie sédentaire use le corps. »

L’idéal est d’avoir un régime alimentaire composé d’environ 60 % de produits alcalins plutôt qu’acides et, bien sûr, d’éviter les produits les plus acides, comme les boissons gazeuses, le sucre raffiné et les édulcorants.

N’abusez pas du sel et évitez-le autant que possible.

Pour les personnes malades, l’idéal est que l’alimentation soit alcaline à environ 80%, en éliminant tous les produits les plus nocifs.

Si vous avez un cancer, le conseil est d’alcaliniser le plus possible. »

Le Dr George W. Crile, de Cleveland, l’un des chirurgiens les plus respectés au monde, déclare ouvertement : « Toutes les morts dites naturelles ne sont rien d’autre que le point final d’une saturation en acide dans le corps. »

Comme indiqué précédemment, il est tout à fait impossible qu’un cancer apparaisse chez une personne qui débarrasse son corps de ses acides par un régime alcalin, qui augmente sa consommation d’eau pure et qui évite les aliments acidifiants.

En général, le cancer n’est ni contracté ni hérité. Ce dont on hérite, ce sont les habitudes alimentaires, environnementales et le mode de vie. Cela peut produire un cancer. (Tout-à-fait d’accord, je le dit depuis des décennies)

Mencken a écrit : « La lutte de la vie est contre la rétention d’acide. « Le vieillissement, le manque d’énergie, le stress, les maux de tête, les maladies cardiaques, les allergies, l’eczéma, l’urticaire, l’asthme, les calculs rénaux, l’athérosclérose, entre autres, ne sont que l’accumulation d’acides. »

Dr. Theodore A. Baroody a écrit dans son livre « Alkaline or Die » :
« En réalité, peu importe le nom de ces innombrables maladies, ce qui compte, c’est qu’elles ont toutes la même origine : beaucoup de déchets acides dans le corps ».

Le Dr Robert O. Young a déclaré :
« L’acidification excessive de l’organisme est la cause de toutes les maladies dégénératives. Si l’équilibre est perturbé et que l’organisme commence à produire et à stocker plus d’acidité et de déchets toxiques qu’il n’est capable d’en éliminer, la maladie s’installe. »

E

« Que la nourriture soit ton médicament, le médicament ta nourriture. »
(Hippocrate, le père de la médecine)

En 2010, quelque 80 ans après les études de Warburg, en partant précisément de la considération que l’acidité est une caractéristique fondamentale du micro-environnement tumoral, toutes les études sur lesquelles se concentre l’International Society for Proton Dynamics in Cancer (ISPDC) ont été présentées à l’Istituto Superiore di Sanità, lors du premier symposium international. L’objectif de cette recherche est de cibler exclusivement la cible moléculaire à l’origine de la tumeur, « afin d’éviter les effets secondaires fréquents des thérapies traditionnelles utilisant des inhibiteurs de la pompe à protons pour inhiber la croissance de la masse tumorale », comme l’explique Stefano Fais, du département pharmaceutique de l’Istituto Superiore di Sanità.

Les conditions favorables à la croissance des tumeurs sont dues à une accumulation initiale d’acide lactique due au métabolisme tumoral et à la sélection ultérieure de cellules qui, pour faire face à l’augmentation de l’acidité, provoquent un hyperfonctionnement des pompes cellulaires qui éliminent les protons hors de la cellule.

En Italie, les deux premiers essais cliniques ont été réalisés pour les mélanomes à l’Istituto dei Tumori de Milan et à l’Université de Sienne, et pour les ostéosarcomes au Gruppo Italiano dei Sarcomi, à Bologne.

La même approche a été utilisée par des chercheurs de l’université Fudan de Shanghai pour lutter contre le cancer du sein.

En Floride, le professeur Robert Gatenby, du département d’oncologie intégrée du Cancer Center of Tampa, a utilisé du bicarbonate administré par voie orale pour ses recherches.

Là encore, le professeur Kusuzaki, du département d’oncologie de l’université Edobashi de Tokyo, a utilisé l’acridine orange pour combattre les sarcomes ; cette molécule a la capacité de se concentrer dans les organelles acides de la cellule et, à la suite d’une impulsion lumineuse (rayons X), se transforme en un composé hautement toxique pour les tissus tumoraux, sans toutefois présenter de signes de toxicité pour les tissus sains environnants.

Toutes les thérapies choisies pour ces études sont basées sur l’utilisation de médicaments qui utilisent l’acidité de la tumeur comme cible, soit en inhibant les mécanismes qui la provoquent – c’est-à-dire les inhibiteurs de la pompe à protons – soit en la tamponnant simplement – en utilisant du bicarbonate – ou en changeant son état lorsque concentré dans les tumeurs – avec de l’orange acridine -.

Par conséquent, la théorie du vieux professeur Otto Henrich Warburg semble maintenant trouver une nouvelle confirmation, même si ce n’est évidemment pas qu’il en avait besoin, mais il était certainement nécessaire que ces connaissances soient portées à la connaissance du public. Ce n’est que de cette manière que chacun peut prendre des décisions pour sa propre santé, en sachant qu’elle est déterminée par ce qu’il mange.

