Si vous voulez trouver les secrets de l’Univers, il faut penser en termes d’énergie, de fréquences et de vibrations.
Nikolas Tesla
Biorésonance quantique NLS*
Médecine quantique NLS ou Métathérapie
« La Vie est née de la radiation
La vie est entretenue par la radiation
La Vie est supprimée par tout déséquilibre oscillatoire. »
Georges Lakhovsky
« La vie est un mouvement,
Plus il y a vie, plus il y a flexibilité,
Plus vous êtes fluides, plus vous êtes vivants. »
Arnaud Desjardins
* NLS signifie Système Non Linéaire pour « Non Linear System »
La thérapie fréquentielle grâce aux champs électromagnétiques: médecine d’hier et de demain?
Publié par wikistrike.com sur 26 Août 2022, 20:50pm. Catégories : #Santé – psychologie, #Science – technologie – web – recherche. Nathalie Souvorov-Robert pour WikiStrike
Professeur Montagnier (18 août 1932 – 8 février 2022). Biologiste virologue français.
«Tout est énergie » (Albert Einstein).
De nombreux précurseurs de progrès ont été décriés dans un premier temps avant d’être reconnus, l’histoire se répète depuis des siècles et, en ce qui concerne l’étude des ondes, d’Albert Einstein au professeur et prix Nobel de médecine, Luc Montagnier, cette affirmation prouve sa véracité.
Tout dans l’univers a une fréquence de résonance. Une analyse de la fréquence des plantes, plantes développées pendant plus de 2,5 milliards d’années, combinée avec notamment les travaux de Raymond Rife sur les fréquences, entre autres, des bactéries et des virus pourrait être une réponse aux défis médicaux actuels et semble en tout cas être une piste à explorer aux côtés d’autres vecteurs de fréquences.
En effet, il existe différentes façons d’introduire une fréquence dans notre organisme : par la nourriture que nous mangeons, par un générateur de fréquence, par des diapasons, de la musique,… mais aussi par les huiles essentielles issues de la distillation des plantes aromatiques.
La crise du COVID-19 et, plus récemment, les cas de variole du singe au regard des séquelles et effets négatifs secondaires des vaccins occidentaux, ont remis en lumière ces thérapies médicales en sommeil depuis plusieurs décennies.
I – Un peu d’histoire
Se soigner par les plantes est aussi vieux que la civilisation et remonte à la préhistoire. Les premiers textes gravés relatant des propriétés des plantes datent de 5000 ans à Sumer et 4700 ans en Chine.
Il y a des milliers d’années, les Chinois ont inscrit les flux d’énergie invisibles au cœur de leur médecine traditionnelle reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). De même, les médecins comme Hippocrate (Vème siècle avant JC) ont porté leur attention aux « canaux d’énergie » pour optimiser la santé de leurs patients et disciples.
Cette pratique a été petit à petit oubliée pour renaître au début du XXème siècle notamment grâce aux travaux de Nikola Tesla, George Lakhovsky et Raymond Rife sur la médecine électromagnétique.
A part en URSS où les recherches scientifiques ont continué, cette médecine est de nouveau tombée dans l’oubli balayée par la révolution pharmacologique. A la chute du mur de Berlin en 1989, les Occidentaux ont recommencé à s’intéresser ponctuellement aux « ondes qui soignent ».
Plus récemment, le professeur Luc Montagnier avait axé ses travaux sur la mémoire de l’eau et sur la médecine énergétique à travers les champs électromagnétiques.
Logiquement, les analyses du professeur Montagnier et celles notamment de Raymond Rife se recoupent en partie avec des études sur les virus, bactéries, toxines, champignons, parasites qui auraient tous une fréquence bien spécifique.
II – Les huiles essentielles, vecteurs de fréquences
Chacune des huiles aromatiques contenues dans une plante a une fréquence de résonance. En introduisant à tout élément sa propre fréquence de résonance, il se trouve détruit en implosant. La distillation des plantes aromatiques, selon la thérapie fréquentielle, en générant des huiles essentielles peut permettre à celles-ci de détruire un élément pathogène si leurs fréquences sont similaires.
Une huile essentielle possède plusieurs fréquences différentes et peut donc s’attaquer à divers agents pathogènes suite à un diagnostic via notamment la kinésiologie.
III – COVID-19 et médecine par les ondes
Selon la thérapie fréquentielle, les maladies et vaccins sont réversibles naturellement.
