L’analyse du sang vivant dite aussi  microscopie à fond noir

La MFN est pratiquée depuis de décénnies en Allemangne et autres pays germaniques ou anglophones. Elle est malheureusement très peu connue en Suisse romande et en France.

Le sang est le reflet de notre terrain c’est-à-dire l’image de notre santé. Il est le reflet de notre état général et/ou de nos maladies.

Terrain et constitution sont étroitement liés. Ils sont notre force de vie.

EN CONSTRUCTION

 

Avec une goutte de sang et quelques minutes pour vous, vous obtenez une image représentative de votre état actuel de santé.

Le très intéressant texte qui suit mérite votre attention. J’ai des images de microscopie à fond noir tout à fait en accord avec ce texte. Certaines montrent des altérations du sang encore plus importantes. Qui vous dit qu’en Suisse cela ne bouge pas?

Pourquoi donc le sang des vaxxinés est-il si différent de celui des non vaxxinés ?

14 septembre 2022.Written by Docteur Dominique Schwander, Médecin suisse, spécialiste FMH anesthésiologie, spécialiste FMH médecine intensive. Ancien chef de clinique à l’hôpital de Berne, médecin-chef et vice-chairman pendant 7 ans du département d’anesthésiologie et de réanimation du Département correspondant du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois puis pendant 20 ans chef du Service d’anesthésiologie et de réanimation de l’Hôpital cantonal de Fribourg.

Source: https://resistancerepublicaine.com/2022/09/14/pourquoi-donc-le-sang-des-vaxxines-est-il-si-different-de-celui-des-non-vaxxines/

Regardez juste la figure une de cette étude récente et sa légende.
Figure 1. Ces photos sont agrandies 40x. Sur le côté gauche, (a) montre l’état sanguin du patient avant l’inoculation. L’image de droite, (b) montre le sang de la même personne un mois après la première dose de « vaccin » à ARNm de Pfizer.
Des particules peuvent être observées parmi les globules rouges qui sont fortement conglobées autour des particules exogènes ; on pense que l’agglomération reflète une réduction du potentiel zêta affectant négativement la distribution colloïdale normale des érythrocytes, comme on le voit à gauche. Les globules rouges à droite (b) ne sont plus sphériques et s’agglutinent comme dans la coagulation. (traduction google).

Il n’y a pas besoin d’être médecin pour conclure qu’une dose de ce vaxxin est mauvaise pour l’être humain si les globules rouges sont déformés et agglutinés juste après une dose et qu’en plus des particules métalliques soient apparues.
Les fabricants de ces vaccins et les autorités qui ont donné l’autorisation mentent quand ils affirment qu’ils n’ont pas su de tels effets secondaires.
CAS numéro 1 Cet individu est un homme de 33 ans, qui était auparavant un athlète, apparemment en bonne santé avant l’inoculation avec une injection d’ARNm Pfizer. Un mois après avoir reçu la première dose du « vaccin » Pfizer, il a montré une asthénie marquée, une céphalée gravitationnelle constante (c’est-à-dire une céphalée sensible à la position et aux mouvements de la tête et du corps de sorte que la douleur était augmentée par le mouvement de la tête vers lehaut ou vers le bas). Les maux de tête ne répondaient pas aux analgésiques courants. Des arthralgies rhumatismales diffuses avec dyspnée à l’effort ont été notées. Dans (a) et (b) à un grossissement de 40x, nous voyons ce qui semble être une liaison laminaire. En (c), à un grossissement de 120x (grossissement 3x produit numériquement), il y a un composite d’une longueur de 166,54 μm (DeltaPix Software).

Traduction google du début de l’article (voir tout l’article en anglais et toutes les illustrations ici

 