Une personne en bonne santé a un pH sanguin compris entre 7,4 et 7,45. Si ces valeurs sont inférieures à 7, on tombe dans le coma. Pour maintenir un pH élevé et protéger ainsi sa santé, il est essentiel d’éviter tous les aliments acidifiants : en tête de liste, le sucre raffiné, dépourvu de vitamines et de minéraux, et riche uniquement en glucides raffinés qui mettent le pancréas à rude épreuve ; puis la viande et tous les produits laitiers ; également la farine et ses dérivés, ainsi que toutes les conserves, la margarine, le café, le thé noir et l’alcool. Il faut garder à l’esprit que tout aliment cuit augmente l’acidité tout en éliminant l’oxygène. Et puis, bien sûr, il ne faut pas oublier que tous les médicaments, des antibiotiques à la chimiothérapie, sont aussi acidifiants !

Les seuls aliments alcalins sont les légumes et certains fruits. Par conséquent, pour rester en bonne santé, il faut consommer quotidiennement de grandes quantités de légumes de différentes variétés, crus bien sûr. Plus nous parviendrons à équilibrer positivement les aliments alcalins et acidifiants, moins nous aurons à craindre de contracter des maladies dégénératives.

TOUTE PERSONNE SOUHAITANT CONTESTER CE QUI EST COPIÉ-COLLÉ DANS CETTE LÉGENDE PEUT ENVOYER SES RÉFLEXIONS, NOTES ET RÉCRIMINATIONS AUX SOURCES DONT L’ARTICLE EST TIRÉ. MERCI.

SOURCES :
ttp://www.ecplanet.com/node/3619
http://www.pmbeautyline.wordpress.com

On y arrive enfin.!! Des scientifiques parlent enfin. Petits rappels:

Les ennemis des cellules cancéreuses: Le jeûne, le régime cétogène et l’alimentation vivante.

Les amis des cancers: Les viandes et les sucres (y compris pâtisseries et chocolats et produits alimentaires industriels). Tous aliments morts.


Des scientifiques pensent qu’ils pourraient « affamer » les tumeurs du pancréas grâce à un régime cétogène !

Source: https://www.tameteo.com/actualites/actualite/des-scientifiques-pensent-qu-ils-pourraient-affamer-les-tumeurs-du-pancreas-grace-a-un-regime-cetogene-sante-revolution-cancer.html

Le cancer du pancréas est l’un des cancers les plus mortels qui soient. Bien qu’aucun remède n’ait encore été découvert, les scientifiques détiennent déjà la clé pour ralentir la progression de la maladie.

Des chercheurs découvrent un lien entre le régime cétogène et la réduction des tumeurs du pancréas.
Des chercheurs découvrent un lien entre le régime cétogène et la réduction des tumeurs du pancréas.

Comment arrêter la progression d’une tumeur ? C’est l’une des questions les plus fréquemment posées par les médecins et les chercheurs à la recherche d’un traitement pour ce type de maladie. La réponse n’est pas toujours facile. Cependant, les scientifiques semblent avoir trouvé la clé pour attaquer et réduire l’un des cancers les plus meurtriers : le cancer du pancréas.

Une nouvelle stratégie contre le cancer du pancréas

Des scientifiques de l’Université de Californie à San Francisco ont découvert une approche innovante pour cibler et réduire le cancer du pancréas chez les souris en combinant un régime cétogène riche en graisses avec une thérapie ciblée contre le cancer. Cette avancée pourrait constituer une nouvelle stratégie pour traiter l’un des types de cancer les plus mortels.

Pourquoi le régime cétogène peut-il réduire le cancer du pancréas ?

Selon l’étude publiée dans la revue Nature, les chercheurs ont découvert qu’une protéine appelée facteur d’initiation de la traduction eucaryote (eIF4E) joue un rôle crucial dans ce changement vers le métabolisme des graisses, un changement qui se produit également lorsqu’un animal suit un régime cétogène.

Des chercheurs ont testé un médicament expérimental sur des souris.
Des chercheurs ont testé un médicament expérimental sur des souris.

Ils ont testé un médicament anticancéreux appelé eFT508 sur des souris. Ce médicament, qui en est encore au stade des essais cliniques, peut bloquer l’eIF4E et empêcher l’organisme de métaboliser les graisses. Associé à un régime cétogène chez des souris atteintes d’un cancer du pancréas, il a permis de priver les cellules cancéreuses de leur seule source de carburant disponible, la graisse, et de stopper la croissance des tumeurs.

Comment fonctionne le cancer du pancréas

Cette découverte est importante car le cancer du pancréas est l’un des cancers les plus difficiles à traiter. Les tumeurs continuent souvent à se développer même lorsque le glucose et les hydrates de carbone sont limités, car elles sont capables de s’adapter et d’utiliser les graisses comme source d’énergie alternative.

Le lien entre l’alimentation et le cancer

Les chercheurs affirment que le lien entre l’alimentation et le traitement du cancer est depuis longtemps un domaine d’étude récurrent.

Alors que l’on croit depuis des siècles que le jeûne et certains régimes alimentaires favorisent la santé, cette étude fournit une explication biologique claire de la manière dont le régime alimentaire peut influencer le traitement du cancer.

Grâce à cette recherche, les scientifiques peuvent mettre au point des thérapies plus efficaces.
Grâce à cette recherche, les scientifiques peuvent mettre au point des thérapies plus efficaces.

En comprenant les mécanismes à l’origine de ces effets, les scientifiques peuvent mettre au point des thérapies plus efficaces et personnalisées associant des régimes alimentaires spécifiques à des médicaments anticancéreux.