D’après les études récentes de John Millward, tous les cas positifs de Covid-19 et les personnes vaccinées avec les vaccins en Europe sont infectées de protéines Spike qui peuvent, d’après lui, être brisées grâce aux fréquences. Cette réponse à la protéine Spike est un espoir, de nombreux spécialistes ayant mis en garde contre le danger de cette protéine bien que ce débat soit controversé.
La méthode électromagnétique semble également s’appliquer au syndrome de Guillain-Barré qui serait lié parfois à la vaccination. En effet, selon l’Agence américaine du médicament (FDA), le vaccin contre le COVID-19 entraînerait un « risque accru » de développer cette maladie neurologique rare.
Face au désarroi de la population et au scandale sanitaire possible lié au Covid-19, la thérapie fréquentielle pourrait se vulgariser, les recherches et application s’étendre.
Conclusion
« Tout est énergie et cela résume tout. Mettez-vous sur la fréquence de la réalité que vous voulez obtenir et vous ne pourrez qu’obtenir cette réalité. Il ne peut en être autrement. Ce n’est pas de la philosophie. C’est de la physique. » (Albert Einstein).
La nature semble être une réponse possible aux nombreux maux actuels, n’en déplaisent à certains. Il est peut être temps de se replonger dans notre passé pour trouver les solutions de demain.
Nathalie Souvorov-Robert pour WikiStrike
Principales sources :
Cathy Lorio / John Millward (essentialoiltherapy.org)
Xavier Bazin pour FranceSoir
Demain, la médecine sera quantique
Ainsi que l’avait écrit dans les années 1930 (L’oscillation cellulaire – Ensemble des recherches expérimentales, Gaston Doin et Cie, 1931), Georges Lakhovsky, « La Vie est née de la radiation, La Vie est entretenue par la radiation, La Vie est supprimée par tout déséquilibre oscillatoires« . La vie donc est faite d’ondes d’oscillations. La médecine spatiale russe l’a découvert depuis quelques décennies et nous l’apporte. On appelle ces nouvelles thérapies, « la médecine quantique ». Quantique car cela concerne les électrons de la matière. Ceux-là même qui sont l’expression de la relation matière-énergie. Ce type de thérapie présente de nombreux avantages comme par exemple de nous dispenser d’absorber des molécules toxiques ou de remonter à la cause de nos maux et mal-être.
Selon les résultats obtenus, une (ou plusieurs) pathologie est suggérée. De plus, il existe une fonction pour créer ou moduler un remède adapté. Les appareils de médecine quantiques sont aussi capables de faire des bilans. C’est là un de leurs principaux avantages.
L’appareil est basé sur l’analyse spectrale des vortex de champs magnétiques dans les tissus vivants. Plusieurs expériences confirment un rapport étroit entre les vortex de champs magnétiques et les systèmes biologiques. Ces champs agissent à titre d’interaction intracellulaire par l’intermédiaire d’un transfert d’informations.Le système de diagnostic et thérapie quantique NLS fonctionne sur le principe d’un récepteur de fréquence permettant l’écoute des émissions de tous nos organes, tissus ou cellules. La prise des données est rapide. L’évaluation d’un organe ne prend que quelques secondes.
Il s’agit en fait d’un décodeur-analyseur qui détaille l’énergie des tissus/organes du corps basé sur un biofeedback de l’information cellulaire. Il s’agit d’une technologie de «bilan global de santé» la plus avancée qui soit actuellement disponible en ce début de 21ème siècle. L’interface fonctionne par l’intermédiaire de collecteurs magnétiques montés sur un casque d’oreilles. Elle est un remarquable dispositif pour mesurer le potentiel d’énergie d’un organe avant et immédiatement après une thérapie.
Elle permet aussi de tester n’importe quel remède ou médicament. Il n’y a aucune limite quant au nombre d’essais réalisés le même jour. Le traitement mis en œuvre agira sur le terrain de façon à optimiser n’importe quel traitement et dans le but d’apporter au patient le maximum de chance de retrouver le chemin de la santé.
Voici encore l’extrait d’un article du Dr Jean-Louis GARILLON N.D., D.I.U. en Santé Publique, certifié en Médecine Quantique
Demain, la médecine sera quantique.