CAS numéro 1
Cet individu est un homme de 33 ans, qui était auparavant un athlète, apparemment en bonne santé avant l’inoculation avec une injection d’ARNm Pfizer. Un mois après avoir reçu la première dose du « vaccin » Pfizer, il a montré une asthénie marquée, une céphalée gravitationnelle constante (c’est-à-dire une céphalée sensible à la position et aux mouvements de la tête et du corps de sorte que la douleur était augmentée par le mouvement de la tête vers le haut ou vers le bas). Les maux de tête ne répondaient pas aux analgésiques courants. Des arthralgies rhumatismales diffuses avec dyspnée à l’effort ont été notées. Dans (a) et (b) à un grossissement de 40x, nous voyons ce qui semble être une liaison laminaire. En (c), à un grossissement de 120x (grossissement 3x produit numériquement), il y a un composite d’une longueur de 166,54 μm (DeltaPix Software).
Traduction google du début de l’article (voir tout l’article
en anglais et toutes les illustrations ici)
Analyse microscopique en champ sombre sur le sang de 1 006 personnes symptomatiques après des injections d’ARNm antiCOVID de Pfizer/BioNtech ou Moderna Franco Giovannini
[…]
RÉSUMÉ
L’utilisation de l’analyse microscopique à fond noir du sang périphérique frais sur lame était autrefois largement répandue en médecine, permettant une première et immédiate évaluation de l’état de santé des composants corpusculaires du sang. Dans la présente étude, nous avons analysé au microscope optique à fond noir la goutte de sang périphérique de 1 006 sujets  symptomatiques après inoculation avec une injection d’ARNm (Pfizer/BioNTech ou Moderna), à partir de mars 2021.
Il y avait 948 sujets (94 % du total échantillon) dont le sang a montré une agrégation d’érythrocytes et la présence de particules de différentes formes et tailles d’origine incertaine un mois après l’inoculation de l’ARNm. Chez 12 sujets, le sang a été examiné avec la même méthode avant la vaccination, montrant une distribution hématologique parfaitement normale. Les altérations trouvées après l’inoculation des injections d’ARNm renforcent encore la suspicion que les modifications étaient dues aux soi-disant « vaccins » eux-mêmes.
Nous rapportons 4 cas cliniques, choisis comme représentatifs de l’ensemble de la série de cas. D’autres études sont nécessaires pour définir la nature exacte
des particules trouvées dans le sang et pour identifier les
solutions possibles aux problèmes qu’elles causent évidemment, injections expérimentales, matières  étrangères dans les injections COVID-19.

Introduction
L’analyse microscopique en champ noir de sang frais sur une lame était autrefois largement utilisée en médecine. Il a permis une évaluation immédiate de l’état de santé des composants corpusculaires du sang. L’analyse traditionnelle se terminerait par la mesure de l’acidité par rapport à l’alcalinité (pH), de l’hydrogène relatif (rH2) et du taux de libération d’oxygène (rO2). Ces mesures (non présentées dans cet article) permettraient de définir précocement toute altération sanguine nocive avant même qu’elle ne puisse être révélée par des mesures de coagulation des D-dimères (DD), du temps de prothrombine (PT), du temps de thromboplastine partielle (PTT), du fibrinogène ( Fg), numération plaquettaire,
Journal international de la théorie, de la pratique et de la
recherche sur les vaccins2(2), 12 août 2022 Page | 386et ainsi de suite (Long et al., 2020 ; Giovannini & Pisano, sous presse).
La présente étude présente les résultats de l’analyse
microscopique à fond noir du sang de 1 006 patients référés au « Centre de biodiagnostic Giovannini » pour divers troubles après inoculation avec des injections d’ARNm (Pfizer/BioNTech ou Moderna). Sur un total de 1006 sujets, des gouttes de sang de 12 d’entre eux effectuées, avant toute injection d’ARNm, en utilisant les mêmes méthodes microscopiques à fond noir. Sur ces 12 sujets, 4 ont été choisis comme représentatifs de l’ensemble de l’échantillon de 1006 cas et sont rapportés en détail comme illustré avec les images photographiques correspondantes. sujets symptomatiques après au moins une injection d’ARNm (Pfizer ou Moderna), à partir de mars 2021.
[…]
Journal international de la théorie, de la pratique et de la
recherche sur les vaccins2(2), 12 août 2022 Page | Sur les 1006 sujets, 426 étaient des hommes et 580 étaient des femmes et 141 d’entre eux n’ont reçu qu’une seule dose de l’injection expérimentale d’ARNm, 453 ont reçu une deuxième dose et 412 ont reçu une troisième dose. L’âge moyen des 1 006 sujets était de 49 ans et leur âge variait de 15 à 85 ans. En moyenne, 5,77 % des 1006 individus avaient des échantillons de sang normaux malgré leurs symptômes de la COVID-19. Les 94,23% restants avaient des échantillons de sang anormaux comme illustré dans les 4 cas que nous avons sélectionnés sur les 12 qui étaient normaux
[…]
Voyez le texte original en français sur : https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/47/86