OMEGA
J’espère de l’alpha à l’omega…

Depuis longtemps, les omega-3 font parler d’eux mais, simultanément, on oublie les omega 6, 9 et 12 (alias 11). De nombreuses personnes entendent par là les corps gras contenus dans les poissons des mers froides. C’est correct mais extrêmement réducteur… Les huiles végétales en contenant sont, à plusieurs titres, encore plus intéressantes. Les corps gras provenant de la mer sont problématiques dans le sens que l’exploitation actuelle des richesses de la mer met le monde maritime en danger. Les méthodes utilisée provoquent la surpêche évidente qui détruit le monde maritime, appauvrit les sources de nourriture de nombreuses populations côtières et crée la famine et la pauvreté loin de chez nous. Ce n’est pas correct. Beaucoup pensent que seules les huiles de poisson sont pourvoyeuses d’oméga. Cette notion est fausse. Le problème écologique de surpêche maritime industrielle et de son gaspillage dépasse actuellement le taux de reproduction des poissons de mer. Les piscicultures, prisons où les poissons sont eux-mêmes carencés en oméga 3 donc malades, ne peuvent les remplacer. Seules les sources végétales correctement exploitées doivent être envisagées pour nourrir la population humaine. Environ 9 personnes sur 10 sont en déficit ou déséquilibre d’oméga.

Les huiles végétales pourvoyeuses d’oméga sont nombreuses. Une molécule d’huile est un assemblage comprenant une molécule de glycérine (3 carbones) dont chaque carbone supporte une chaine carboné plus ou moins longue (10 à 24 carbones). Dans cette chaîne carbonée peuvent se trouver des liaisons simple (les plus nombreuses), des liaisons doubles ou triples entre certains atomes de carbone. Les chiffres 3, 6, 9 et 12 indiquent sur lequel de ces carbones se trouve la double ou triple liaison. Rien de plus en chimie mais cela représente beaucoup en biologie et alimentation.

S’il n’y a aucunes doubles ou triples liaisons on parle d’huile saturée (en ions hydrogène). Ces huile n’ont aucune qualités nutritionnelles. Au contraire, elle produisent les effets inverses de ce qui est expliqué ci-dessous et sont à bannir de sa cuisine. Donc elles sont pathogènes. 

Exigez toujours des huiles vierges de première pression à froid. « Vierge » signifie qu’elles ne sont pas mélangées. « De première pression à froid » signifie qu’elles ne sont pas chauffées au dessus de 40°. Les chauffer à plus haute température détruit les qualités des  huiles. Certaines sont vendue troubles. Ce sont les meilleures car contenant les débris de la pulpe du fruit ayant été pressé. Ce sont des micronutriments. 

FAIRE CONNAISSANCE AVEC LA FAMILLE DES OMÉGA
Les oméga 3 : Ce sont trois acides gras insaturés 
– Acide alpha-linolénique (ALA)
– Acide docosahexanoïque (DHA)
– Acide eicosapentanoïque (EPA)
Ils jouent un rôle important dans le fonctionnement du cerveau et des nerfs, ainsi que des yeux par leur concentration dans les neurones. Ils soutiennent aussi notre système immunitaire.
On les trouve dans le colza, la caméline et les graines de Perilla frutescens, plante originaire du sud asiatique. Son rapport entre les oméga 3, 6, et 9 est parfaitement équilibré.

Les oméga 6 : Ce sont quatre acides insaturés 
– Acide arachidonique (ARA)
– Acide linoléique (LA)
– Acide gamma-linolénique (GLA)
– Acide linolénique conjugué (CLA)
Ils soutiennent aussi nos défenses immunitaires et agissent sur la coagulation sanguine.
On trouve des oméga 6 dans le soja, le maïs, les noix, les graines, les poissons gras, les œufs, l’huile de carthame, l’huile de tournesol, de pépins de raisin, de noix, d’arachide.

Les oméga 9 : Ce sont des acides gras monoinsaturés (AGMI).
Le précurseur des oméga 9 est l’acide oléique. Les acides gras monoinsaturés sont très présents dans l’alimentation et sont aussi synthétisés par notre organisme.
On trouve des oméga 9 dans l’huile d’olive, l’huile de noisette, les graines de sésame.
– Acide alpha-linolénique (ALA)
– Acide docosahexanoïque (DHA)
– Acide eicosapentanoïque (EPA)
Ils jouent un rôle important dans le fonctionnement du cerveau et des nerfs, ainsi que des yeux par leur concentration dans les neurones. Ils soutiennent aussi notre système immunitaire.

Les oméga 12 : Ce sont des acides gras polyinsaturés se trouvant en quantité suffisantes dans l’huile d’olive. Celle-ci en contient de 1 à 2,5% selon la qualité. Il n’est pas utiles de supplémenter car nous consommons beaucoup d’huile d’olive. 