« La Médecine quantique est une nouvelle approche de la santé basée sur la synthèse de tous les acquis de la physique quantique et de la cybernétique, augmentée des connaissances récentes sur la nature profonde du vivant et de l’expérience millénaire des médecines traditionnelles fondées sur la réalité énergétique de l’être vivant.
C’est un domaine qui risque de révolutionner la plupart des méthodes d’investigation et de soins dans un proche avenir. Par le développement de processus énergétiques totalement biocompatibles, sans passer par des manipulations génétiques ou par l’intrusion de vaccins, la médecine quantique optimisera tous les domaines de la santé en restituant à la création le sens originel qui lui est assignée par la Vie.
Pour investiguer et agir sur un organisme vivant, puis le ramener à son point d’équilibre en cas d’anomalie fonctionnelle ou structurelle, la médecine quantique utilise des quanta d’énergie, soit de très petits paquets de vibrations électromagnétiques, totalement imperceptibles, cohérentes vis à vis des fréquences vibratoires des divers organes, tissus et cellules.
Il n’y a aucune action directe d’un agent quelconque sur la cible, mais transfert réciproque d’une information vibratoire via le système nerveux, destinée
- à l’analyse de l’organe visé (bilan énergétique),
- à la prévention ou au traitement d’un déséquilibre éventuel, ou
- à la régénération d’un tissu lésé (trauma, opération),
et mettant en œuvre les mécanismes d’autorégulation, d’autodéfense et d’autoguérison de l’organisme. L’action est aisée, généralement rapide et efficace, durable dans ses résultats. De plus en plus de personnes demandent ce type d’intervention profonde et globale.
Les scientifiques russes travaillent depuis plus de vingt ans dans ce domaine et les applications de la physique quantique destinées à l’homme dans l’espace (et sur la Terre) sont à ce jour les :
- émission laser de la gamme des fréquences optiques
- émission de la gamme des ultra-hautes fréquences (ondes millimétriques) et de la bande des hyperfréquences (ondes centimétriques)
- émission de lumière chromatique dans la gamme des ondes visibles
- émission électromagnétique de basses fréquences
- émissions (ou oscillations) acoustiques.
Tous ces types d’émissions ondulatoires (encore appelées oscillations) sont spécifiques à la physique du vivant et sont organiquement liés aux processus de l’activité vitale des individus. Sous certaines conditions, ces émissions peuvent influencer très favorablement le degré de stabilité des systèmes vivants, par leur effet biophotonique qui active la synergie des fonctions entrant dans un « modèle d’intégration fonctionnelle » associant énergies, informations et substances. »
Bien comprendre la différence entre les différentes biorésonances
Les Systèmes NLS se basent sur une banque de données informatisées mémorisée dans un programme informatique.
L’analyse est opérée par un biofeedback biologique appliqué au vivant. Il s’agit ici d’un retour d’information venant des zones du cerveau en liaison avec l’organisme, donc les différentes zones du corps.
On parle aussi de : « Rétroaction biologique », de « Biorétroaction » ou encore de « Rétrocontrôle ». Il s’agit de l’analyse – en temps réel – du retour des informations cérébrales.
La notion de reproductibilité n’entre pas en compte dans l’analyse quantique comme elle entrerait dans une analyse linéaire.
Chaque information fait son œuvre en un temps « T » et, ce temps passé laisse rapidement place à de nouvelles informations, le temps « T » suivant, et à de nouvelles réactions cérébrales. La roue tourne sans cesse et chaque instant s’enfuit pour laisser place à l’instant suivant. Le cerveau répond par un bio feedback à chaque examen (envoi de l’information optimale), il répond au cas par cas, d’instant en instant. Chaque instant influence l’instant suivant.
Un des principes même du non linéaire réside dans le fait que chaque test influencera le suivant. Le sujet réagit différemment d’information en informations optimales reçues successivement. L’analyse quantique est, de par son essence, non linéaire.
L’analyse quantique apporte successivement, de test en test, des informations complémentaires entre elles. L’analyse quantique ne répond donc pas à la notion de reproductibilité au sens habituel mais elle ouvre nos champs d’investigations grâce à l’apport de données exprimant les différentes réactions cérébrales. C’est l’ensemble des réactions aux stimuli (informations optimales) qui, mises équations, amènera à la lecture des résultat de l’examen.
Concernant le système MORA de biorésonance biophysique, consultez le chapitre dans le même onglet.