UN RAPPORT ÉQUILIBRÉ ENTRE OMÉGA 3, 6, ET 9 EST NÉCESSAIRE 
Actuellement, nous sommes pour la plupart carencés en oméga 3 et saturés en oméga 6. Ce déséquilibre est malheureusement un facteur participatif important dans le développement des pathologies à la mode.
– désordres cardiovasculaires
– maladies auto-immunes
– maladies neurodégénératives
– terrains inflammatoires c’est-à-dire l’inflammation silencieuse
– voire cancers

INDICATIONS DES HUILES VEGETALES DE HAUTE QUALITÉ
– Cardiovasculaires : tous problèmes
– Irrigation cardiaque insuffisante
– Troubles hormonaux en général
– Cognitif : baisse de performances
– Inflammations : terrain c’est-à-dire l’inflammation silencieuse/froide
– Irrigation cérébrale déficiente
– Irrigation de la rétine : mauvaise
– Maladies auto-immunes
– Maladies neurodégénératives
– Neurologique : ralentissements
– Obésité
– Carence générale: complément alimentaire-clé
– Sclérose en plaque
– Parkinson
– Epilepsie et spasmophile
– Triglycérides trop élevés

UTILISATION DES HUILES ALIMENTAIRES
Nous avons appris que les huiles devaient être utilisée en petites quantités car adipogènes puisqu’elles procurent 9 kcal. au gramme alors que le sucre en produit 4 /kcal). Erreur sociétale majeure En voici la raison. Lorsque vous consommez des sucres, et je ne parle pas des sucres contenus dans les fruits et légumes, ceux-ci se stockent sous forme de « graisses blanches ». Cette graisse blanche, de consistance solide, forme tous les excès de poids, adiposités et obésités. La perdre est très difficile comme vous le savez d’autant plus qu’elle se fixe là ou vous ne le voulez pas. Si vous consommez des graisses et huiles végétales en excès, celles-ci, de consistances liquides, se fixent mais sont très faciles à perdre. De plus, la graisse brune fluidifie la graisse blanche ce qui permet de la remettre en circulation lymphatique et donc de l’éliminer par les voies naturelles. Dans les cas bénins, un ou plusieurs jours de jeûne partiel ou de limitation alimentaire suffisent. Même pas besoin de faire un « régime ». 

USAGE PRATIQUE
En conséquence, les huiles que nous consommons ne doivent pas être des condiments aromatiques mais des ALIMENTS indispensables consommés à raison de plusieurs dizaines de ml (environ 60 à 100 ml) par jour. Les 2 grammes par jour ou 1 cuillère à café ou 4 capsules de 500 mg deviennent des plaisanteries commerciales. Ces huiles vierges de première pression à froid sont des constituants essentiels de la diète cétonique qui seule nous maintient en bonne santé. 
Préparer à l’avance ou au moment de la consommation, un mélange pour moitié d’huile/s à omega 3 pour l’autre moitié d’huile d’olive. Complétez en ajoutant 5 à 10% d’huile de lin pour préparer votre salade ou arroser vos pâte ou légumes. 

COMPLÉMENT D’INFORMATIONS
L’EPA est un acide organique à longue chaîne de transfert qui fournit la prostaglandine E3 (aux propriétés anti-inflammatoires) et est active contre les maladies de civilisation comme les problèmes cardio-vasculaire, obésité, hypertriglycéridémie, etc.

Le DHA, autre acide organique à longue chaîne permet une bonne transmission synaptique des neurones et entre dans la constitution membranaire des cellules nerveuses. Il assure les flux essentiels des nutriments et de l’oxygène dans les organes
et une bonne irrigation du cerveau, du cœur, et de la rétine.

LA CONVERSION DE L’ORGANISME HUMAIN EN EPA ET DHA
Les oméga 3 de l’huile de périlla (ALA) sont convertis en acides gras polyinsaturés à longue chaîne EPA puis DHA dans l’organisme. Ceci nécessite l’intervention d’un autre enzyme, la Delta 6 désaturase. Or, selon les données scientifiques actuelles, l’activité de cet enzyme est fonction du rapport oméga 3 / oméga 6 de notre alimentation. Ainsi, elle diminue en cas d’apport trop élevée en oméga 6.

À noter que dans notre alimentation courante, le rapport oméga 3 / oméga 6 est de 1/15 alors qu’il devrait être de 1/5.

© J-P Chapuis – jpc@jpchapuis.net

Faites plus que jamais attention en faisant vos courses. Lisez bien avant d’acheter.

Petit tour dans rayon « aliments frais » chez Aldi. Et certainement des autres sociétés. La réponse est évidemment le non-achat.

Un coup d’œil sur l’emballage vaut la peine !

« Contains Bioengineered » = « Fabriqué par biotechnologie« .

Qu’est-ce que cela signifie ?

La biotechnologie se caractérise actuellement par le fait qu’elle utilise des méthodes de génie génétique et de biologie moléculaire.
Des micro-organismes sont génétiquement modifiés jusqu’à ce qu’ils possèdent les propriétés souhaitées.

Source: Silvano Trottapar Telegram le 15.7.24

 

CERVEAU : PLASTIQUE EN STOCK

Source: https://www.dna.fr/magazine-sante/2024/08/28/microplastiques-retrouves-dans-des-cerveaux-humains-faut-il-s-inquieter
Josselin PibouleauJosselin Pibouleau Directeur chez CPAM de l’Indre

Attention. Voici des informations récentes à lire sur la page  Environnement. Après cette lecture, il convient de chasser les plastiques de sa cuisine.

Le point positif est qu’ils s’éliminent avec la sueur et le jeûne. Il est aussi possible de les éliminer plus ou moins facilement avec de l’homéopathie. Ils sont nombreux. Le polychlorure de vinyle est le polymère le plus fréquemment observé. ATTENTION. Ne faites pas n’importe quoi. Il convient de tester lequel/lesquels sont en cause et de rechercher la bonne dilution et la bonne préparation homéopathique et la bonne posologie sous peine de risques d’aggravations.

Vous trouvez la fin de ce texte sur la page: Environnement

Manger mais quand, quoi et pourquoi. Quelques explications non exhaustives ci-dessous.

ALIMENTATION ET NUTRITION QUOTIDIENNE
Manger est une activité indispensable de la vie. Mais que devons-nous manger? Cette question peu souvent formulée mais certainement toujours présente à l’esprit demande une réponse personnalisée et éloignée de tous dogmes. Que ce soit celui du mythe (officiel) des protéines ou des calories, ou d’une quelconque chapelle (macrobiotique, végétalienne ou autre). Il y a en effet, quasiment autant de réponses que d’individus. Que vous soyez une femme active et dynamique ou plus casanière. Un homme stressé par ses
responsabilités, un enfant en bas âge ou une adolescente, la réponse variera forcément. Que nous soyons au
printemps, en été, en automne ou en hiver modulera la réponse. Vos activités privées ou professionnelles la modifiera aussi. Même le lieu de vie implique une modification du régime alimentaire. Il est donc nécessaire de s’efforcer de tracer quelques grandes lignes simplificatrices qui vous permettront de chercher  VOTRE équilibre alimentaire.
Nous vivons dans une société d’abondance. Personne (en principe) ne meurt de faim mais beaucoup meurent de trop manger. Mon premier conseil sera donc de sélectionner QUALITATIVEMENT les aliments. Réduire les portions ne suffit pas. Car il faut apprendre, non pas à nourrir son estomac en le remplissant mais à nourrir ses cellules. Il y en a des milliards et des milliards. Choisir des aliments complets, des fruits, des légumes et des céréales (cultivés biologiquement de préférence), des huiles de première pression à froid, des sucres non raffinés, des farines le moins possible raffinées. Éviter chaque fois que possible la (sur)consommation de protéines animales (viandes et poissons, ainsi que lait, yaourts, oeufs et fromages) et préférer des légumineuses ou des bonnes préparations à base de soja. Cela deviendra, petit-à-petit, un réflexe. Voilà le premier pas.
Comme deuxième conseil, efforcez-vous (à la maison) de mélanger le moins possible les familles d’aliments durant un même repas. Vos organes digestifs vous en remercieront et votre balance deviendra plus modeste. Le respect des compatibilités alimentaires est un art magique quant à ses effets à moyen et long terme. Rappelez-vous que les anti-aliments (voir ci-dessous) ont été développés par l’industrie agroalimentaire pour flatter notre convoitise et augmenter notre consommation c’est-à-dire leurs profits. Ils n’aboutissent jamais au but recherché, comme la satisfaction de nos besoins psychologique à mastiquer des nourritures vraiment nourrissantes c’est-à-dire capable de fournir à nos milliards de milliards de cellules corporelles tout ce dont elles ont besoin. Au contraire ces anti-aliments épuisent notre réserve d’énergie vitale et notre capital enzymatique et nous poussent à des comportements aberrants. Voici quelques indications de base pour mémoire:
ANTI-ALIMENTS: chocolat, pâtisseries, biscuits industriels, sucre raffiné, fritures, aliments irradiés (très fréquents malgré l’interdiction légale) comme les fruits et légumes hors saison ou les pétales de céréales en boîtes carton, conserves en boîtes métal, surgelés industriels de toutes sortes, tous les aliments (même « bio ») passés au four à micro-ondes, alcool, thé noir et café. Viandes (y compris le poisson) et lait de vache
S’ACCORDENT: fruits et protéines (laitages, viande, œufs), légumes (crus et cuits) et céréales, protéines et légumes.
NE S’ACCORDENT PAS: fruits et céréales, fruits et légumes, protéines et céréales (toutefois les légumineuses tolèrent les céréales)
SONT NEUTRES: huiles, épices, sels, herbes aromatiques, tamari, shoyu, levure alimentaire, infusions
PROTÉINES: viandes rouges et blanches, poissons, lait, yaourts, fromages frais, fermentés et cuits, œufs, légumineuses (soja, lentilles, etc.). on sait maintenant, grâce aux travaux scientifiques modernes que ce sont les personne mangeant très très peu de viande ou même pas du tout qui sont celles en meilleure santé. e moins possible
CÉRÉALES: blé (pain, pâtes, boulghour et pil-pil), orge, seigle, avoine, millet, maïs (polenta), riz, biscuits « maison ».
SONT RECONNUS ALLERGISANTS: Le lactose (lait et fromages), le gluten (pain, pâtes, blé et autres céréales), les épices (poivre, gingembre, paprika, piment, curcuma, curry, harissa, épices orientales, etc.)
Comme troisième conseil, je vous propose de régler votre alimentation en fonction de vos activités. Une épuisante course en montagne ou une journée de farniente à la plage n’ont pas les mêmes exigences métaboliques. Petit truc utile: Ce que vous mangez aujourd’hui détermine votre tonus physique et
psychologique pour le lendemain. Les aliments sont une source d’énergies immatérielles dont notre organisme ne peut se passer. Ces énergies sont  appelées « chi » par les chinois et ont différentes origines (eau, aliments, air, terre-cosmos, psychique, etc.)
CÉRÉALES: Elles donnent l’endurance, la résistance, la chaleur, les oligoéléments, les sels minéraux et les vitamines et les enzymes.
VIANDES: elles donnent la nervosité et l’agressivité et l’angoisse.
GRAINES GERMÉES, FRUITS ET LÉGUMES: Ils donnent l’énergie du cosmos et de la terre. Crus, ils sont la vie enzymatique. Ils contiennent l’eau cellulaire qui est le « germe de la Vie ». Ils donnent le calcium, les sels minéraux, les vitamines, les enzymes et toutes sortes de substances végétales aux propriétés multiples.
ENZYMES: elles sont vitales car elles sont les magiciennes de la Vie. Très souvent absentes de l’alimentation moderne, elles sont détruites à partir de 45 degrés. Elles sont contenues dans tous les végétaux CRUS.
EAU: Elles permet tous les métabolismes et régularise l’acidité du corps. C’est une aide importante pour lutter contre les stress électromagnétiques. Seule l’eau est de l’eau. Les autres liquides (sauf l’eau des végétaux) ne sont pas de l’eau. Buvez environ 1,5 litre d’eau de bonne qualité par jour.
HUILES: elles doivent être impérativement être de « première pression à froid ». Un peu de beurre de bonne qualité est acceptable mais jamais de margarines ou d’huiles industrielles.
LAIT: Ne buvez jamais de lait liquide. C’est inassimilable à l’âge adulte car ce n’est pas fait pour nous les humains. Seul le lait maternel est indiqué pour les bébés jusqu’à l’âge de 4 ans.
FROMAGES: ils sont tolérés. Préférez les fromages frais, ceux « à pâtes dures » ou ceux de chèvre ou brebis. Ils ne doivent jamais être pasteurisés ou thermisés afin de conserver leur richesse en enzyme ce qui permet de les digérer.

Manger nous occupe, en principe, trois fois par jour. Deux fois par jour convient aussi très bien.

Boire nous occupe encore plus souvent. Il est donc important de bien choisir son eau de boisson puisque le pourcentage d’eau de notre corps est de 65 à 90 % du poids total. Une eau très peu minéralisée, ne contenant pas de polluants comme les nitrate, le sodium ou les carbonates (ainsi que les polluants chimiques divers comme les métabolites médicamenteux et les produits phytosanitaires y compris les micro-particules de plastic) sera toujours préférée. Ne la buvez pas en mangeant. Procurez-vous un filtre à eau performant et non vendu pour vous tromper.

En conclusion, mangez de tout (ou presque)… mais pas au même repas. Apprenez à faire comme vous le sentez sans craindre les remarques de l’entourage. Sachez gérer vos caprices au bon moment. Une petite
folie alimentaire peut aussi faire du bien.

Faire comme tout le monde, gage de survie au siècle dernier, est une vérité dépassée. Réapprenons à bien choisir le « carburant » approprié à notre organisme qui est si merveilleusement construit et fonctionnel. Hippocrate n’a-t-il pas dit: « Que ton aliment soit ton médicament » car nous sommes ce que nous mangeons.

Ces conseils sont valables pour toutes personnes ne souffrant pas de maladies particulières ou d’allergies alimentaires.

Je suis à votre disposition pour toutes explications supplémentaires.

© J-P Chapuis – jpc@jpchapuis.net

BIBLIOGRAPHIE:
− A. Roux, Alimentation harmonieuse, Ed. Encre, 1980 (épuisé)
− Dr Seignalet, L’alimentation ou la 3ème médecine, (épuisé)
− Très nombreux autres livres et documents scientifiques

 LE MIEL, un aliment divin

Savez-vous que l’une des 1ères pièces de monnaie avait le symbole d’une abeille ?
Savez-vous qu’il y a des enzymes vivantes dans le miel ?
Savez-vous qu’au contact d’une cuillère en métal ces enzymes meurent?

La meilleure façon de manger du miel est avec une cuillère en bois. Si vous n’en trouvez pas, utilisez-en une en matière plastique.
Savez-vous que le miel contient une substance qui aide cerveau à mieux fonctionner ?
Savez-vous que le miel est l’un des rares aliments qui, consommé seul, peut conserver en vie ?
Savez-vous que les abeilles ont sauvé les Africains de la famine ? Qu’une cuillerée de miel est suffisante pour maintenir la vie humaine pendant 24h ?
Savez-vous que la propolis produite par les abeilles est l’un des ANTIBIOTIQUES naturels les plus puissants ?
Savez-vous que le miel n’a pas de date de péremption ?
Savez-vous que le corps des grands empereurs était enterré dans un cercueil doré puis recouvert de miel pour l’empêcher de pourrir ?
Savez-vous que le terme «LUNE DE MIEL» vient du fait que les jeunes mariés consommaient du miel pour la fertilité après le mariage ?
Savez-vous qu’une abeille vit moins de 40 jours, visite au moins 1.000 fleurs et produit moins d’une cuillère à café de miel, mais pour elle c’est toute une vie.

Avec ce qui précède, on parle de miel EXCLUSIVEMNT PUR.

ATTENTION, les miels usuellement vendus proviennent de grands circuits de distribution qui les chauffe et diluent avec des glucoses invertis ou de ruchers abritant des abeilles nourries – plus ou moins – avec du jus de sucre…

Pour bénéficier de ce qui précède, ne consommez que des miels garantis purs et naturels non chauffées quelque soit leurs prix. 

Petit complément d’informations.
Si un miel pur contient aussi un peu de cires, il n’en sera que plus profitable. 
N’en mangez jamais le matin au déjeuner mais seulement à partir de midi environ.

S’il vous plaît partagez, je suis sûr que beaucoup de gens aimeraient connaître ces informations. 

© J-P Chapuis – jpc@jpchapuis.net

Nutrithérapie & Alimentation

Alimentation

Mais que doit-on manger pour rester en forme physique, psychique et mentale ? Telle est la question que beaucoup se posent. Voici quelques réponses.

N’hésitez pas à manger des aliments crus le plus souvent possible. Fruits et légumes sont parfaits. Choisissez toujours des végétaux bio. En effet, il est sont préférables car plus riches d’environ 30 % en minéraux, vitamines et micronutriments essentiels. Veillez à ne pas les peler afin de bénéficier d’un maximum d’éléments nutritifs. Consommez vos fruits et légumes frais à maturité et le plus rapidement possible car au contact de l’air, ils perdent leurs vitamines. Ne les laissez pas plusieurs jours au frigidaire ou à l’air libre. L’idéal étant de les cuisiner le jour. Les congeler n’est pas une solution idéale. Les conserver selon les anciennes méthode et totalement satisfaisant (sel marin, huiles, séchage, lactofermentation).

Attention aux fibres crues car elles sont plus irritantes sur la muqueuse intestinale ce qui peut provoquer des maux de ventre.

Attention aux aliments que vous ne savez pas digérer. Ils ne vous apportent rien du tout de positif mais que des ennuis… digestifs et autres.

Variez le plus possible votre alimentation selon le rythme des saisons. Il est inutile de manger des asperges en novembre et des tomates en décembre… C’est dans la variété que vous trouverez toutes les vitamines et minéraux dont vous avez besoin et que vous éviterez la lassitude mais surtout la fatigue digestive.

Les viandes ou les poissons crus seront évités car sources de contaminations parasitaires (vers intestinaux ou d’autres organes) ou bactériennes.

Ne buvez pas en mangeant car cela trouble votre processus digestifs.

Ne grignotez jamais entre les repas. Même un bonbon. Essayez de calmer une pulsion, de remplir un petit creux, un vide, par un autre moyen. La détente, la respiration consciente par exemple.

Cuisinez avec conscience des aliments achetés avec conscience et ne provenant pas de l’industrie alimentaire mais d’un producteur local lui aussi conscient de ce qu’il vous propose d’acheter. Et cuisez le moins possible afin de faire la part très belle aux aliments crus. Tout aliment pasteurisé, thermisé, thyndalisé, chauffé, cuit à la cocotte-minute devrait être banni de la table.

Modifier ses habitudes pour faire le plein d’énergie demande un peu d’efforts et de temps, je le sais, mais le bénéfice retiré est tellement important que, rétroactivement, il apparaît que cet effort et ressenti comme bien peu de choses..

La chaleur est l’ennemi à combattre si vous voulez avoir une alimentation qui comble vos besoins.

Une fois sur le feu, les aliments perdent leur eau mais aussi leurs vitamines et leurs minéraux. Plus la cuisson est longue et la température élevée, plus les aliments se « dévitalisent ». La cuisson des aliments, et particulièrement celle des légumes, demande de la douceur sinon vous ne consommez que des fibres et des aliments « morts ».

À partir de 40 °C : les enzymes présentes dans les aliments sont en partie détruites

À partir de 60 °C : la vitamine C se fait la malle

À partir de 90 °C : une partie des vitamines B et E sont détruites

À partir de 100 °C : les sels minéraux se dégradent et deviennent moins assimilables par l’organisme

À partir de 110 °C : dites bye, bye aux vitamines A et D

À partir de 120 °C : c’est la disparition des vitamines B et E les plus résistantes

Les bonnes – et les mauvaises – manières de cuire ses aliments :

La cuisson à la vapeur douce n’excède pas les 90-95 °C. C’est une très bonne méthode. Dans un autocuiseur classique, la température s’élève en moyenne jusqu’à 140°!

La cuisson à l’étouffée dans un plat dédié

La cuisson au wok. La cuisson doit être très rapide à feu vif (une minute maximum). Les légumes doivent rester croquants.

Cuisson lente en papillote avec papier sulfurisé et jamais du papier d’aluminium ou des sachets plastiques. Le fait que les aliments cuisent dans leur jus limite la déperdition des vitamines et minéraux.

La cuisson à l’eau devrait être évité car les vitamines et sels minéraux migrent dans l’eau de cuisson. Cette eau peut être utilisée pour un bouillon, un fond de sauce, une soupe.

les cuissons à four très chaud, les fritures, le barbecue, et… le micro-ondes devraient être bannis

Nutrithérapie

Les vitamines et les minéraux sont indispensables pour notre santé et nous ne devrions pas avoir à nous supplémenter. Malheureusement, étant donné que les aliments modernes sont carencés dans des proportions allant de 20 à 80 % selon les micronutriments considérés, il n’est plus/pas possible de ne pas se supplémenter régulièrement et en permanence.

Je suis malheureux d’avoir été obligé d’écrire la phrase qui précède car notre alimentation devrait être notre source principale et suffisante en matière de micronutriments. Les phénomènes de carence ou de déséquilibres qui sont monnaie courante car nous nous nourrissons bien souvent avec des aliments vidés de toute substance nutritive.

Les médecins – les naturopathes aussi – font état de déséquilibres alimentaires chez un pourcentage important de leurs patients. Les effets sur la santé sont : la prise de poids pouvant mener à l’obésité, le diabète, le cholestérol, et l’hypertension. Mais aussi les troubles psychiques (dépressions, fatigues, ras-le-bol, etc.) et des symptômes très variés portant des étiquettes très diverses en relation avec des douleurs de toutes sortes ou des maladies auto-immunes voire rares.

Une étude de l’institut MediQual Research pour SEB1 auprès des médecins généralistes fait ce constat :Quatre grandes enquêtes alimentaires et études épidémiologiques se sont penchées sur les apports nutritionnels des Français en vitamines et minéraux et sur les conséquences des déséquilibres alimentaires. Ces études étaient les suivantes : l’étude Esvitaf2, l’étude de Bourgogne3, l’enquête du Val-de-Marne4 et l’étude Su.Vi.Max5.

Ce qu’on en retient, c’est qu’une grande partie de la population se trouve en deçà des recommandations6, particulièrement pour les vitamines B1, B2, B6, C, D, E, mais aussi pour le magnésium, le fer et le zinc…

Selon les études (les chiffres varient un peu mais je vous donne une moyenne) les déficits avérés concernent :

la vitamine B1 (un peu moins de 20 % des hommes et plus de 20 % des femmes) (près de la moitié des femmes entre 18 et 29 ans !)

la vitamine B2 (4 à 31 % des femmes et 8 à 22 % des hommes)

la vitamine B6 (15 % des hommes, 20 % des femmes, 16 % de la population a des signes de carence)

la vitamine D (74 % des hommes et 78 % des femmes présentent des signes de déficit ou d’insuffisance, surtout l’hiver)

la vitamine E (13 à 22 % des hommes entre 30 et 49 ans et 10 à 22 % des femmes de 18 à 49 ans ont des signes de déficit modéré)

le fer (le déficit en fer touche 29 % des enfants de moins de 2 ans, 14 % des 2-6 ans, 15 % des adolescents et 10 % des femmes en âge de procréer. Pour l’étude Su.Vi.Max 23 % des femmes ont des réserves en fer insuffisantes)

le zinc (entre 5 % et 8 % des volontaires présentent des signes de déficit)

© J-P Chapuis – jpc@jpchapuis.net

Nutrithérapie & Alimentation

Les compléments alimentaires nutritionnels 

Chaque année, de plus en plus de personnes découvrent les avantages des compléments nutritionnels.  La croyance populaire propageant comme une épidémie que l’alimentation, à elle seule, est capable d’apporter tous les micronutriments indispensables à une santé optimale est un mythe.

Un régime alimentaire sain est évidemment une composante essentielle d’une bonne santé. Un soutien micronutritionnel adéquat l’est aussi car, pour diverses raisons, la quasi totalité de nos aliments est carencée en micronutriments. Les chiffres couramment articulés vont de 20 à 80%. C’est très importants. Déjà en l’absence de signes cliniques alias symptômes, nous pensons aller bien et ne manquer de rien. Notre organisme trouve des compensations et s’adapte mais cela ne dure qu’un temps. Les diverses gênes, la fatigue, la nervosité annoncent que notre organisme a besoin d’un coup de pouce.

Il est temps de choisir ce dont on a besoin pour bien se porter. Prévenir vaut mieux que guérir dit l’adage.

Les compléments alimentaires du commerce

La plupart des formulations de compléments alimentaires  commercialisées sont loin d’être satisfaisantes et idéales. Les quantités de nutriments essentiels apportées sont insuffisantes voire très insuffisantes. On retrouve aussi de trop nombreux additifs et excipients tous plus indésirables les uns que les autres. 

Choisir ses compléments nutritionnels doit se faire avec rigueur, prenez conseils auprès de thérapeutes formés à la nutrithérapie et comprenant le rôle toxicologique perfide joué par ces molécules même prise en dosages tolérés légalement. Personne n’a jamais testé ce qu’ils deviennent ou produisent en associations

A chaque saison, à chaque âge, selon le sexe, selon l’épigénétique de chacun, il nous faut trouver une réponse adaptée à nos besoins.
(épigénétique: la science et l’art de comprendre ce qui nous affecte et de rester jeune et/ou retrouver la santé) 

Les habitant-e-s des grandes villes comme celles et ceux des plus modestes agglomérations auront besoin de soutien micronutritionnel en raison de l’exposition à la pollution (de l’air, de l’eau et de la nourriture), aux stress, à la concentration des ondes électromagnétiques (wifi, box internet, 4 et 5G, etc.) aux champs électromagnétiques. 

Voici la liste des indispensables:

Magnésium 500mg/j.

Zinc 40 mg/j

Coenzyme Q-10 100mg/j

Vitamines du groupe B

Oméga 3, 6. 9 et 12

Voici une liste des non-indispensables mais importants:

Vit D

Fer

L-Glutamine

Tryptophane

Chlorella pyrenoïdosa

© J-P Chapuis – jpc@jpchapuis.net

Parodie de la Guerre des étoiles pour promouvoir l’agriculture biologique contre l’agriculture productiviste. En version originale sous titrée en français.